Mes tops de 2010 à 2019.

Après l’article des flops qui a provoqué l’arrivée des commentaires pavloviens habituels sur certains sujets, autant attaquer ce qui a été positif dans les dix années qui viennent de s’écouler.

Commençons par l’informatique. Le monde du logiciel libre, ce n’est pas seulement Saint iGNUcius et sa toge, l’échec de GNU/Hurd ou encore Gnash.

C’est aussi des très bonnes surprises comme LibreOffice. Qui aurait parié sur la survie du fork d’OpenOffice.org que laissait pourrir sur pied Oracle ? Pas grand monde. Tout comme Mate-Desktop, né en juin 2011 sur le forum d’Archlinux ? J’avoue que je n’y croyais pas trop au début… Mais c’est devenu mon environnement près de 4 ans depuis sa version de développement 1.13.0… De mémoire, bien entendu.

Sur le plan des distributions GNU/Linux, j’ai fini par trouver ma maison : Archlinux. Même si j’ai passé un peu moins de trois mois en deux temps sur Frugalware Linux, au 1er janvier 2010 j’étais sous Archlinux. Au 1er janvier 2020, idem. Comme quoi, pour une distribution dont les détracteurs disent qu’elle ne tient pas la route, c’est pas mal 🙂

Autre très bonne surprise, malgré quelques couilles dans le potage, c’est Manjaro Linux qui fait vivre mon vieil ordinateur portable, et dont l’installation approche tranquillement des 18 mois 🙂

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac’ pour clore une semaine un peu creuse sur le blog. J’ai des obligations personnelles qui me mettent un peu en retrait en ce moment. Mais ça va vite changer 😀

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Dans la catégorie distributions GNU/Linux sérieuses, je demande la MX 16.1, basée sur la Debian GNU/Linux Jessie en attendant la version sur Stretch 🙂
  • La cousine éloignée de la ArchLinux, j’ai nommé la KaOS vient de sortir sa version 17.06 qui propose Plasma 5.10.x entre autres choses.
  • J’adore l’optimisme de Cyrille Borne, surtout quand il parle du bureau linuxien… J’aurais presque pu l’écrire sur certains plans, mais on m’aurait dit que je radote 🙂

Côté culture ?

Bonne week-end !

En vrac’ mercurien.

Un rapide en vrac’ mixte de milieu de semaine. Le premier de 2017. Essayons de partir d’un bon pied, cette fois !

Commençons par le logiciel libre :

Côté musique et livre ?

Voila, c’est tout pour aujourd’hui et bonne journée.

« La tour de Sélénite », un bon premier roman.

J’ai découvert Arnaud Codeville avec son deuxième roman, « 1974 » dont j’ai parlé début octobre 2016. C’est donc avec curiosité que je me suis attaqué à « La tour de Sélénite » sorti en 2015.

Si l’action de « 1974 » se passe en 1995, dans son premier roman, nous sommes en 1981. Adel Blanchard, ancien professeur d’université puis ancien écrivain, revient pour des raisons financières à ses premières amours professionnelles.

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« 1974 » d’Arnaud Codeville : le jury « Plumes Francophone 2016 » d’Amazon a visé juste… Et ça fait plaisir.

L’auto-édition rend fou. Je sais, je l’ai déjà dit en mai 2016 et j’y reviendrai rapidement en fin d’article, pour la dernière fois je l’espère sincèrement !

Hier, le 4 octobre 2016, alors que je lisais le dernier roman de Marylise Trécourt (qui est très bon soit dit en passant et sur lequel je renviendrai après avoir dévoré le tordant « Le Bon Dieu sans confession »), j’ai appris avec étonnement et plaisir le nom du vainqueur du concours « Les Plumes Francophone » 2016 d’Amazon. L’année dernière, c’était Isabelle Rozenn-Mari qui avait été couronnée lors de la « Rentrée Kindle des auteurs indés. ». Cf cette vidéo publiée sur Youtube en relation avec le concours de 2015.

Autant dire qu’avec une telle récompense, il m’était difficile de ne pas voir ce que propose Arnaud Codeville. Pour lui laisser une chance de me convaincre de revenir à la lecture d’auto-édité(e)s en dehors du cercle restreint d’auteur(e)s que je m’étais déjà constitué, histoire d’ajouter un auteur de plus à ce groupe d’écrivains qui savent manier la plume.

J’ai donc sauté sur l’occasion pour prendre les deux livres de l’auteur. Pour respecter le choix du jury, j’ai attaqué « 1974 » il y a quelques heures. Ce sont donc des impressions à chaud. Même si j’avais juré mes grands dieux d’abandonner la lecture d’auteur auto-édités en dehors de mes coups de coeur précédents. Comme quoi, il ne faut jamais dire jamais 🙂

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