En vrac’ de fin de semaine.

Comme tous les samedis ou dimanches depuis quelques temps, un en vrac’ pour boucler la semaine. Commençons par le panier de crustacés qu’est le logiciel libre.

  • En dehors de la floppée des versions officielles de la Ubuntu Linux, il faut noter la sortie de la nouvelle version de CloneZilla, outil bien pratique pour cloner son disque dur à des fins de sauvegardes. Distribution qui utilise une base Debian GNU/Linux Sid. Plus d’infos sur les notes de publication.
  • L’équipe de la LinuxMint a annoncé la sortie de Cinnamon 2.8. Elle est réservé pour le moment aux fondu(e)s ! Plus d’infos sur le billet qui annonce la publication.
  • Un nouveau venu dans le monde du blog consacré au libre : Maxso. Je lui souhaite une bonne continuation !
  • Un nouveau forum consacré au logiciel libre a pointé le bout de ses octets récemment : Torrent Libre.

Passons à la culture. Après le gros billet du mercredi 21 octobre, je n’ai pas vraiment grand chose à me mettre sous la souris 🙁

  • Vous aimez le death metal melodique ? Laissez donc trainer une oreille sur le premier EP éponyme des Watch Them Burn. Merci Twitter 🙂
  • Dans le genre plus doux – c’est pas difficile – je demande le premier album d’Andrea Lucia, « Eschaton ».
  • Prenez du post-rock, ajoutez une dose de progressif, un peu de shoegaze, et mélangez bien le tout. Vous obtiendrez « In the midst of chaos there is stillness » du groupe Fleur de Lis originaire d’Oslo.

Voila, c’est tout pour aujourd’hui. Bon week-end 🙂

« Ai » de Ordinary Vision : un premier EP réussi.

Dans un récent « en vrac’ musical », dans la liste des albums que j’ai présenté, il y avait le premier album d’Ordinary Vision, alias Emanuele Viali. L’album est sorti le 4 octobre 2015. Il est uniquement disponible en téléchargement à prix libre.

C’est un album qui mélange allègrement le post-rock, le progressif et le metal. Il faut dire qu’il n’y a que quatre pistes, qui vont de 3 à 9 minutes, pour un total d’environ 28 minutes.

Si on vous dit metal, vous pensez guitare saturée, voix gutturales, batteries déjantées. Mais ce n’est pas l’impression que nous donne la première piste. C’est plutôt une ambiance de méditation, avec de longues plages planantes.

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Ah, les noms de code des diverses versions d’Ubuntu… Merci à Lucy in the Sky with Diamonds ? :)

Alors que la 22ième publication d’Ubuntu est encore toute fraîche, et que le grand manitou de Canonical, j’ai nommé Mark Shuttleworth a annoncé le nom de code de la 6ième LTS de l’histoire de la distribution, j’ai eu envie de revenir sur les noms de code qui sont les plus… bizarroïdes jamais proposés.

Le nom de code la Ubuntu 16.04 LTS étant hors concours, bien qu’il est assez tiré par les cheveux, car il faut y penser à Xenial Xerus. Dixit Mark Shuttleworth, Xenial signifierait amical ou hospitalier. Le Xerus fait un peu penser aux suricates dans l’apparence générale, bien qu’ils soient affiliés aux écureuils. Bizarre, non ?

Mais il y a d’autres noms de code depuis la sortie de la première Ubuntu en octobre 2004 qui valent leur pesant de « Mais comment ils ont pu trouver ça ? ». Voici donc mon top 5, rangé par ordre chronologique.

À tout seigneur, tout honneur. Commençons par la Ubuntu 4.10, sortie en octobre 2004. Inaugurant le principe d’une Debian GNU/Linux « simplifiée », la première Ubuntu avait pour nom de code… Warty Warthog, ce qu’on peut traduire par « phacochère verruqueux ». Non, je n’ose même pas m’imaginer la tête d’un phacochère souffrant de verrues. Pauvre bête !

À l’époque la seule interface disponible était Gnome 2.8 avec Mozilla 0.9 (mise à jour par la suite en version 1.0.x), et OpenOffice.org 1.1…

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En vrac’ musical du mercredi.

Cette semaine, un en vrac’ musical un peu chargé. Je vous fais donc partager mes découvertes, dont certaines déboucheront sur des achats, d’autres pas.

Voila, c’est tout pour aujourd’hui 🙂

En vrac’ de fin de semaine un brin vachard !

Pour finir cette semaine, un en vrac’ assez chargé et spécialement vachard. Y a des jours comme ça…

Commençons par le logiciel libre :

  • Après de nombreux mois de développement, la NuTyX 8.0 alias Houaphan (dont j’avais parlé le 17 septembre 2015) est officiellement disponible.
  • Dans la série « je fais un bond énorme en terme de numérotation », je demande la OpenSuSE Leap 42.1 rc1. La version 42.1 finale, qui suivra la OpenSuSE 13.2, est prévue pour le 30 octobre.
  • La Emmabuntüs 3 vient de sortir sa nouvelle révision mineure, la version 1.02… Qui sur certains plans aurait bien mérité une numérotation 2.0 🙂

Passons maintenant au monde merveilleux des liens bien vachards.

Pour finir, on va parler musique.

C’est tout pour aujourd’hui ! Bon week-end !

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 18 : « Maguy », le premier sitcom français à succès.

Si pour nombre de trentenaires, les sitcom françaises riment avec les innombrables séries d’AB Productions, pour les quadragénaires, c’est une autre série qui vient rapidement à l’esprit : « Maguy ».

Adaptation du sitcom américain « Maude », c’est l’une des premières séries de ce style produite en France. La première étant l’essai raté de Stéphane Collaro, « La Famille Bargeot » en mars 1985.

Diffusée entre septembre 1985 et décembre 1994 sur Antenne 2 puis France 2, elle raconte les aventures de Maguy (Rosy Varte), de son troisième mari Georges (Jean-Marc Thibault), de leur femme de ménage Rose (Marthe Villalonga) et de leur cercle de proches dont Pierre (Henri Garcin) ex-interne des Hôpitaux de Paris dans la ville fictive du Vézinet, homonyme de la commune du même nom en Yvelines.

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En vrac’ musical…

Normal, c’est mercredi, donc musique sur le blog. Voici quelques petits liens, dont certains trouvés via des artistes et groupes qui me contacte sur le réseau social à l’oiseau bleu.

J’avais besoin de faire une pause mentale (et nerveuse) dans la série assez technique en cours, dont vous trouverez les deux premiers billets ici et ici.

  • Vous aimez le folk metal à chant clair ? Alors, laissez traîner une oreille du côté de l’EP « Idris Awaits » des gallois du groupe Annwn.
  • Vous aimez les albums complètement déjantés qui sont un énorme « WTF », alors cet album de metal dédié à Jean Pierre Coffe sera pour vous. Rien que le titre de l’album en question est tout un programme.
  • Dans le genre plus doux, les serbes de Stray Dogg viennent de sortir leur troisième album, « Come Along Wind« . C’est de l’indie folk tout ce qu’il y a de plus classique.
  • Dans la catégorie « m’a rajouté sur twitter », je demande la chanteuse de « neo soul » Amia Franz. Ça pourra toujours vous parler, même si je ne suis pas super fan de la neo soul.
  • Toujours dans cette catégorie, si vous aimez la folk pop acoustique, pourquoi ne pas laisser traîner une oreille du côté des création de J.R. Byrd ? Vous serez ravi !

Sur ce, bonne journée !

En vrac’ dominical pour changer un peu :)

Un petit en vrac’ de fin de semaine. Commençons par le logiciel libre.

  • L’Unix libre le plus versatile est disponible dans une nouvelle mouture. Je parle bien entendu de NetBSD 7.0.
  • Clap de fin pour la Archbang Linux ? En tout cas, une équipe veut faire continuer de vivre cette Archlinux inspirée de la Crunchbang Linux.
  • Dans le genre projet généreux, je demande la NormandieOS, une OpenSuSE sur laquelle est rajouté LXQt et quelques outils. On verra bien ce qu’elle durera.
  • Vous êtes professeur (maternelle et école primaire) et vous cherchez une distribution GNU/Linux conçue pour l’éducation ? La PrimTux sera un bon choix : Debian GNU/Linux Jessie avec le dernier HandyMenu. Plus d’infos sur le site officiel avec un excellent dessin de Péhä.

Parlons un peu culture.

C’est tout pour ce dimanche ! Bonne fin de week-end !

« When comes the rains » des « The Orchid » : de la folk douce et planante.

Dans mon en vrac’ du samedi 3 octobre, j’avais parlé en vitesse de plusieurs albums. Le premier EP des Manceaux de « The Orchid » en faisait partie.

Leur premier EP est assez court, il ne fait qu’une grosse douzaine de minutes et est sortie en mars 2014. C’est via le réseau encore plus fantôme, à savoir le point d’accès à diaspora* de Framasoft que j’ai appris l’existence de l’album. Merci à Vincent Valentine pour l’information. Par ailleurs, j’ai appris que le bassiste de The Orchid fait aussi parti d’un certain… Saelig Oya, donc j’ai parlé en septembre 2015. Le monde est petit parfois 😛

Bien que le groupe soit français, il respecte une règle non écrite : la folk se doit d’être chantée dans la langue de Shakespeare.

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, un en vrac’ à la fois informatique et culturel. Cette semaine, il est plutôt copieux. Commençons par l’informatique.

La section culturelle est assez chargée cette semaine. C’est fou le nombre de groupes qui s’abonne à votre compte par le biais de liens indirects 😛

Enfin, entre le 5 et le 10 octobre, j’aurais un peu plus de mal à alimenter mon blog, étant donné que je serais en vacance en famille. J’ai cependant déjà préparé quelques articles qui seront postés au fur et à mesure de la semaine prochaine.

Bon week-end !