KaOS 2014.08 : Quand Bugman frappe et tombe sur un petit bug bien « vicieux » :)

Voici un article qui m’aura demandé un peu de patience pour être publié, et qui a remis au goût du jour le surnom que j’ai gagné quand j’étais utilisateur / testeur d’une distribution en semi-rolling release dont le nom commence par « Fru » et termine par « ware »…

Le 21 août, je lisais la disponibilité de la nouvelle ISO de la KaOS, une distribution qui ressemble à Archlinux mais qui ne l’est pas vraiment, un peu à l’image de la Chakra.

Le 21 août, je récupérais l’image ISO, et je lançais l’ensemble dans une machine virtuelle Virtualbox. Après l’installation en demandant une partition /home séparée, je me retrouvais avec une machine virtuelle inutilisable, car ne démarrant pas.

Je me retrouve avec une bête ligne de commande, et quand j’utilise la commande journalctl -xb, je me retrouve avec une annonce de non montage des partitions créées.

Après avoir rapporté le bug sur la communauté google+ et le forum du site officiel, il s’avère que le bug est dans l’installateur qui lors de la création du fichier /etc/fstab utilise les mauvaises références pour le système de fichiers à utiliser. Un correctif rapide a été rajouté pour corriger le bug.

Donc, voulant quand même parler de la KaOS, j’ai appliqué le contournement proposé : installer la version mise à jour de l’installateur avant de lancer l’installation avec un petit sudo pacman -Sy thus après que la distribution se soit chargé en mode live.

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Trisquel GNU/Linux 7… Un espoir en vue pour les distributions 100% libre ?

Dans le petit monde des distributions GNU/Linux 100% libre au sens de la Free Software Foundation, il n’y a pas grand nombre de distributions qui soit à la fois fraiche et libre. Il n’y a que la Parabola GNU/Linux pour rester réaliste et dans une moindre mesure, la Trisquel GNU/Linux avec sa version 6.0. Cette dernière sortie avec près d’un an de retard sur sa base Ubuntu 12.04 LTS avait mis à mal sa réputation.

Fouillant sur la liste de publications concernant les utilisateurs, j’ai vu quelques fils qui réclament à corps et à cris une Trisquel GNU/Linux. Sur un d’entre eux, j’ai pu voir qu’il y a avait une adresse pour récupérer une pré-version de la Trisquel GNU/Linux 7 alias Belenos.

J’ai donc fait chauffer mon wget et j’ai récupéré une ISO internationale pour tester la nouvelle mouture de cette distribution GNU/Linux 100% et utilisable sans trop de limite. J’ai pu trouver une ISO du 7 août 2014.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://devel.trisquel.info/makeiso/iso/trisquel_7.0-20140807-i18n_amd64.iso
–2014-08-21 07:44:48– http://devel.trisquel.info/makeiso/iso/trisquel_7.0-20140807-i18n_amd64.iso
Résolution de devel.trisquel.info (devel.trisquel.info)… 91.121.223.90
Connexion à devel.trisquel.info (devel.trisquel.info)|91.121.223.90|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1590689792 (1,5G) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « trisquel_7.0-20140807-i18n_amd64.iso »

100%[====================================>] 1 590 689 792 1,07MB/s ds 14m 5s

2014-08-21 07:58:53 (1,80 MB/s) — « trisquel_7.0-20140807-i18n_amd64.iso » sauvegardé [1590689792/1590689792]

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Pisi Linux, encore une nouvelle distribution GNU/Linux en rolling release ?

Pisi Linux, c’est la suite communautaire d’une distribution turcophone, la Pardus. La seule fois que j’avais parlé de la Pardus, c’était en décembre 2012, par rapport à son acte de décès. La distribution semble encore exister sous la forme d’une dérivée de Debian GNU/Linux testing désormais donc d’un intérêt tout… relatif 🙂

Cependant, certains de ses outils, comme l’outil Kaptan ont migré vers d’autres cieux, comme la Chakra Linux, sous le nom de Kapudan.

D’ailleurs, le gestionnaire de paquets Pisi est utilisé par d’autres distributions, dont une certaine… EvolveOS 🙂

Finalement, la communauté des utilisateurs de la Pardus a repris le flambeau, et après de nombreux mois d’efforts, propose la Pisi Linux 1.0.  J’ai donc fait chauffé mon wget et j’ai récupéré l’ISO en version KDE 64 bits pour voir ce que donne cette distribution.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://freefr.dl.sourceforge.net/project/pisilinux/1.0/kde/Pisi-Linux-1.0-KDE-x86_64.iso
–2014-08-20 15:29:44– http://freefr.dl.sourceforge.net/project/pisilinux/1.0/kde/Pisi-Linux-1.0-KDE-x86_64.iso
Résolution de freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)… 2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1, 88.191.250.136
Connexion à freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)|2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1515192320 (1,4G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « Pisi-Linux-1.0-KDE-x86_64.iso »

100%[====================================>] 1 515 192 320 1,84MB/s ds 15m 57s

2014-08-20 15:45:42 (1,51 MB/s) — « Pisi-Linux-1.0-KDE-x86_64.iso » sauvegardé [1515192320/1515192320]

Son wiki annonce la couleur : c’est une distribution en rolling release, avec environ 6000 paquets disponibles, un installateur maison du nom de YALI, le configurateur Kaptan, PiSi pour gérer les paquets et plein d’autres choses.

Cependant, la version 1.0 n’est disponible qu’en ISO installable, donc notre ami VirtualBox va nous donner un coup de main précieux ici.

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Les utilisateurs de Manjaro Linux, Antergos et autres dérivées d’Archlinux se méprennent-ils sur AUR ?

AUR, alias Archlinux User Repository, qu’on peut traduire par Dépots des utilisateurs d’Archlinux est un peu le grand fourre-tout et le banc d’essai de certains logiciels avant leur inclusion dans les dépots officiels. C’est un grand livre de recettes, si on peut prendre une comparaison culinaire.

Comme tout grand fourre-tout, on trouve tout et n’importe quoi. Des versions de développements de logiciels, des noyaux alternatifs, des émulateurs ou encore des pilotes pour certains matériels comme nos chères imprimantes.

Cependant, un problème apparaît, que ce soit chez les utilisateurs d’Archlinux ou des distributions dérivées : l’oubli qu’AUR est un dépot géré par les utilisateurs, et par conséquent l’excellent cotoie le pire. Je maintiens une quinzaine de paquets et c’est pas si évident que cela, je dois l’avouer.

C’est précisé en toute lettre sur le site officiel d’AUR, quand on active l’interface en français (le message est strictement identique en anglais) :

AVERTISSEMENT
Les paquets non supportés sont produits par des utilisateurs. Toute utilisation des fichiers fournis se fait à vos propres risques.

Il est en effet facile d’oublier cet avertissement. Il faudrait pourtant se souvenir d’une règle de base : AUR n’est à employer que si l’on ne trouve pas ce que l’on cherche sur les dépots officiels.

D’ailleurs, j’ai une vingtaine de paquets en provenance d’AUR sur ma machine, juste ce qu’il faut pour mon matériel, la gestion de mes fichiers musicaux ou encore la lecture de flux RSS, dixit la sortie de yaourt :


[fred@fredo-arch ~]$ yaourt -Qam
aur/artefetcher-qt4 0.4.2-1
aur/envypn-font 1.6.2-1
aur/epson-inkjet-printer-workforce-320-sx218 1.0.0-8
aur/flac2mp3-bash 1.0-4
aur/gnome-shell-extension-weather-git 20140329-1
aur/google-musicmanager 1.0.117.4968_r0-1
aur/google-talkplugin 5.4.2.0-1
aur/iscan 2.29.3-7
aur/iscan-data 1.29.0-1
aur/kazam 1.4.4-1
aur/liferea-git 1.11.r5134.g5f1fbcd-1
aur/localepurge 0.7.3.2-1
aur/ovmf-bin 15214-1
aur/package-query 1.4-1
aur/pyrenamer 0.6.0-9
aur/ttf-ms-fonts 2.0-10
aur/virtualbox-ext-oracle 4.3.14-1
aur/xsane2tess 1.0-7
aur/yaourt 1.5-1

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ElementaryOS « Freya » beta 1 : tout ça pour ça ?

La sortie officielle de la beta 1 de la ElementaryOS « Freya » met fin à un battage médiatique qui court depuis le début de l’année 2014 dans le petit monde des distributions GNU/Linux.

Basée sur la Ubuntu 14.04 LTS, elle apporte une interface « novatrice » (sauf si on connait l’apparence générale de MacOS-X), Pantheon. On apprend dans les notes de publications que cette première béta est basée sur Ubuntu 14.04.1 LTS, qu’un outil de gestion de comptes en ligne spécifique nommé « Pantheon Online Accounts« , que le support de l’UEFI est encore en cours. Sans oublier une poignée de bugs typiques d’une version béta.

Qui dit Ubuntu 14.04.1 LTS, dit noyau linux 3.13 (abandonnées par les développeurs depuis le 22 avril 2014, problème lié au gel de la Ubuntu 14.04.x LTS), mais aussi une salo…saleté de bug quand on installe une Ubuntu 14.04.x (ou une de ses dérivées) dans VirtualBox : une résolution maximale de 640×480. Il faut alors installer le paquet virtualbox-guest-x11 et redémarrer pour contourner le dit problème.

J’ai récupéré via Bittorrent l’ISO (comme conseillé) dans l’article qui annonce la sortie de la version « Freya » béta 1 d’ElementaryOS, et j’ai ensuite créé une machine virtuelle VirtualBox pour la suite de l’article.

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En vrac’ rapide avant de prendre quelques jours de vacances.

Je vais partir quelques jours en vacances en famille, et l’activité du blog sera très réduite. Donc, un petit en vrac’ pour combler l’attente.

Commençons par la partie geek du billet.

Et pour la partie non-geek du billet.

Voila, c’est tout. Il y aura sûrement un ou deux articles mais l’activité ne reprendra à plein régime qu’à partir du 13 août.

Les distributions GNU/Linux en rolling release, nouvel effet de mode ?

Avec l’annonce de l’arrivée d’une version de la distribution au caméléon en mode rolling release, du moins la transformation de sa branche de développement en version rolling release, on peut se poser la question : les rolling releases, nouvel effet de mode pour les distributions GNU/Linux ?

L’annonce d’OpenSuSE indique que l’introduction d’une version en rolling release permettra de raccourcir la durée nécessaire à la stabilisation des versions classiques et l’abandon des versions intermédiaires. Il est vrai que le cycle atypique de 8 mois n’étaient pas en faveur de la distribution au caméléon, ne serait que quand la version 12.2 était sortie avec 2 mois de retard.

Mais il est vrai que je n’ai jamais eu de chance avec la distribution saurienne, comme à l’époque de la sortie de sa précédente incarnation, la 13.1.

Après cette rapide parenthèse pour justifier l’arrivée d’une version en rolling release, je me demande s’il n’y a pas un effet de mode en ce moment pour populariser ce mode de publication, qu’on peut résumer ainsi : Installer une fois, mettre à jour en continu, ne réinstaller qu’en cas de pépin grave ou de changement d’ordinateur.

Cependant, il convient de faire une classification dans les distributions en rolling release. Il y a les pures et dures, avec mise à jour quotidienne.

Celles qui ont un tampon de stabilisation assez court. Celles qui sont des semi-rolling release et celles qui étaient en rolling et qui sont devenus adeptes des « update packs » avec mise à jour trimestrielles. Je suis resté avec les principales distributions GNU/Linux, en m’excusant pour les éventuels oublis des listes qui suivront.

Dans le premier cas : ArchLinux (et son pendant libre, Parabola GNU/Linux), Gentoo Linux et sa cousine Funtoo Linux, sans oublier Sabayon Linux. Mais on peut aussi rajouter le branche « unstable » de la Debian GNU/Linux, qui ont donné Aptosid et Siduction.

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Peach OSI : suite et fin… C’est vraiment de la distribution à oublier.

Dans un article récent, je taillais une croupière haut de gamme à la Peach OSI, surtout à cause d’un serveur qui était aussi lent qu’une tortue rhumatisante à trois pattes.

En effet, je constatais une vitesse de récupération de 25 Ko/s. Ayant envie de ne pas rester sur cet échec, j’ai retenté ma chance aujourd’hui. Même si je n’ai pas eu une vitesse digne de ma connexion ADSL 20 Mbps, j’ai réussi à avoir une vitesse honorable, même si j’ai eu droit à des coupures de téléchargement récupérable via l’outil wget. Heureusement, j’ai pu vérifier la validité de l’ISO finale avec le fichier MD5 fourni.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://www.peachosi.com/sites/default/files/DownloadFiles/PeachOSI.14.04.64Bit.iso
–2014-07-28 09:08:49– http://www.peachosi.com/sites/default/files/DownloadFiles/PeachOSI.14.04.64Bit.iso
Résolution de www.peachosi.com (www.peachosi.com)… 23.229.196.156
Connexion à www.peachosi.com (www.peachosi.com)|23.229.196.156|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 2456813568 (2,3G) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « PeachOSI.14.04.64Bit.iso »
[…]
–2014-07-28 09:27:05– (essai : 3) http://www.peachosi.com/sites/default/files/DownloadFiles/PeachOSI.14.04.64Bit.iso
Connexion à www.peachosi.com (www.peachosi.com)|23.229.196.156|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 206 Partial Content
Taille : 2456813568 (2,3G), 1622540529 (1,5G) restant [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « PeachOSI.14.04.64Bit.iso »

100%[++++++++++++========================>] 2 456 813 568 1,00MB/s ds 31m 50s

2014-07-28 09:59:05 (829 KB/s) — « PeachOSI.14.04.64Bit.iso » sauvegardé [2456813568/2456813568]

J’ai ensuite créé une machine virtuelle dans VirtualBox pour tester cette énième dérivée de la Ubuntu.

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PeachOS OSI : le syndrôme AUBD en action se mélange à ce qu’il ne faut pas faire…

AUBD ? Another Ubuntu Based Distribution. En fouillant la liste d’attente de Distrowatch, j’ai pu lire ceci : « Peach OSI (submitted on 2014-07-25) ». Ma curiosité ayant été titillée, je suis allé sur le site de la distribution en question.

Et on tombe sur ce qu’il ne faut pas faire. Premier point, une argumentation en carton pâte.

Sur la page qui justifie l’existence de la distribution, nous avons un exercice de xyloglossie parfait, qui montre aussi la modestie du développeur en question.

« Before remastering Ubuntu, the most widely used desktop Distro of Linux, I installed and graded almost 200 Linux Distros, a process that took over 6 months to accomplish. In the end there was only 2 Distros that I could give a grade of an A (I graded them on a scale of A to E with A being the highest grade). I was looking for the perfect system that I could « give » to my family, friends and special clients so that they too could have all the benefits of a Linux system. In the end I had to conclude that, for the most part, most people would not use any of the Linux Distros because they were « just so different » from what they were used to. Then I set about creating a Linux system that anyone with any computer skill level could use. The net result was and is Peach OSI. »

Ce qui nous donne traduit :

Avant de remasteriser Ubuntu, la distribution Linux de bureau la plus largement utilisé, j’ai installé et noté près de 200 distributions, un processus qui a duré plus de 6 mois pour être accompli. En fin de compte il y avait seulement 2 distros auxqulles je pourrais donner une note de A (je les ai notés sur une échelle de A à E, A étant la meilleure note). Je cherchais le système parfait que je pouvais « donner » à ma famille, mes amis et mes clients particuliers afin qu’ils puissent eux aussi avoir tous les avantages d’un système Linux. En fin de compte, j’ai dû conclure que, pour la plupart, la plupart des gens ne sauraient pas utiliser l’une des distributions Linux parce qu’ils étaient «tellement différent » de ce qu’ils avaient utilisés. Alors je me mis à la création d’un système Linux que n’importe qui avec n’importe quel niveau de compétence en informatique pourrait utiliser. Le résultat net a été et reste Peach OSI.

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NuTyX Saravane rc2 : un premier aperçu encore rugueux ?

Ah, la NuTyX… Distribution atypique s’il est en une, j’ai connu avec elle des hauts et des bas. Depuis sa version Sekong, elle est devenue une des grandes dans le domaine des distributions GNU/Linux vraiment alternatives. J’avais parlé de la Sekong à trois reprises : en février 2013, lors de la sortie de la rc2, puis de sa révision mineure .1 en avril 2013, et une ultime fois en octobre 2013 pour sa cinquième révision mineure.

Elle est basée sur la Linux From Scratch, et si jusqu’à la Sekong, elle a utilisé les outils de la Crux, Thierry Nuttens a développé en collaboration avec les autres mainteneurs de la distributions un outil d’installation dédié, Cards.

Pour le moment, la NuTyX Saravane rc2 n’est disponible que sous forme d’une archive qu’il faut installer à la main. Thierry Nuttens lors de l’annonce a ajouté un tutoriel que je me suis contenté de suivre dans une machine virtuelle VirtualBox et auquel je vous renvoie pour les détails.

Donc, si vous voulez tester cette version, armez-vous de courage, et de bonnes notions de ligne de commande 🙂

Seules différences avec le protocole proposées ?

  1. J’ai utilisé un disque virtuel de 16 Go, partitionné ainsi : 256 Mo pour le système de maintenance, 12 Go pour la NuTyX Saravane, le restant pour le swap.
  2. J’ai utilisé un formatage en ext4 pour la partition de la NuTyX Saravane
  3. J’ai laissé le compte à rebours à 10 secondes dans Grub
  4. J’ai remplacé KDE par Xfce, avec les commandes indiquées par Thierry.
  5. Une fois l’installation terminée, j’ai choisi par défaut la NuTyX Saravane dans le fichier de configuration de grub

Il m’a suffit de récupérer l’énorme ISO de la NuTyX Sekong.5 en 64 bits. Elle pèse très lourd… Environ 80 Mo ! J’ai ensuite suivi le guide d’installation de cette première Saravane officiellement disponible.

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