Ma migration vers Gnome 45 ? Un peu de casse, mais rien de bien grave.

Comme tous les six mois, Gnome connaît une montée en version majeure. Fin septembre 2023, Gnome 45 est officiellement sorti et comme d’habitude, il a fallu environ trois semaines pour que les paquets soient disponibles – dans un premier temps – pour le dépôt gnome-unstable, puis reversé dans le dépôt extra-testing.

Je n’ai pas eu trop de casse. Il faut dire que je n’utilise que deux extensions avec mon installation de Gnome :

  1. gnome-shell-extension-appindicator qui est empaqueté officiellement par Archlinux
  2. gnome-shell-extension-arch-update

Pour la première extension, j’ai récupéré le PKGBUILD officiel et je l’ai fait recompilé après avoir modifier la ligne pkgver.

Quand je fais une recherche des mises à jour en ligne de de commande, j’ai droit à cette ligne : avertissement : gnome-shell-extension-appindicator : la version locale (1:57-1) est plus récente que extra (1:53-1)

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Gnome Text Editor, un Gedit simplifié et allégé ?

S’il y a bien un outil de Gnome que j’utilise régulièrement, c’est son bloc note avancé, Gedit. Or, ce dernier n’a pas été porté pour Gnome 43. La version disponible de Gedit est une 43 alpha, ce qui n’est pas une bonne nouvelle dans l’absolu.

J’aurais pu rester avec Gedit 42 sous Gnome 43, mais j’ai eu envie de tester son remplaçant développé par l’équipe de Gnome et basé sur Gtk 4, j’ai nommé le Gnome Text Editor ou Éditeur de texte Gnome pour la version française.

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Et si les grands projets du logiciel libre étaient des êtres humains…

…dans quelle catégorie d’âge se trouveraient-ils ? Je parle des projets à destination bureautique et grand public, pas des langages de programmation, des serveurs web ou autres. Ce billet m’est venu à l’esprit alors que je fouillais le blog et que je suis retombé sur deux billets écrits en janvier 2021 :

  1. Les jeux vidéos de 1996
  2. L’informatique matérielle et logicielle de 1996

La liste que je vais faire sera non exhaustive, bien entendue. Je prendrai comme catégories les tranches suivantes : adultes (25 ans et plus), jeunes adultes (18 à 24 ans), adolescents (13 à 17 ans), enfants (moins de 13 ans).

Les adultes :

  • Le noyau Linux (30 ans) : Annoncé en 1991, linux 1.0 sortant en 1994
  • Slackware Linux (28 ans) : juillet 1993.
  • Debian GNU/Linux (28 ans) : Commencée en 1993, la version 1.1 est sortie en 1996
  • Red Hat Linux (27 ans) : La première version de la distribution 1.0 est sortie en 1994
  • SuSE Linux (25 ans) : La première version à s’appeller SuSE Linux fut la 4.2 sorti en 1996
  • KDE (25 ans) : Annoncé en 1996, première version stable en 1998
  • Gnome (24 ans) : Annoncé en 1997, première version stable en 1999
  • GIMP (25 ans) : Annoncé en 1996, première version stable en 1998

Les jeunes adultes :

Les adolescents :

  • Ubuntu (17 ans) : La première version, la Warty Warhog est sortie en octobre 2004
  • Mozilla Firefox (17 ans) : La version 1.0 est sorti en novembre 2004
  • OpenSuSE (16 ans) : la première version est sortie en octobre 2005
  • Linux Mint (15 ans) : La version « Ada » alias 1.0 est sortie en août 2006

Les enfants :

Il doit sûrement une tripotée de logiciels, mais j’ai pris ceux qui m’ont le plus marqué. Si vous avez envie de compléter la liste, je vous laisse le soin de le faire 🙂

Grace à Green Recorder, une utilisation constante de Gnome avec Wayland est possible.

Je suis revenu sous Gnome en juin 2020, il y a donc 10 mois déjà. Cela m’a permis de commencer à utiliser Wayland de plus en plus souvent. Pour tout dire, lors de mon utilisation quotidienne de Gnome, que ce soit la 3.36.x, la 3.38.x ou actuellement la version 40, j’arrive à une utilisation qui doit frôler les 90 à 95% du temps de Wayland.

Le seul moment où* je bascule dans une session X11, c’est quand j’enregistre des vidéos avec l’outil Simple Screen Recorder. Mais j’étais à la recherche d’un outil pour magnétoscoper mon écran sous Wayland.

J’avais utilisé une extension pour Gnome du nom d’EasyScreenCast, mais malheureusement celle-ci est incompatible avec Gnome 40.0.

Après quelques recherches, j’étais tombé sur Green-Recorder, abandonné par son précédent développeur et forké – et oui, des forks utiles ça existe et ça fait plaisir – par Danila Vershinin sur Github. J’avais rapporté un bug sur l’impossibilité d’enregistrer en mp4, bug qui a été corrigé dans la version 3.2.9.

Le logiciel en question est disponible sur AUR dans sa version stable et sa version git. J’ai donc pris la version stable que j’ai adapté pour lui faire prendre en compte la mise à jour vers la version 3.2.9.

J’ai fait une minuscule vidéo pour montrer les réglages de l’outil. Enregistrer un enregistreur par lui même, ce n’est pas un peu récursif ? 🙂

L’outil est assez simple d’emploi et surtout cela répond à un besoin que j’avais à combler : enregistrer des vidéos tout en restant sous Wayland. Ce qui me fait franchement plaisir, est-il besoin de le préciser 🙂

Le seul problème est la non-compression du flux mp4 qui fait que la petite vidéo de moins de 3 minutes pesait quelques 376 Mo avant d’être montée dans KDEnlive… La vidéo montée et disponible au-dessus ne pesant que 15 Mo…

Mis à part ça, ce n’est que du bonheur, faut en profiter 🙂

Mon bilan pour l’année 2020 : une année « blanche » ou presque.

Maintenant que l’année 2020 vit ses dernières heures, du moins lors de la rédaction de ce billet, j’ai eu envie de faire un bilan. C’est une année « blanche » ou presque en ce qui me concerne. En effet, je comptais prendre des cours de conduite pour réessayer de passer le permis de conduire après une première tentative vers 1995-1996.

C’est au moment où je comptais m’inscrire auprès d’une auto-école que le premier confinement est arrivé. Autant dire que cela repoussait automatiquement mon inscription. Quand le premier confinement se déclencha, je pensais aux personnes qui étaient prêtes à tenter leur chance à l’examen qui se prenait un arrêt sec de leurs démarches en pleine face.

Ensuite, le temps que les auto-écoles récupèrent un peu et que je puisse envisager une inscription – après avoir mis un peu d’argent de côté pour les premières leçons au coût moyen de 42 à 45 euros de l’heure – que le deuxième confinement pointait le bout de son nez.

Autant vous dire que je suis un brin écoeuré, même si je suis bien content que le code que j’ai décroché en juin 2019 ait une durée de validité maximale de 5 ans, loin des 2 ans que j’avais connu lors de ma première tentative de décrocher le permis de conduire. Ce qui me laisse encore une marge confortable. C’est déjà ça de pris !

Côté culture, ce fut une année d’un calme trompeur. En effet, je n’ai acheté cet année que quatre albums : « Paragon Circus » d’Altesia, « Plow » de Tarmak, « A Shadow of Memories » de Lethian Dreams et « 0110 » de Cosmic Ground.

Côté littéraire – si je peux parler ainsi – j’ai publié deux oeuvres en auto-édition via Amazon : « Les contes de Tonton Fred » (en avril 2020) et « Le Dragon et la Princesse » (en octobre 2020).

J’ai attaqué un nouveau projet, du nom de projet « M ». Pour le moment, je n’ai écris qu’une douzaine de pages, vous comprendrez que je préfère rester silencieux. Je pense que j’ai bien encore 4 à 6 mois de travail sur ce projet pour le faire aboutir. J’en reparlerai donc d’ici juin 2021. Tout ce que je peux vous montrer, c’est l’état d’avancement en cette fin d’année 2020.

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