L’émulation logicielle, justifiable uniquement sur le plan économique ?

La mode du vintage en informatique est une tendance lourde depuis plusieurs années, comme si l’informatique et ses jeux photoréalistes finissaient par lasser les joueurs et joueuses. Comme s’il y avait besoin de revenir à une période que l’on qualifie à tort de dorée et de meilleure.

Sur le plan technique et graphique, les jeux AAA modernes écrasent tout. Même si les dits jeux valent entre 20 et 60€ en moyenne. Je dois dire que j’ai pu voir quelqu’un jouer à Doom Eternal avec son rendu photoréaliste. Il est très beau, mais le côté « tomb raider » de l’ensemble m’a vite lassé. Il manquait un petit quelque chose que je ne saurai pas définir.

Vous me direz à raison que les graphismes pixelisés d’un Minecraft tranche avec les jeux modernes, comme Cyberbug… Cyberpunk 2077 🙂

Mais revenons au sujet de l’émulation. Il y a deux possibilités pour apprécier des vieux ordinateurs. Soit posséder l’ordinateur concerné – ce qui revient parfois à plusieurs centaines d’euros pour des modèles retapés et fonctionnels – soit passer par l’émulation.

Dans le premier cas, on a la vraie expérience, même si on s’équipe rapidement d’un lecteur de carte SD ou de clé USB (sd2iec pour les Commodore 8 bits, Gotek pour les Amstrad CPC par exemple) contenant les jeux au format image disque.

Qui irait utiliser directement des cassettes ou des disquettes (5 pouces 1/4, 3 pouces et demi) ? Non seulement l’âge des supports ont réduit la fiabilité, mais on n’est pas certain que le lecteur disquettes ou de cassette en question ne tombera pas en carafe.

Sans oublier l’encombrement lié au dit matériel.

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En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier mercredi de mars 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Le Fondeur de Son annonce la disponibilité d’un nouvel album de jazz improvisé, « cabrioles cérébrales et accidents psychotiques  » par Otok.

Suite du longplay consacré au jeu « Briley Witch Chronicles » avec la neuvième heure du jeu. Ça sent la fin qui approche à grand pas !

Sur ce, bonne fin de semaine !

Confession d’un vieux geek : je n’ai jamais vraiment été un grand fan de l’Amiga !

Oui, je sais, je vais me faire tomber dessus à bras raccourcis par pas mal d’ancien(ne)s amigaistes qui vont vouloir allumer un bûcher pour me faire rotir dessus.

J’ai parlé de nombreuses fois de jeux qui m’ont marqué quand j’ai eu l’opportunité de m’équiper d’un Amiga 1200 en 1993-1994, période qui a correspondu à la descente aux enfers de Commodore.

Voici quelques articles où j’ai pu parlé de jeux sur Amiga qui m’ont donné du plaisir à être lancé de nouveau :

Mais aussi des logiciels plus sérieux comme PC-Task en juin 2020 ou le Magic Workbench en août 2020.

Mais je dois le dire, je ne regrette pas tant que ça ma période Commodore Amiga. J’étais bluffé par les captures d’écran dans les magazines vidéoludiques, et je bavais d’envie sur les images dans les publicités des jeux qui montraient toujours soit la version Amiga, soit la version Atari ST.

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En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce dernier de février 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Si vous avez des albums ou artistes ou groupes à découvrir, les commentaires sont ouverts pour cela !

Suite du longplay pour « Briley Witch Chronicles », avec la huitième heure de jeu… On approche de la fin 🙂

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce dernier mercredi de février 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien, désolé. C’est le grand vide en ce moment.

Suite du longplay consacré au jeu « Briley Witch Chronicles » avec la septième heure du jeu. Déjà !

Sur ce, bonne fin de semaine !

De l’ultracrépidarianisme dans le monde linuxien…

L’ultracrépidarianisme, c’est « un comportement consistant à donner son avis sur des sujets à propos desquels on n’a pas de compétence crédible ou démontrée ». Merci wikipedia 🙂

Dans le monde linuxien, c’est assez répandu. L’exemple le plus fréquent est de parler d’une famille de logiciels, comme une distribution GNU/Linux, la pratiquer au quotidien depuis X ou Y années et considérer que l’on est à même de critiquer une autre famille.

Prenons mon propre exemple. 16 ans de mono-démarrage linuxien, dont 13 en tant qu’Archlinuxien, après 3 années dans le monde de la « debian pour être humain », j’ai nommé Ubuntu 🙂

Oui, je fais exprès de prendre cette vanne usée jusqu’à la corde concernant le duo Debian / Ubuntu. Cependant, il ne me viendrait pas à l’esprit de m’exprimer de manière hautaine sur la politique de découpage des logiciels de Debian.

J’ai horreur des logiciels découpés en plusieurs paquets du genre : binaires, documentation, en-têtes de développement, etc. Il est plus logique pour moi d’avoir un paquet tout en un.

Ce n’est pas pour autant que je vais vouer aux gémonies la Debian. Simplement, du point de vue d’une personne qui est habitué à l’absence de saucissonnage, cela est bizarre.

Peut-être que ce comportement de saucissonnage remonte à l’origine de la distribution et des connexions réseaux bien pourries des années 1990, qui obligeait à réduire au strict minimum la taille des paquets logiciels à récupérer. Pour des raisons de vitesse et de débit.

Qui n’a jamais connu le cri du modem ne pourra pas comprendre. Ce n’est bien entendu qu’une hypothèse et rien d’autre.

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En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce finissant mois de février 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Une capture d’écran de Turdle qui montre le côté « pipi-caca » du vocabulaire du jeu 🙂

Côté culture ?

Rémy Delahaye alias Watchmaker vient de sortir un nouvel EP, « Lumières ».  Un article à venir dans la semaine ? Pas impossible 🙂

Suite du longplay pour « Briley Witch Chronicles », avec la sixième heure de jeu… Déjà !

Sur ce, bon week-end !

Ah, ffmpeg 5, un passage pas franchement en douceur :(

Il y a certaines montées en version de logiciels qui se passent sans trop de casses, autant d’autres, c’est déjà plus ennuyeux.

Dans la deuxième catégorie, je demande ffmpeg qui a proposé sa version majeure 5.0 qui est sortie le 17 janvier 2022. Et comme d’habitude, il y a eu une grande recompilation pour que les logiciels disponibles sur les dépôts officiels passent sans que tout explose en vol.

Un paquet de compatibilité avec les logiciels sensibles, appellé ffmpeg4.4 a été rajouté. Autant ça fonctionne pas trop mal sur les logiciels sur les dépôts officiels, autant certains paquets uniquement disponibles sur AUR, comme vice-svn (version de développement de l’émulateur Commodore 8 bits Vice) et dosbox-x-sdl2-git et dosbox-x-sdl2 (un fork avancé de Dosbox) explosent en vol au moment de la compilation 🙁

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En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième mercredi de février 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Nouvel épisode du longplay consacré au jeu « Briley Witch Chronicles » avec la cinquième heure du jeu.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Après l’Amstrad CPC, au tour du Commodore 64 de profiter d’un port de « Puzzle Bobble ».

Dans un article d’octobre 2021, je disais tout le bien que je pensais des diverses scènes rétroludiques. Dans la vidéo illustrant l’article, il y avait un port de Puzzle Bobble pour l’Amstrad CPC.

Quelques mois sont passés, et c’est au tour du Commodore 64 de connaitre un port de ce jeu sorti en 1994, et qui est un de mes préférés de l’univers de « Bubble Bobble », avec « Bubble Bobble » en premier, « Puzzle Bobble » en deuxième et « Rainbow Islands » en troisième.

On peut télécharger soit une image disquette, soit une image cartouche du port du jeu. Il est de haut vol, et je dois dire que le jeu rend hommage au Commodore 64 en lui sortant les tripes par endroit.

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