Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 49 : La classe

Dans cet article, je vais parler d’une émission qui donnait la part belle à l’humour plus ou moins recherché, j’ai nommé « La classe » produite par Guy Lux et animé par Fabrice.

L’émission remonte à 1987 et sera diffusée jusqu’en 1994. Elle passait tous les jours à 20 h 00 sur FR3 qui devint France 3 en 1992. Dans l’émission, des humoristes plus ou moins connus rivalisaient pour faire rire les élèves bien perturbateurs de la classe. Parmi eux, le fayot de la classe, Olivier Lejeune. Le maître des calembours plus que tirés par la perruque, Pompon. La preuve en vidéo 🙂

Le chanteur de charme, El Chato qui faisait une imitation très spéciale de Julio Iglesias qui entrainait un rire aux larmes pour Fabrice et les élèves. Ce sera aussi l’émission qui fera découvrir un certain… Lagaffe ! Sans oublier un certain… Jean Marie Bigard, preuve vidéo à l’appui.

Mais l’émission est resté célèbre pour son générique chanté par Bézu avec son inamovible béret.

Je pense qu’on manque d’émissions de ce style de nos jours… En tout cas, je la regrette par moment. Au moins, l’humour était sans filtre et certains sketchs ne passeraient plus dans notre époque de serrés du fion qui veulent tout régenter.

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 15 : les génériques cruels ou flippant de séries, d’émissions et de dessins animés.

Toute mon enfance a été bercée par des séries, des émissions et des dessins animés dont la cruauté ou le contenu foutait le moral au plus bas et une trouille monstrueuse. Dans cet article, je vais parler d’une série, d’une émission et d’un dessin animé qui m’ont marqué, moi, l’enfant des années 1970.

Commençons par une série au long générique, un peu plus de trois minutes, avec seulement six épisodes, tourné en 1982 et diffusé sur TF1. C’est « Madame S.O.S. ». On y retrouve Annie Cordy, Jean-Pierre Darras et Greg Germain dans les principaux rôles.

L’histoire est simple : Annie Cordy est Mitsi, une ancienne star du cabaret qui épouse par amour un grand industriel de la chaussure. Ce dernier se tue accidentellement un peu plus de dix ans après son mariage. Sa veuve décide alors d’aider son prochain.

Le générique est très long, mais très contrasté. Surtout la fin, qui reprend un titre de la plus française des chanteuses belges, « Si j’étais le soleil… », tiré de la comédie musicale « Envoyez la musique ».

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