En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Il va être copieux, on sent que la rentrée est passée 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Vieux motard que j’aimais… La « Elive » 3.0 est disponible : elle est basée sur Debian GNU/Linux Wheezy (la 7.x abandonnée) et Enlightenment 17… Pour la curiosité essentiellement… On est en face d’un produit qui sort avec 3 ans de retard au bas mot.
  • La DGLFI de la semaine ? Une distribution orientée jeux sous Linux… Son nom ? La « Drauger OS ». Encore une Xubuntu revampée si on en croit le pdf fourni comme fichier « readme »… Cool, non ? 🙂

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

Les DGLFI, symptôme d’un individualisme qui gangrène le monde du logiciel libre ?

Commençons par définir l’acronyme : Distributions GNU/Linux Franchement Inutiles.

Cela fait environ 2 ans et des bananes – au moment où je rédige cet article – le 12 septembre 2018 – que je fais une série de vidéos sur ce phénomène.

Il y a de tout dans ce domaine. Les principales sous-catégories ?

  1. Celles qui partent d’une base donnée et qui modifie la charte graphique, un peu la logithèque, et puis c’est tout. Je les surnomme les « 3 pages de pdf à suivre ».
  2. Celles qui reprennent le mantra d’Iznogoud, et qui recopie la recette de l’originale pour la reproduire en moins bien. On peut citer la feu (??) Cubuntu (Ubuntu + Cinnamon donc la base de la LinuxMint) ou encore la Namib GNU/Linux (une base Archlinux avec tous les outils de Manjaro repompés)
  3. Celles qui sont les doublons, triplons ou x-tuplons de distributions déjà existantes

Je vais revenir plus longuements sur ces projets « parasites ». J’en ai eu un récemment sous la souris, la CloverOS, qui est une base Gentoo Linux précompilée installable rapidement. Il faudra m’expliquer son intérêt – dans l’absolu – par rapport à une Redcore Linux (qui reprend la même recette modulo l’environnement supporté) ou par rapport à une Calculate Linux (qui est plus orientée monde professionnel).

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Que sont-elles devenues les distributions GNU/Linux de 2013 ? Cinquième partie.

Après un bilan assez mitigé en août, voyons le bilan du mois de septembre 2013 au bout de 5 ans…

5 billets, 5 distributions citées. Trois sont mortes : la Snowbird, la Denix-OS et malheureusement la Semplice Linux. 60% de perte en ce mois de septembre ? Ça pique. La Void Linux a survécu à la disparition de son fondateur, et la Slackware Linux 15 ? Avec un peu de chance d’ici Noël 2018 ? 🙂

Espérons que le mois d’octobre puisse limiter la casse…

Y a-t-il une « malédiction » sur les installateurs automatisés d’Archlinux ?

Archlinuxien à temps plein depuis début 2009, je n’ai aucun problème à installer manuellement une Archlinux que ce soit pour une expérience en machine virtuelle ou sur une machine réelle, même si l’UEFI est un brin laxatif en ce qui me concerne.

Au fil des années, il y a toujours eu des projets pour contourner la méthode d’installation officielle – et un brin longue – qu’on peut résumer ainsi : RTFW, soit Read The Fine Wiki.

Un des plus anciens ? Le projet Archboot qui connait désormais une version par an. Depuis le milieu des années 2010, il y a eu des projets qui sont désormais soit abandonnés soit en piteux état.

Dans les projets abandonnés ? Feliz. Sa créatrice, Elizabeth Mills l’a annoncé en juillet 2018 sur le github du projet en laissant la communauté prendre le relai :

And, finally, an anouncement from the creator of Feliz. I am no longer able to maintain Feliz, so I hope that many people will clone Feliz and release their own versions to keep the dream alive.

Elizabeth Mills
22nd July 2018

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« The 13th Hour » des Onirik Illusion : vive le chiffre 13 :)

Il y a des albums qui vous laissent une marque dans le cerveau dès la première écoute. Le premier album des Onirik Illusion en fait partie.

Quand je vous dirai que c’est un mélange metal gothique et symphonique, de chant guttural masculin, de chant clair et guttural féminin, c’est certain que la réponse est : « encore une fois ? »

C’est vrai que dans le domaine du metal, tout a été fait ou presque. Mais il y a des albums qui reprenant des recettes sur-employées sortent du lot.

C’est le cas ici. L’album est sorti en mai 2017 et j’ai du l’écouter la première fois aux alentours de juin-juillet 2018. La première écoute m’avait fait dire : « Tiens, c’est pas mal ». J’avais mis une option sur l’album. Je l’ai réécouté entre temps et j’ai finalement décidé de l’acheter au format physique en ce début septembre 2018.

Nous voila donc face à un album qui fait une petite heure avec 13 pistes. Tout tourne dans l’album autour de ce chiffre à la triste réputation. Après une courte introduction qui rappelle le début de « Black Sabbath » avec son carillon, on est plongé dans le vif du sujet.

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