En vrac’ de milieu de semaine… (avec du retard !)

Minuscule en vrac’ en ce quatrième mercredi de mars 2023.

Ajout au 26 mars : l’article n’a pas été publié avant suite à une mauvaise manipulation de ma part.

Désolé !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Pour finir, une nouvelle vidéo de la série « Les pitreries du libre » consacré au monde archlinuxien.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Que sont devenues les distributions de 2017, 5 ans après, partie 2 : Juillet et août 2017.

Le 21 juin, je proposais le premier billet récapitulatif concernant les distributions dont j’avais parlé en 2017. Attaquons-nous aux mois de l’été 2017.

Juillet 2017 :

30 juillet : Trisquel Linux

Et oui, c’est tout pour juillet. Ça fait plutôt court 🙂

Août 2017 :

  1. 15 août : Solus
  2. 16 août : VeltOS
  3. 17 août : Archlabs

Bilan ? 4 articles, 3 distributions encore en vie, VeltOS devint un projet d’environnement de bureau avant de disparaître. 75% de survie, c’est pas si mal que cela 🙂

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2014 au bout de 5 ans ? Épisode 7

Après un mois de juin peu chargé, autant faire coup double et parler des articles des mois de juillet et d’août 2014. Au moins, cela sera un peu plus chargé sur le coup.

Commençons par juillet 2014.

Et pour août 2014 :

Bilan ? Pour juillet, si on considère le renommage d’HandyLinux en DFLinux et celui d’EvolveOS en Solus, c’est plutôt positif. La PeachOSI est devenue la PatriotOS. Avec un portrait de Donald Trump en fond d’écran peut-être ? 🙂

Pour août ? Sur les 8 articles, le bilan est identique à celui du mois de juillet, même si la SymphonyOS est plus proche du cercueil que du lit d’hopital. Donc un bilan des plus positifs pour l’été 2014. On verra bien ce que septembre donnera !

La route du logiciel libre à 100% est-elle pavée de bonnes intentions ?

Note au 18 janvier 2019 : suite à une prise de bec dans les commentaires à cause d’une fausse manipulation de ma part, je ferme ceux-ci après avoir virés les dits commentaires. Désolé, mais je n’ai pas le temps physique de gérer actuellement une nouvelle crise.


Cela fait maintenant près de 23 ans que j’ai goûté pour la première fois au monde linux. C’était via une Slackware Linux proposée avec le magazine PC-Team et son numéro 9 de janvier 1996.

Autant dire que ça date pas mal… Au fur et à mesure des années, j’ai connu les grands noms de l’époque dont une partie a survécu avec plus ou moins de succès. Depuis presque 10 ans j’utilise au quotidien Archlinux. Ce qui m’a sensibilisé au logiciel libre et à la volonté de réduire la dépendance maximale aux composants logiciels non libres.

Cependant, comme toute volonté de se libérer le plus possible, voire complètement, cette route est pavée de pas mal d’embuches. Entre 2008 et 2009, j’ai dû batailler ferme avec un circuit wifi Atheros qui n’était pas encore complètement reconnu en utilisant l’enrobeur ndiswrapper.

Au fil des années, j’ai pu me passer de la quasi-majorité des codes non-libres qui ont tourné sur mes équipements successifs, le plus gros succès ayant été l’utilisation au quotidien de Nouveau pour faire fonctionner mes cartes Nvidia successivement abandonnées par leur créateur.

Mais je n’ai toujours pas franchi le cap de l’installation du noyau linux-libre, vous savez le noyau dont les composants non-libres, spécialement les micrologiciels ont été enlevés.

Pour une simple et bonne raison : sans des micrologiciels non libres comme le microcode AMD pour mon Ryzen3 2200G, gérer correctement le GPU est une galère sans nom et j’ai dû batailler ferme pour faire supporter complètement mon GPU durant plusieurs mois. Sans le microcode non-libre, je n’imagine pas les galères que j’aurais encore dû supporter.

Sur le plan des distributions officiellement adoubées par la Free Software Foundation, les progrès ont été énormes, bien que des écueils comme la BLAG (une mauvaise idée au final vue la facilité théorique de libérer complètement une Fedora Linux vue la politique de RedHat pour les logiciels non-libres) aient existé. J’en ai d’ailleurs parlé dans cet épisode de ma série « Les distributions GNU/Linux (in)justement oubliées.

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Il faut savoir s’humilier en beauté : le bilan de mes prédictions pour 2018.

Le 20 décembre 2017, je me lançais dans l’exercice périlleux des prédictions pour l’année à venir. J’avais fait un bilan d’étape en septembre 2018, mais voici donc le bilan final.

Premier point : non, 2018 n’a pas été l’année où le bureau linux s’est enfin démocratisé. D’ailleurs, je pense que si dans 10 ans je continue le blog, je pourrais dire : « et non, 2028 n’a pas été l’année de démocratisation du bureau linux »

Pour les distributions en difficulté, la situation est mi-figue, mi-raisin. Dans celles qui ont réussi à sortir quelque chose en cette année 2018 ?

Pour Frugalware et OpenMandriva ? Rien de rien. Mais l’année n’est pas encore finie après tout au moment où je rédige cet article !

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