En vrac’ rapide et culturel dominical.

Un petit vrac’ culturel (un en seul mot, pas comme les émissions de certaines chaines de la TNT, comme NRJ8 ou Direct12 :).

Collection Hungry Lucy

Voila, c’est tout pour aujourd’hui 🙂

Collectionneur en action : les coffrets de CDs les plus atypiques.

J’ai voulu parler de mes coffrets collectors, ceux qui ne sont pas des digipacks ou des boitiers cristaux classiques. Encore plus rare que les coffrets digipack qui ressemblent à des livres avec une notice à l’intérieur.

Et comme une vidéo parle plus que mille mots, j’ai essayé de faire quelque chose de potable avec ma webcam pourrie et avec les travaux du mouroir pour vivants spécialisé alzheimer qui ont pris trois bons mois de retard.

Les artistes et groupes en question :

Bonne écoute 😀

Point rapide sur les artistes / groupes de musique libre de ma musicothèque.

Ce matin, après avoir acheté un album conseillé par Toine du site @diffuser.net, j’ai voulu voir sur les 199 artistes / groupes de ma musicothèque la proportion d’artistes produisant des albums sous licences Art Libre et Creatives Commons.

Musicothèque au 20 août 2012

Voici donc la liste alphabétique que j’ai pu tracer. J’ai essayé de mettre un lien pour chaque ligne. Et de nombreux genres sont représentés. La liste est assez longue, et j’espère ne pas en avoir trop oublié… 🙂

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De l’art et de la manière de montrer l’inutilité flagrante de l’Hadopi.

Hadopi, la loi rédigée pour les majors du disque, pour les quelques artistes richissimes qui planquent leurs argent dans des paradis fiscaux, et qui coûte 12 millions d’euros à l’Etat français pour être un simple machine à envoyer du spam, est une loi plus qu’inutile, et surtout le premier pas vers la mise en place du filtrage du réseau, tout cela pour faire ressembler internet à une gigantesque galerie commerciale.

Des artistes ont depuis longtemps compris que le modèle de vente de galettes plastifiées est moribond, et cela fait 10 ans que le changement vers la dématérialisation est en route. En gros, depuis l’épopée de Napster vers 2000 – 2001.

Des artistes établis ayant même franchis le pas de proposer leurs musiques sous contrats Creative Commons : Nine Inch Nails pour ne citer que le plus célèbre, et qui avec son album Ghost I-IV dont la première partie était librement disponible a été une des meilleures ventes sur Amazon en 2008.

Mon prof de maths préféré l’a déjà écrit, dans un excellent billet dans laquelle il montre les limites de l’offre légale de la musique dématérialisée.

Une autre méthode pour prouver l’inutilité de l’Hadopi ? Ecouter des artistes indépendants, qui seront certains de recevoir plus qu’une aumone sur chaque vente faites de galette / mp3.

Dans cette catégorie, je classe des artistes comme ceux sur Dogmazic franchement peu connu du grand public, habitué à avoir les oreilles lessivées par la soupe que les radios et télés à clip passent à longueur de journée : Lady Gaga, Christophe Maé, Christina Aguilera, les artistes « made in » Massacr’Academy, etc…

C’est en fouillant sur la toile que j’ai trouvé des artistes comme Frau (et son sublime coffret deluxe dont je sais que les 15$ qu’il m’a couté, iront directement dans sa poche, pas dans celle d’une société de répartition des droits qui n’enrichit que les plus riches), ou encore Josh Woodward, Roger Subirana.

Des plateformes comme Noomiz m’ont fait connaitre des groupes comme Bats On A Swing, Pique La Lune!, des artistes comme Moon Rambler.

En sautant de liens en liens, on peut tomber sur des artistes comme Agnès Méric ou encore Semper Eadem.

Bref, sans avoir besoin de copier illicitement le top 50 qui monopolisent les radios car sponsorisés par un des géants des galettes plastifiées, on peut se faire une culture de qualité, largement plus variée que ce que l’on entend.

Et puis, il y a une autre méthode, franchement improductive, c’est de parler sur un média, ayant pas mal de passage, d’un outil en java (donc pas franchement léger) qui permet d’utiliser le « successeur » des réseaux en pair-à-pair pour faire des copies illicites de contenus protégés.

Cyrille Borne a expliqué ceci dans son billet, donc, je ne m’attarderai pas dessus, si ce n’est sur un effet collatéral qui risque de faire passer les utilisateurs de logiciels libre pour des contrefacteurs.

Surtout quand on s’aperçoit que le billet a été rédigé par une personne ayant pas mal de pouvoir sur le média en question. Et à grand pouvoir, grande responsabilité !

Cela risque de détruire les efforts des autres rédacteurs de ce média, ainsi que des libristes qui comme moi en ont fait partie. L’article en question n’est rien  de moins que – à mes yeux – une incitation à copier illicitement. Ce qui est une bétise, car cela va renforcer, mathématiquement, la volonté de filtrer l’internet.

A croire que certaines personnes oublient que l’on peut faire du mal au logiciel libre avec un seul article… Le genre de mal qu’il est très dur après de soigner.

Avis personnel que je partage entièrement ! 🙂

Frau… Une artiste indonésienne à découvrir

En novembre dernier, alors que je me promenais sur les netlabels qui proposent de la musique libre, je tombe sur le site de l’indonésien « Yes No Wave« .

Un album m’intrigue, du moins sa pochette, « Starlit Carousel » de Frau, nom d’artiste de Leilani Hermiasih. Et quand je suis intrigué, je veux en savoir plus. J’en profite donc pour récupérer en toute légalité l’album, et là, c’est la claque ! Les traductions de titres en indonésien ont été faites avec l’outil de traduction de google 🙂

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