Avec la mort de Vangelis, un grand compositeur du 20e siècle nous quitte.

Quand j’ai appris la mort de Vangelis, je dois dire que j’ai une sensation de vide, de manque. Tous les articles mentionnent principalement son travail ses bandes originales pour « Les chariots de feu », « Blade Runner ». Y a-t-il un seul article qui parle de sa présence dans le groupe Aphrodite’s Child ? J’en doute.

Mais pour moi, c’est aussi le compositeur de « L’apocalypse des animaux » (1973) contenant le sublime « La petite fille de la mer ».

C’est aussi le compositeur de « Heaven and Hell » (1975) avec la ballade « So long ago, so clear » interprétée par Jon Anderson.

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Aimer la période Dio de Black Sabbath, c’est pas donné :(

J’aodre le metal, que ce soit le metal progressif d’un Opeth (d’Orchid à Watershed inclus), le heavy metal de Deep Purple (époque Mark II et III) et de Led Zeppelin, sans compter d’autres genres dont j’ai parlé sur le blog, sans oublier les périodes Ozzy Osborne et Dio de Black Sabbath (en dehors des ovnis « Technical Ecstasy » et « Never Say Die »).

J’avais fait un article dédié à ce sujet en 2017. Comme le temps file !

Il faut dire qu’avec des classiques comme « Heaven and Hell » et « The Mob Rules », Dio avait donné du sang neuf à un des groupes qui a fondé le metal en 1970. Il ne manquait qu’un album des deux époques Dio, c’était le très lourd et sombre « Dehumanizer ».

J’avais appris à connaître un des titres de cet album sans le savoir. En effet, une des musiques de Doom II (sur les map 10 et 16) reprenait l’introduction du très bon « After all (the dead) », sous le nom de « The Demon’s Dead ». Merci à l’excellent Doom Wiki pour les références.

J’ai pu le trouver à petit prix sur eBay. Il me tarde qu’il rejoigne ma collection.

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Le billet culturel du mercredi.

Un petit billet culturel en ce milieu de semaine. Au menu, deux albums qui bougent pas mal et un film qui est sympa sans casser trois pattes à un canard.

Allons-y chronologiquement 🙂

En 1975, après avoir être parti à grand bruit du groupe dont il a été l’un des fondateurs, Richie « Je suis un guitariste de génie avec un caractère porcin affirmé » Blackmore fonde Rainbow avec le regretté Ronnie James Dio. Après deux albums studio « Rainbow » et « Rising », le groupe sort ce qui sera l’album live du groupe « On stage ».

J’ai acquis récemment la version Deluxe, qui contient des pistes bonus enregistrée à Osaka, le 9 décembre 1976. Que dire qui n’a pas déjà été dit sur cet album ? Que le « Kill The King » (qui sera repris sur « Long Live Rock’n’Roll ») est un bijou ? Que le medley basé sur « Man On The Silver Mountain » est excellent ? Où que la reprise de Mistreated est à tomber à genoux ?

Si vous ne connaissez pas Rainbow, écoutez cet album, vous saurez ce que hard-rock des années 1970 veut dire.

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Un peu de douceur pour finir la semaine.

« Heaven and Hell », c’est l’album de Vangelis sorti en 1975. Depuis que j’ai pu l’avoir en vinyl, il a du passer une douzaine de fois sur ma platine…

Un des mouvements que je préfère, avec le « So Long Ago, So Clear » (où l’on retrouve la voix d’un certain Jon Anderson d’un petit groupe sans importance, Yes), c’est le 3ième mouvement de la deuxième partie, « 12 o’clock ».

Les trentenaires et quadragénaires doivent connaître…

Bonne écoute.