Confession : Je suis archlinuxo-manjaristo-debianiste et c’est pas plus mal.

Derrière ce titre un peu bizarre, je décris les différents systèmes linux – GNU/Linux pour satisfaire les pisse-froid – que j’ai installé sur mes ordinateurs et autres Raspberry Pi.

Pour Archlinux, j’ai mon PC fixe qui me sert au quotidien et dont l’installation d’Archlinux date de plus de 5 ans.

J’ai aussi un Raspberry Pi 4 – 2 Go qui me sert à diverses tâches et qui fonctionne avec Archlinux ARM.

Pour Manjaro, c’est une installation d’une Tux’n’Vape Mate transformé par la suite en station sous Gnome. L’ordinateur en question date de l’époque de fin MS-Windows Vista début MS-Windows 7. Autant dire qu’il fait son âge.

Pour Debian, c’est la Debian unstable qui fait fonctionner un Asus eeePC 1005 HAG, le tout avec Xfce pour des raisons de mémoire.

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Confession d’un vieux geek : je n’ai jamais vraiment été un grand fan de l’Amiga !

Oui, je sais, je vais me faire tomber dessus à bras raccourcis par pas mal d’ancien(ne)s amigaistes qui vont vouloir allumer un bûcher pour me faire rotir dessus.

J’ai parlé de nombreuses fois de jeux qui m’ont marqué quand j’ai eu l’opportunité de m’équiper d’un Amiga 1200 en 1993-1994, période qui a correspondu à la descente aux enfers de Commodore.

Voici quelques articles où j’ai pu parlé de jeux sur Amiga qui m’ont donné du plaisir à être lancé de nouveau :

Mais aussi des logiciels plus sérieux comme PC-Task en juin 2020 ou le Magic Workbench en août 2020.

Mais je dois le dire, je ne regrette pas tant que ça ma période Commodore Amiga. J’étais bluffé par les captures d’écran dans les magazines vidéoludiques, et je bavais d’envie sur les images dans les publicités des jeux qui montraient toujours soit la version Amiga, soit la version Atari ST.

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3615 ma vie : pourquoi le vieux con linuxien que je suis utilise Mate-Desktop au quotidien

Oui, derrière un titre qui sent bon les années 1980-1990, j’ai envie de faire un petit billet rapide digne de la confession.

Oui, j’utilise Mate-Desktop au quotidien depuis… la fin novembre 2015, après une ultime semaine sous Gnome 3.18. En mars 2015, j’avais migré sur Xfce en ayant eu ma claque de Gnome 3 et de sa tablettisation croissante.

En ce mois de mars 2019, cela fait donc trois ans et demi que je suis utilisateur de l’interface qui a succédé à Gnome 2.x. La version 1.22 est sorti le 18 mars 2019. Un billet sur linuxfr.org résume les grands traits de cette version de peaufinage de l’environnement.

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Confession d’un amateur de musique, épisode 11 : ma découverte du trip-hop avec Portishead.

Il y a un genre musical que j’aime écouter de temps en temps, quand j’ai envie de me changer les idées, c’est le trip-hop. Je suis assez sélectif dans ce genre musical, et je dois avouer que mon « dépucelage » musical dans ce domaine a été fait par le groupe le moins stakhanoviste du domaine, Portishead.

Comme pour Dead Can Dance (qui a inauguré cette série de billets en juillet 2016), je dois la découverte de ce genre musical à une amie et future collègue en 2008.

Je connaissais vaguement le titre le plus célèbre du premier album du groupe de Bristol, « Glory Box » dont ma version préférée est celle du live à New York :

Dès que je suis plongé dans le premier album, je n’ai rien trouvé à jeter, que ce soit « Sour Times », « Roads », « Mysterons » ou encore « Wandering Star ».

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Confession d’un amateur de musique, épisode 10 : ma découverte de la Renaissance Folk-Rock avec Blackmore’s Night.

Si j’aime les musiques qui vous décapent les oreilles à grand coup de guitares saturées, de chants gutturaux et de rythmes de batterie presque inhumains à cause de leur complexité, j’aime aussi le strict opposé.

Le groupe qui m’a fait découvrir la musique folk-rock avec des ambiances de la Renaissance, c’est le dernier projet musical d’un guitariste aussi talentueux que son caractère est porcin. J’ai nommé Richard Hugh Blackmore, qui fêtera ou aura soufflé ses 72 bougies le 14 avril 2017.

C’est un groupe qu’il a fondé en 1997 avec celle qui allait devenir sa troisième épouse, Candice Night. Après avoir exploré le hard-rock classique et fait des expérimentations avec Rainbow, il se lance dans la musique folk-rock inspiré des ambiances de la Renaissance. J’ai découvert le groupe sur le tard, après la sortie de l’album Autumn Sky en 2010, dont voici un de mes titres préférés, même si je préfère avec le recul l’album « Ghost of a Rose ».

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