En vrac’ rapide de fin de semaine.

Pour finir la dernière semaine du printemps 2015, un en vrac’ rapide et plutôt varié.

Commençons par le panier de crabes informatique, j’ai nommé le logiciel libre 🙂

Sur le plan culturel ?

Bon week-end !

En France, on a peut-être pas de pétrole, mais des bons groupes de métal symphonique !

En fouillant les catégories de bandcamp, ma mine d’or pour trouver des albums et des groupes qui n’ont pas l’opportunité de passer à la radio et à la télévision, je suis tombé sur le premier EP d’un groupe grenoblois, du nom d’Ossonor.

Avec les lillois d’Alwaid et les parisiens de Unseelie (plus orienté gothique, d’accord !), voici que je tombe sur une troisième pépite orientée métal symphonique avec chant féminin, mon péché mignon.

L’album commence avec une introduction tout ce qu’il y a de plus classique dans ce domaine. Une mise en bouche avant « A Momentary Lapse in Hell » qui reprend tous les canons du genre avec un duo chant clair féminin et chant guttural masculin.

Ça envoie vraiment et ça donne la patate 🙂

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Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 15 : les génériques cruels ou flippant de séries, d’émissions et de dessins animés.

Toute mon enfance a été bercée par des séries, des émissions et des dessins animés dont la cruauté ou le contenu foutait le moral au plus bas et une trouille monstrueuse. Dans cet article, je vais parler d’une série, d’une émission et d’un dessin animé qui m’ont marqué, moi, l’enfant des années 1970.

Commençons par une série au long générique, un peu plus de trois minutes, avec seulement six épisodes, tourné en 1982 et diffusé sur TF1. C’est « Madame S.O.S. ». On y retrouve Annie Cordy, Jean-Pierre Darras et Greg Germain dans les principaux rôles.

L’histoire est simple : Annie Cordy est Mitsi, une ancienne star du cabaret qui épouse par amour un grand industriel de la chaussure. Ce dernier se tue accidentellement un peu plus de dix ans après son mariage. Sa veuve décide alors d’aider son prochain.

Le générique est très long, mais très contrasté. Surtout la fin, qui reprend un titre de la plus française des chanteuses belges, « Si j’étais le soleil… », tiré de la comédie musicale « Envoyez la musique ».

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En vrac’ rapide et varié mercurien.

En ce jour dédié à Mercure, version romanisée du dieu grec Hermès, un petit article en vrac’ pour remplir un peu le blog 🙂

Commençons par le logiciel libre.

Continuons par du culturel.

Voila, c’est tout pour aujourd’hui. Bonne journée !

En vrac’ dominical.

En ce dernier jour du mois de mai 2015, voici quelques liens en vrac. Commençons par le doux monde du logiciel libre :

Sur le plan culturel, maintenant.

Voila, c’est tout pour ce dimanche.

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 14 : 12 avril 1992, quand meurt une chaine de télévision.

Pour nombre d’enfants des années 1970, le cinquième canal de télévision, ce n’est pas France 5. Du moins, pas à son origine. Pour nous (je fais parti de ces enfants là), c’est surtout « La 5 » lancée par Berlusconi (1986), reprise par Robert Hersant (1987-1990) et disparaissant sous la direction de Hachette (1991-1992)

Sur certains plans, c’était une télévision en avance sur son époque. Même si les jeux à fric faisait scandale à l’époque – ce qui ne choque plus trop de nos jours – ce fut aussi une chaine révélatrice de talents. Ne serait-ce qu’avec Nagui qui anima l’adaptation d’un jeu célèbre : « Que le meilleur gagne ».

C’était aussi la chaine qui a permis de diffuser des séries en exclusivité – avant qu’elles ne soient reprises par les autres chaines, comme « K2000 », « Tonnerre Mécanique », « Twin Peaks » ou encore « supercopter ».

C’est pour moi aussi les souvenirs d’une chaine qu’on avait du mal à capter, car à l’époque on passait par une bonne vieille antenne rateau. Avec une qualité d’image pas franchement « tip top » 🙁

Plombée par ses finances, elle déposera le bilan et fermera en 1992. C’est avec TV6 (1986-1987) la seule chaine française hertzienne à avoir mis la clé sous la porte. La Cinquième qui deviendra France 5 verra le jour en septembre 1994.

Premier bilan musical de 2015 : c’est quoi les artistes « connus » du grand public ? :)

À une dizaine de jours du mois de juin 2015, du moins au moment où je rédige cet article, j’ai voulu faire un bilan de mes acquisitions musicale entre janvier et mai.

Comme disait feu Pierre Desproges « Je ne suis pas superstitieux, ça porte malheur », j’ai acquis 13 galettes. J’aurais pu rajouter « Corpo Mente« , mais comme je ne l’ai qu’en numérique, c’est un brin hors sujet pour cet article 🙂

Dans les genres, metal et apparentés ? 8. Post-rock ? 2. Folk ? 1. Électronique ? 1. Inclassable ? 1.

collection musicale mai 2015

De haut en bas et de gauche à droite sur la photo ci-dessus :

Autant dire qu’il n’y a aucun artiste ni groupe qui passent sur les mass-media, qui soit « mainstream » (qu’on peut traduire par « dominant »). Je n’ai même pas encore acheté le dernier Steven Wilson (« Hand Cannot Erase ») alors que j’aime beaucoup les créations de cet artiste.

Est-ce à dire que j’ai des goûts élitistes ou simplement que je ne supporte plus la sousoupe commerciale qui monopolisent les médias ?

Corpo-Mente : un album bien mélangé.

Il m’arrive de trouver des pépites sur Bandcamp. Alors que je fouillais la catégorie des meilleures ventes, je suis tombé sur l’album éponyme du duo Corpo-Mente.

Quand j’ai vu la liste des tags pour qualifier l’album, je me suis gratté la tête plusieurs secondes, car on peut y lire : metal, death metal, experimental, trip-hop et opera.

C’est un peu intrigué que j’ai lancé la lecture de cet album de 10 pistes pour 40 minutes. Autant dire que c’est un album qui propose des pistes qui ne se perdent pas dans des introductions sans fin 🙂

Fruit du travail de Gautier Serre aux instruments et de Laure Le Prunenec au chant, avec quelques musiciens invités, on se retrouve avec un mélange qui est étrange au premier abord. La voix de Laure Le Prunenec est porté par des mélodies qui mélangent les influences rock, metal et un peu trip-hop.

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En vrac’ rapide et libre mercurien.

En ce jour de Mercure, et veille du jeudi de l’Ascension, un petit en vrac’ rapide et libre.

  • Une distribution vient de nous quitter : La Foresight Linux et son gestionnaire de paquet qui sonnait mal en français, Conary. Dommage, car ce n’était pas une distribution qui « se limite à changer le fond d’écran ».
  • Et une autre distribution revient à la vie, en se basant sur la Slackware Linux 14.1, la distribution légère ConnochaetOS.
  • Handy Linux 2.0 est annoncée pour le 16 mai 2015 ! Ça fait plaisir de voir survivre des distributions GNU/Linux utile.

Et si on parlait musique ?

C’est tout pour aujourd’hui !

L’auto-édition : vraie opportunité ou piège à con(ne)s ?

Depuis quelques années, l’auto-édition dans le domaine de l’écrit a le vent dans les voiles. Que ce soit via des plateformes comme celle que propose Amazon, In Libro Veritas, Atramenta ou encore Lulu, il n’y a jamais eu autant de publications écrites.

Évidemment, comme partout, quand l’auto-édition arrive, il faut savoir trier le bon grain de l’ivraie. Cela m’a permis de découvrir principalement – honneurs aux dames – des auteur(e)s comme : Isabelle Rozenn-Mari, Christelle Morizé, Anna Khazan. Pour ces messieurs ? Jérome Dumont, Wendall Utroi, Xavier Delgado, Philippe Saimbert ou encore Didier Acker.

Il faut cependant ne pas oublier que l’auto-édition est du pain béni pour les maisons d’édition classique. Cela leur permet de faire leur marché, de voir les auteur(e)s qui arrivent à bien vendre.

On peut prendre ici l’exemple d’Alice Quinn qui est désormais signée par une major de l’édition papier et qui profite ainsi de la puissance de feu médiatique qui en découle, et les « facilités » en terme de correction, de mise en page, de relecture. Tout ce qu’un(e) auteur(e) auto-édité doit faire par soi-même.

Dans un billet coup de gueule récent, Agnès de Destination Passions disait ce qu’elle pensait des auteur(e)s incapables de sortir du « mode promotion » de leurs oeuvres, oubliant le reste du monde. Je cite un passage du billet en question qui est parlant selon moi :

Je profite donc de cet article pour pousser un gros coup de gueule contre certains auteurs qui ne savent rien faire d’autre que se regarder le nombril et gonfler un peu le torse au moindre propos positif les concernant. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce genre d’auteur est plus fréquent qu’on le croit et quand vous regardez dans l’autoédition, c’est une invasion.
[…]
Qu’espèrent-ils tous ces nombrilistes de la capsule ? Que toute personne avec laquelle ils rentrent en contact se mettra à genoux devant eux et se précipitera sur leur prose ? Moi j’en ai rien à foutre de leur prose ficelée de façon intestinale et qui ne vous vaudra qu’une bonne visite chez le toubib. Pourquoi s’acharner si certains en ont rien à faire de ce que vous pensez de leur crotte ? Es-ce utile de dépenser de l’énergie à faire de nombreux emails aux uns et aux autres pour les informer de telle ou telle chose avec au passage quelques petits conseils d’”amis” ? Ils ne semblent avoir rien compris et un seul conseil s’impose pour eux : retourner à la case départ et tout réapprendre à l’exception des cas désespérés…

C’est une attaque violente et pourtant très réaliste du petit monde de l’auto-édition. Quoique la version musicale de l’auto-édition n’est pas meilleure. Je dois dire que j’adore Bandcamp, et que c’est devenu ma source principale d’approvisionnement en terme de musique. Mais pour un album que je présente sur le blog, j’aurais dû écouter dix sombres bouses pour trouver une pépite.

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