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Parsix GNU/Linux 5.0 : encore une fois le syndrome de la « modernisation incomplète » ?

Parsix GNU/Linux, c’est une distribution basée sur la Debian GNU/Linux stable, en la modernisant un peu. Si on suit les notes de publication, la Debian GNU/Linux Wheezy a été assez « modernisée », avec entre autres pour les plus grands noms du logiciel libre :

Mais il y a un point qui me fait vraiment tiquer : la présence de LibreOffice 3.5.4. La branche 3.5 est abandonnée depuis le 8 avril 2013, la version 3.5.4 étant sortie fin mai début juin 2012.

Mais ne partons pas sur un mauvais à priori, et voyons ce qu’à la distribution dans le ventre.

Pour LibreOffice, il reste l’option « sale » de récupérer directement les paquets .deb du site officiel de la dernière version stable conseillée – la 4.0.4 au moment où je rédige cet article – et les installer.

J’ai donc utilisé VirtualBox pour tester et présenter la distribution. Après le lancement, on a droit à un Gnome Shell avec un thème spécifique, avec des couleurs crème et marron.

Sans oublier des icones encore une fois inspirées de Faenza. Le logo de la Parsix remplaçant le terme « activités » en haut à gauche. Sur le plan technique, il faut savoir que :

  1. Le partitionnement doit comporter au moins un partition swap et une partition racine. Créer une partition pour /boot est inutile, cette option n’est pas prise en charge. On peut créer cependant une partition pour /home, l’installateur la prend en compte.
  2. Qu’il y a un méchant bug au niveau de l’installateur, qui oblige à lancer l’OS en anglais. Sinon, il est impossible de faire prendre en compte le mot de passe au niveau du compte utilisateur ! (cf la capture d’écran un peu plus loin dans l’article). Bug que j’ai rapporté sur l’outil de suivi de bug de la Parsix GNU/Linux
  3. Le clavier est par défaut en qwerty, même si on demande la version française dès le départ 🙁

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