En vrac’ de milieu de semaine…

Un petit billet en ce mercredi de juin qui se la joue été caniculaire 🙂

Côté culture ?

Roger Subirana vient de publier un album du nom de « Mirrors » qui contient des morceaux inédits, des collaborations, des versions lives et pleins de petites choses en plus ! /mirrors-album

Pour finir ce rapide billet, un autre longplay de l’excellent RTS Planet-X3 dont j’ai parlé le 13 juin 2020, le quatrième que j’ai enregistré. C’est déjà pas si mal que cela, 4 sur 13. C’est la carte « River Divide », en hommage à la première carte de Planet-X2 sorti sur Commodore 64 ?

Bonne journée ! 🙂

En vrac’ dominical.

Un court billet rédigé un dimanche matin nuageux du mois de juin 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne journée 🙂

En vrac’ de fin de semaine.

Profitons d’un samedi matin de début juin pas trop chaud pour vrac’er 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne journée 🙂

Certains groupes ne comprennent-ils pas qu’il y a des coûts psychologiques à ne pas franchir ?

Il y a près de 5 ans, en juillet et août 2015, j’écrivais deux billets sur les abus en terme de prix pour les albums de musique, spécialement pour les versions numériques, qui ne sont que des 0 et des 1 arrangés dans un certain ordre si on va au plus bas du contenu en question.

Que ce soit dans le premier article, écrit fin juillet 2015 sous le coup de l’énervement, ou dans sa suite écrite une quinzaine de jours plus tard, je donnais l’exemple d’album qui dépassait allègrement les 12 à 15€ pour des censure d’une dizaine de jurons fichiers au format non destructif flac… Il y avait dans le deuxième billet l’exemple d’un groupe de folk progressif « Elena’s Idea » qui proposait son album à 15€ en numérique et 25€ en format physique.

Étant retourné sur la page du groupe, qui n’affiche pas la moindre vente sur Bandcamp, les prix sont devenus un peu plus raisonnables… Respectivement 10€ et 15€ pour le numérique et la version physique.

Comme quoi, se retrouver sans la moindre vente, ça fait réfléchir et ça donne envie de revoir ses prétentions à la baisse. Après tout, tout le monde n’est pas comme une boite comme Apple pour vendre du matériel avec un logo fruité dessus pour deux à trois fois le prix du matériel équivalent ailleurs.

Ce qui m’a donné envie d’écrire ce billet, c’est la sortie du nouvel opus – qui est très bon – d’Astolat, « The Winning Tragedy » que j’attendais après le tout aussi bon Aokigahara sorti en 2014. Quand j’ai vu le prix, à savoir 15€, j’ai d’abord cru – et c’était logique – que c’était pour une version physique…

Malheureusement, j’ai vite déchanté. C’est 15€ pour l’album (12 pistes) et pour les versions instrumentales pour onze d’entre elles. 15€ ?! Désolé, mais c’est beaucoup trop cher pour simplement des fichiers que l’on peut perdre dans un choc appliqué à un disque dur externe en plein fonctionnement. Quant à la carotte des versions instrumentales, ça me fait penser au foutage de tronche des albums remastérisés de Led Zeppelin au milieu des années 2010.

Donc, et ça me fait mal au fondement de le dire surtout que j’attendais cet album avec impatience, ce sera pour moi un « non, désolé, je n’achète pas. » Je ne sais pas si je continuerai de suivre l’actualité du groupe, mais avec ce genre de faux pas stratégique, ça donne envie de s’en éloigner.

Avant qu’on me dise que « toute peine mérite salaire » – ce avec quoi je suis d’accord – il faut savoir aussi rester raisonnable et ne pas se mettre à dos les personne qui suivent le groupe depuis des années.

Et si cela ne touchait que le monde de la musique en ligne… N’oublions pas les délires de l’auto-édition et des sommes mirobolantes parfois demandées pour des livres numériques comme le soulignait Agnes dans un billet de juin 2018 de son blog.

« Plow » de Tarmak : du très bon post-rock belge.

Il m’arrive d’être contacté par des groupes pour me faire connaitre un album qui doit sortir ou qui est sorti. À chaque fois, j’écoute les productions, ne promettant rien d’autre. Parfois c’est un coup de coeur. Parfois je n’accroche pas. J’ai été contacté par Tarmak il y a une dizaine de jours pour me parler de leur premier album, « Plow », disponible entre autre sur Bandcamp.

Pour parler rapidement du groupe, c’est un trio qui propose un post-rock assez musclé à 95% instrumental.

Il m’a fallu deux écoutes pour que j’accroche pour de bon et que j’achète un exemplaire numérique de l’album. Ce qui est la moindre des choses après tout !

L’album est bien proportionné : 26 minutes pour 4 pistes. La première piste « Krater » est comme un amuse gueule. C’est la seule piste qui comporte un tout petit peu de chant clair, qui dure environ 2 minutes sur les 7 de l’ensemble. C’est le genre de piste avec un rythme répétitif à la limite de l’hypnotique. Très bon.

Continuer la lecture de « « Plow » de Tarmak : du très bon post-rock belge. »