C’est curieux chez les libristes ce besoin de forker.

Je tiens à m’excuser d’avoir honteusement plagier une réplique de Francis Blanche dans « Les Tontons Flingueurs ».

J’ai déjà eu l’occasion d’écrire sur les bienfaits et les méfaits du fork dans le logiciel libre, comme quand je m’étais expliqué en terme chatié sur l’idée developpée par SolusOS.

Lisant l’excellent blog « La Vache Libre », je suis tombé sur un billet qui m’a fait pensé à la phrase que j’ai utilisé pour le titre.

L’article en question nous parle d’une projet qui a pour but de forker le code de KDE4. Du nom de KLyDE, l’idée est de travailler le code pour rendre l’environnement plus léger. Si j’ose prendre un terme médical, lui enlever de la mauvaise graisse.

Pour le moment, le code de KDE SC a été copié depuis le dépot principal. Mais les trois objectifs affichés sont ambitieux :

  1. Réduire la consommation en ressource de l’environnement par défaut en découpant les paquets et en rendant certains composants optionnels. Pour l’idée de méta-paquets me vient à l’esprit ici ?
  2. Améliorer le temps de démarrage
  3. Simplifier la configuration en réduisant le nombre de greffons proposés par défaut, et en proposant des interfaces de configurations simplifiées

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