Confession d’un amateur de musique, épisode 5 : ma découverte de la musique électronique avec « Ethnicolor » de Jean-Michel Jarre.

Cinquième épisode de cette série, c’est celui qui ressemble le plus à la confession diabolique pour le moment 🙂

Ma découverte de la musique électronique, je la dois à un titre publié en 1984 sur l’album Zoolook qui donne toute sa puissance en live, comme sur l’album « Houston-Lyon » de 1986. C’est avec cet album que j’ai découvert le compositeur.

Pour une personne qui apprécie le metal et ses guitares ultra-saturées, ça fait étrange d’avouer que mon adolescence a été bercée par Zoolook, Les Champs Magnétiques, Revolutions, Oxygène ou encore Equinoxe. Comme initiation à la musique électronique, c’est un sacré dépucelage auditif 😀

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Des (dé)goûts variés en musique.

J’ai souvent fustigé la bonne grosse mouise au parfum prononcé commerciale que nous vendent à prix d’or les majors : Stefani Joanne Angelina Germanotta, Justin Bieber, Jean-Philippe Smet pour ne citer que les trois premiers qui me viennent à l’esprit.

Cependant, vu mes (dé)goûts musicaux variés (qui vont des Pink Floyd à Nine Inch Nails, de Miles Davis à Michel Sardou, de Vangelis à Mike Oldfield, des Beatles aux Black Sabbath), je peux me permettre d’aimer certains artistes que des personnes qui se disent avoir de bons goûts musicaux déclare être de l’excrément de bique.

Parmi les artistes dont j’ai parfois honte d’apprécier, il y a un certain Jean-Michel Jarre, compositeur ayant aidé à la démocratisation de la musique électronique en France. C’est pour moi, avec Vangelis, Roger Subirana et Zero Project, un des grands noms de la musique électronique européenne.

Un de mes albums préférés de Jean-Michel Jarre (dont j’apprécie énormément la période 1976 – 1990), c’est l’étrange « Zoolook ». C’est surement l’album le plus difficile à aborder de ce compositeur, mais c’est aussi le premier album où il utilise des instruments classique et des voix comme musique.

Le morceau de choix de l’album est « Ethnicolor », dont la version jouée à Lyon en 1986 est « la meilleure » jamais proposée.

Maintenant, comme disait feu mon grand-père : tous les goûts sont dans la nature, la merde est bonne pour tous !