En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce premier mercredi de janvier 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Emmabuntüs annonce la sortie de la version DE5-1.01 de sa distribution orientée recyclage de vieux ordinateurs.
  • La DGLFI de la semaine. Partez d’une Fedora Linux Gnome. Configurez l’extension dash-to-panel pour obtenir une présentation générale à la MS-Windows. Rajoutez-y les dépôts RPM Fusion. Secouez le tout, et vous aurez la Oreon Lime.
  • Dans le monde des distributions GNU/linux légères, je demande la WattOS R13, une base Debian avec Openbox comme gestionnaire de fenêtres.
  • Haplo qui nous a déjà proposé la série des « Tenebra » ou encore « Caim » revient sur le Commodore 64 avec un jeu d’exploration assez stratégie, « Binary Battle ». On y joue le rôle d’un antivirus qui doit nettoyer une disquette des véroles sur 5 niveaux constitués de 5 sous-niveaux pour y récupérer le code source d’un jeu. Bon courage 🙂
  • Dans la série, « tiens le projet bouge encore », je demande la version 4.1.15 d’Apache OpenOffice. Pourquoi tant d’acharnement thérapeutique ?

Côté culture ?

Rien cette fois.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Et si une grande purge du Linux bureautique arrivait, qui resterait en vie ?

C’est un exercice de pensée que j’ai eu envie de faire. Qui resterait en vie si un jour une grande purge avait lieu dans le petit monde des distributions GNU/Linux à destination bureautique.

Je parle des distributions génériques et « passe-partout » pour les linuxien(ne)s de tous niveaux.

Je ne prétends à aucune exhaustivité, juste à faire de mon mieux pour n’oublier personne. En cas d’oubli, les commentaires sont les bienvenus.

Il resterait selon moi :

1) Les distributions GNU/Linux mères, à savoir par ordre alphabétique :

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Que sont devenues les distributions de 2017, 5 ans après, partie 3 : Septembre et octobre 2017.

Début juillet 2022, je continuais le bilan des billets consacrés aux distributions GNU/Linux au bout de 5 ans. Voyons maintenant le bilan de septembre et d’octobre 2017.

4 septembre : La Redcore Linux

Pour le mois d’octobre ?

Quel bilan au final ? Un projet renommé, Archmerge étant devenue ArcoLinux. Le reste est aussi en vie, ce qui fait un bon bilan pour les mois de septembre et d’octobre 2017. Rendez-vous début novembre pour l’ultime billet de cette série.

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier mercredi d’août 2022..

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Prenez une dose de metal progressif, une de post-metal, une dose de stoner, secouez le tout longuement. Vous obtiendrez le premier album « LP01 » des parisiens de Homecoming.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Que sont devenues les distributions de 2017, 5 ans après, partie 1 : Janvier à juin 2017.

Je m’étais promis de ne pas faire une série de billets concernant les distributions GNU/Linux de 2017, mais après avoir réfléchi, je me suis dit pourquoi pas, ça pourrait être intéressant 🙂

Janvier 2017 :

  1. 23 janvier : Calculate Linux
  2. 28 janvier : Debian GNU/Linux

C’est cours pour le mois de janvier. Passons à Février 2017 :

  1. 10 février : Mageia Linux
  2. 13 février : Manjaro Linux

Creux, très creux… 🙂

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En vrac’ de fin de semaine

Petit en vrac’ en ce début mars 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

Il est temps peut-être d’enterrer les machines à processeurs Intel et AMD en 32 bits, non ?

Oui, on va me dire que je suis sacrilège, un enfant de trottoir, que je veux envoyer à la poubelle du matériel parfaitement fonctionnel. Déjà commençons par un point : j’écris ce billet le 26 avril 2020, soit une poignée de jours après la sortie de la nouvelle version supportée 5 ans de la distribution reine, celle qui est synonyme dans le grand public de Linux, j’ai nommé Ubuntu.

Comme le dit si bien NextINpact dans son article dédié à la sortie de la Ubuntu Focal Fossa :

[…]
Avant de plonger dans les nouveautés de Focal Fossa, signalons que cette version 20.04 prend en charge les scénarios de mises à jour depuis19.10 (la dernière classique) et 18.04 (la dernière LTS). Mais attention pour cette dernière : la nouvelle venue est exclusivement 64 bits et ne pourra donc pas réaliser une « upgrade » sur une machine à processeur 32 bits.
[…]

Petite parenthèse : n’étant pas abonné à NextInpact, j’ignore ce qu’il dise sur la volonté de Canonical de forcer l’adoption du snap. J’ai fait une petite vidéo pour exprimer mon point de vue ici.

Refermons la parenthèse.

Oui, sacrilège, on ne peut plus avoir la dernière Ubuntu LTS avec un processeur Intel ou AMD en 32 bits. Pour mémoire, en dehors de la période des mini-ordinateurs à la eeePC qui ont permis de produire des sombres étrons comme les processeurs Intel Atom, les deux principaux fondeurs de micro-processeurs pour ordinateur ne propose que des processeurs en 64 bits depuis fin 2003 voire mi-2004. Soit 16 ans !

J’ai retrouvé un dossier d’Hardware-fr sur l’Athlon64 à sa sortie en date de septembre 2003. Pour l’équivalent chez Intel, l’EMT64, c’est sur un artiocle d’août 2004.

Et oui, les derniers Pentium 4 étaient en 64 bits, notamment les 6xx et suivants. Pour les ordinateurs portables, c’est un peu plus complexe 🙂

Les vieux processeurs sont-ils pour autant condamnés à l’abandon si on est fidèle à la distribution de Canonical ? Que nenni ! Si on en croit le wiki d’Ubuntu, la 18.04.x LTS arrivera en fin de vie standard en… avril 2023 ! Merdre, encore 3 ans. Et on peut espérer, si on sort l’argent avoir 5 ans de prologation, soit avril 2028. Donc 8 ans.

Il est vrai qu’en 2023, utiliser des logiciels non critiques comme une vieille version de LibreOffice, la 6.0.x, alors que la 7.x.y voire 8.x.y sera la version supportée par les développeurs de la Document Foundation, ça ira… Mais est-ce que des ordinateurs qui ont souvent au grand maximum 4 Go de mémoire vive sont utilisables pour de la bureautique classique ?

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En vrac’ en direct du confinement, épisode 1

Un petit en vrac’ pour un confinement qui est bien parti pour durer au moins 6 semaines.

Côté informatique et internet ?

Côté culture ?

C’est tout pour aujourd’hui. Bon courage !

N’ayons pas peur des mots : il faut une rationalisation des distributions GNU/Linux « bureautiques ».

Je parle de celles qui ont pour cible « monsieur et madame tout le monde. »

Je sais déjà que certaines personnes vont jouer les « vierges effarouchées » en psalmodiant : « il faut du choix, il faut de la liberté ». À ces personnes je répondrai deux choses :

  1. « Trop de choix tue le choix », cf cette conférence de Barry Schwartz sur le paradoxe du choix.
  2. « Ô liberté, que de crimes on commet en ton nom ! », citation attribuée à Manon Roland le jour de son exécution, le 8 novembre 1793 ou 18 brumaire an II.

Si on voulait arrêter la masturbation intellectuelle à chaque nouvelle publication d’un projet à destination bureautique, et rationaliser tout cela en ne prenant au maximum que 4 à 5 distributions GNU/Linux par famille ?

Cela donnerait quelque chose de ce style, par ordre alphabétique, en dehors de la distribution mère qui définit la famille en question :

Pour la famille Archlinux :

  1. Manjaro
  2. EndeavourOS
  3. Anarchy Linux en cas de défaillance de la EndeavourOS

Pour la famille Debian :

  1. Ubuntu et ses saveurs officielles : Kubuntu, Xubuntu, Lubuntu, Ubuntu Mate pour ne citer que les principales.
  2. Linux Mint
  3. Emmabuntüs DE (pour les vieilles machines)
  4. Q4os (pour les vieilles machines)

Est-ce que les Gentoo et distributions à base de code source peuvent être appliquées aux particuliers ? Idem pour la famille des Slackware ?

Pour la famille des RedHat :

  1. Fedora
  2. OpenSuSE

Oui, cela ne fait pas grand chose. En comptant les saveurs officielles d’Ubuntu, on arrive à quoi ? Une vingtaine de distributions ?

Je ne pense pas avoir oublié de distributions incontournables dans cette liste et qui apporte des fonctionnalités que leur disparition changerait la face de ce petit monde qu’est celui des distributions GNU/Linux.

Les premières distributions GNU/Linux remontent à 1992. Qu’est-ce qui n’a pas été inventé en presque 30 ans qui pourrait l’être ?

Je n’ai pas parlé des distributions 100% libres, car il n’y en a quasiment aucune qui tienne réellement le choc dans la réalité sans jongler au niveau du matériel à acheter.

Je sais que ces propos ne vont pas plaire, et je m’attends dans les commentaires à des réponses du genre : « oui, mais tu as oublié telle distribution » ou encore du « tu es un anti-insérez la distribution- primaire. »

Non, j’ai juste utilisé des distributions GNU/Linux depuis 1996 et au quotidien depuis 2006. C’est tout 🙂

En vrac’ de milieu de semaine…

Comme la semaine est chargée, autant en profiter !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture, rien pour cette fois, désolé.

Bonne fin de journée ! 🙂