« One Big Sky » de Celestial Teapot : Du rock progressif instrumental de haut vol.

Il m’arrive parfois d’espionner – je sais c’est mal – la page Bandcamp de Stéphane Gallay. Collègue blogueur dont j’apprécie la plume et dont je partage de temps à autres les coups de coeur musicaux, je dois dire que je m’inspire de ces découvertes pour m’en mettre plein les oreilles.

Cela a été encore récemment le cas, avec la découverte d’un groupe de rock progressif instrumental indien, « Celestial Teapot ». Oui, vous avez bien lu, et si mon anglais n’est pas trop rouillé, on peut traduire par « théière céleste ». J’avais déjà abordé l’album du groupe dans un billet en vrac’ du 14 mai 2016.

Intrigué, j’ai lancé la lecture. Après une intro toute aérienne, « Closure » nous envoie des guitares qui n’ont rien à envier au heavy metal des années 1970. Je dois dire que le début me parlait déjà bien. Mais le meilleur restait à venir.

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« Le Bon Dieu sans confession »… Faut se méfier des apparences :)

Via Agnès de Destination Passions sur le réseau à l’oiseau bleu, j’ai appris l’existence du deuxième livre de Marylise Trécourt. J’ai donc récupéré l’extrait et je dois dire que j’ai tellement ri que j’ai directement acheté le livre.

L’histoire ?

Odette, mamie dynamique ayant du mal à prendre sa retraite et fan inconditionnelle du King, arrive dans une résidence appellée « Les Jardins d’Eden ». Les personnages plus truculents les uns que les autres. Entre l’ancien militaire, la bimbo blonde qui ne brille pas par son QI, un quincagénaire abusant de la bouteille, elle se demande ce qu’elle est venue faire dans cette galère… Surtout qu’un corbeau sème la zizanie…

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« Une retraite sous de mauvais auspices » de Mickaël Patel : Qui a tué grand-maman ?

En reprenant ce titre de Michel Polnareff, on arrive à la question centrale de ce court roman. Ghislaine Troadec, c’est Tatie Danielle dans tout sa… splendeur. Acariatre, méchante, avide de vengeance, elle se fait enlever pour son plus grand malheur.

Dans ce court roman, tous les personnes ont des raisons de vouloir faire la peau de cette Tatie Danielle. Aussi bien son beau-fils, que sa fille ou encore que son voisin.

Il faut dire que les personnages sont gratinés. Entre notre Tatie Danielle qui ment comme une arracheuse de dents, son voisin de la même tranche d’âge qu’elle qui est veuf et encore très vert, sa fille qui a tendance à aimer plus la bouteille que son compagnon, Mickaël Patel n’a pas hésité à sortir l’artillerie lourde.

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Billet court en prévision du seul week-end prolongé du mois de mai 2016.

Commençons par le logiciel libre. Pas de nouvelle Manjaro Linux communautaire ? Bon, on fera sans 🙂

Côté musique ?

Bon week-end prolongé 🙂

« Un mois d’octobre sans fin… » : Quel bilan un mois après la sortie de mon roman en accès gratuit ?

Il y a un mois je publiais mon roman uchronique (qui m’avait occupé une bonne partie de l’année 2015) en gratuit pour faire un pied-de-nez aux auteur(e)s auto-édité(e)s restant dans le rêve de se fabriquer des gonades en or 24 carats en passant par Amazon.

J’ai voulu donc faire un bilan financier, car oui, le roman a été payant à 0,99€ sur Amazon durant une quinzaine de jours et surtout en nombre de téléchargements avec une publicité minimale. En clair, je n’ai pas été jusqu’à la proposition de gâteries buccales en dessous de la ceinture auprès des blogueuses et autres blogueurs littéraires pour faire la promotion de mon roman.

Voici donc le bilan au bout d’un mois, sans presque aucune promotion.

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« A place to dream », le deuxième album réussi de Syncatto.

Au moment où j’écris cet article, le 7 mai 2016, l’album n’est pas disponible sur la page bandcamp de Syncatto, nom du projet solo de Charlie Robbins. À ceci une explication, elle tient en un tweet posté le 22 avril 2016 :

En tant que passionné de musique, j’ai contacté Charlie Robbins qui m’a finalement envoyé un code pour récupérer l’album en avant-première… Dès que l’album sera officiellement disponible, je rajouterai – ou j’aurai rajouté – le lecteur de Bandcamp pour l’album en question.

Je tiens à remercier Chris Robbins pour l’accès en avant-première. C’est très gentil de sa part.  De plus, cela n’exclue pas l’achat d’une copie de l’album lors de sa sortie officielle.

Ajout au 14 mai 2016 : voici donc l’arrivée de l’album en écoute sur l’article 😉

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En vrac’ mercurien et culturel.

Un très court en vrac’ consacré à la culture cette semaine.

Côté livres et apparentés ?

Côté musique ?

Voila, c’est tout pour aujourd’hui, mais c’est déjà pas mal, non ? 🙂

Bon mercredi !

« Nous sommes des nains sur les épaules d’un géant » : Une vérité trop souvent oubliée ?

Que ce soit dans le monde du logiciel libre que dans celui de l’auto-édition, cette maxime attribuée à tort à Blaise Pascal (1623-1662) ou encore à Isaac Newton (1642-1727) et qui est en réalité celle de Bernard de Chartres (1130-1160), est trop souvent oubliée. Sa version latine étant « nani gigantum humeris insidentes ».

Dans les deux domaines concernés, on retrouve des personnes qui oublient une base de leur formation, qu’elle soit académique ou typiquement celle liée à l’autodidactie.

Dès qu’on s’amuse à gratter le papier ou à utiliser des outils pour créer des distributions qu’elles soient basées sur Debian, Ubuntu, Slackware Linux ou encore Archlinux, il ne faut pas oublier que nous sommes redevables de nombreuses personnes qui ont abattu des tonnes de travail auparavant pour nous simplifier la tâche.

Quand je rédige un texte littéraire, il faut savoir rester modeste ce ne sera jamais une composante d’une collection prestigieuse comme la Pléïade, je n’aurais jamais pu le faire sans des années passées sur le banc de l’école, du collège et du lycée à apprendre à écrire un français à peu près potable. En clair, un français écrit qui ne contient pas quinze fautes en seize mots. Je ne prétends pas avoir le français écrit d’un Jacques Capelovici aussi connu sous le surnom de Maître Capello. Loin de là, même !

De même, il y a une chose que semble oublier nombre de personnes qui se pique d’écrire ou de proposer des logiciels (quelque soit le niveau de complexité du simple archiveur à l’image ISO complète), c’est que publier signifie rendre public. Donc, s’ouvrir à la diversité des personnes qui récupèreront une copie de votre travail.

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« Misc. » de Dear Pariah : nouvel opus, nouvelle réussite !

C’est un album dont j’avais vraiment envie de parler, ayant aidé à son financement participatif sur PledgeMusic, ce qui m’a permis d’accéder à une des quelques versions physiques produites pour l’occasion.

En tant que donateur, j’y ai eu accès dès le 27 avril 2016, soit 3 jours avant sa sortie officielle, le premier mai 2016.

Durant un peu moins de 35 minutes, on est dans la veine des précédents albums. Toujours cette folk acoustique avec la voix inimitable de la chanteuse qui vous fait dresser les poils sur les bras.

La deuxième piste fait penser à son précédent opus, avec l’utilisation d’instruments à cordes. Sans oublier des influences country avec la piste « Trouble Or Love ».

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