Que sont-elles devenues les distributions GNU/Linux de 2013 ? Première partie.

Début décembre 2017, je terminais le bilan de l’année 2012 en terme de distributions GNU/Linux. Je voulais voir quel était le taux de mortalité des projets dans ce domaine précis du monde du logiciel libre.

Près de 6 mois – au moment où je rédige ce billet, le 22 mai 2018 – sont passés. J’ai décidé donc de m’y remettre avec un premier gros billet qui couvre la période qui court de janvier à mai 2013… Histoire de voir ce que les distributions GNU/Linux dont j’ai pu parler sont devenues… Je sens que ça va pas être triste à voir…

Janvier 2013 :

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En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

Et si on faisait un bilan au de bout de 5 ans des distributions GNU/Linux ? Quatrième partie.

Après le mois d’août 2012, attaquons-nous à l’actualité du libre en septembre 2012… Oui, je sais, je publie l’article le 31 août 2017 dans l’après-midi. Pour quelques heures, on ne va pas chipoter, non plus ?

Un mois plutôt chargé…

6 septembre : un article sur OpenSuSE 12.2 et son amour particulier pour Gnome

10 septembre : un article sur la défunte (??) PureOS, une Debian modifiée de mémoire.

15 septembre : un article sur la Sabayon Linux 10 et son côté indigeste.

19 septembre : un article sur la version alpha de la Fedora 18… Nom de code Spherical Cow… Jamais plus je ne me moquerai des noms de code de Canonical 😉

19 septembre : un article sur la elementaryOS, la 0.1 à l’époque, basée sur Ubuntu 10.10.

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En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac.

Côté logiciel libre, informatique et internet ?

Côté culture ?

  • J’ai toujours apprécié le mélange metal et chant clair féminin. Un exemple réussi de cette collaboration ? Le deuxième album des Neverlight, « Nova Red ».
  • Découvert via le réseau à l’oiseau bleu, le groupe de pop-rock nord-américain Laini and the Wildfire. Dommage que le groupe n’envoie des versions physiques de son premier EP qu’à l’intérieur des États-Unis 🙁

Bon week-end !

Ah, les distributions GNU/linux parfaites… :)

Je le savais, je n’aurai pas dû faire le billet sur la distribution au caméléon. Les commentaires ouverts jusqu’au 27 novembre 2016 sont une incitation à vider un champ de maïs entier pour en faire du pop-corn.

Je me doutais que j’allais ouvrir la boite de Pandore – toute proportion gardée bien entendue – mais je ne pensais pas que cela irait aussi loin.

Donc, tout en écoutant du métal industriel russe – oui, ça existe – et en me tâtant de manière symbolique sur l’achat du dit album, je rédige ce billet alors qu’il reste en ce dimanche 20 novembre 2016, une grosse semaine d’ouverture de commentaires.

Mais j’ai eu envie de faire un petit billet qui sera qualifié de troll par mes détracteurs et de reflexion intéressantes par les autres personnes. Sans vouloir m’avancer, donc une proportion de 80/20 en faveur de mes détracteurs 😉

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Puisque la distribution GNU/Linux OpenSuse Leap 42.2 est sortie…

…buvons le calice jusqu’à la lie 🙂

Je ne suis pas un grand fan de cette distribution. Mais ne pas en parler aurait été mal vu. La version classique de la distribution au caméléon est sortie le 16 novembre 2016. Je ne parle pas ici de sa version dite « rolling release » connue sous le nom de Tumbleweed ou virevoltant en bon français.

Outre le fait de proposer Plasma 5.8 et un noyau linux LTS 4.4, cette distribution plus ou moins historiquement lié à KDE nous propose les nouveautés habituelles : un yast amélioré, Gnome 3.20, Docker ; bref, tout ce qu’il faut aussi bien du côté client bureautique que serveur.

J’ai donc utilisé le réseau des tipiakeurs, à savoir bittorrent pour récupérer l’ISO et voir ce qu’elle donne dans une machine virtuelle VirtualBox.

Je sais que certaines personnes vont grincer des dents par rapport à l’utilisation d’un environnement virtuel. Je ne reviendrai pas sur les polémiques sur le sujet. C’est comme pour la guerre des init. Ce sont deux sujets qui resteront présente jusqu’à ce que le Soleil devienne une géante rouge et n’évapore notre planète.

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En vrac’ un brin vachard :)

Normalement, c’est le genre de billet que je sors le mercredi et en fin de semaine, mais comme hier j’étais en pleine vadrouille toute la journée… 🙂

Commençons par le monde qui travaille sous la forme d’une communauté sans vouloir l’admettre, je parle bien entendu du logiciel libre 🙂

Dans le domaine culturel ?

Voila, c’est tout et c’est déjà pas mal. Si vous considérez que j’ai été un brin vachard, je vous renvoie à la citation de Pierre-Augustin Caron dit Beaumarchais : « sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur »

Bonne journée !

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’.

Côté logiciel libre et informatique :

Côté livre ? Un éditeur exprime son point de vue sur les menottes numériques

Côté musique ?

Bon week-end !

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Il sera plus court que d’habitude.

Côté logiciel libre et informatique :

  • Au revoir, Architect Linux. Anciennement connu sous Evo/Lution, l’outil d’installation « simplifié » pour Archlinux est officiellement abandonné.
  • Dans le genre « distributions ultra-super utile qui pullule sur la liste d’attente de Distrowatch », je demande la DuoCore, qui n’est qu’une OpenSuSE « gnomisée »… Quelle inventivité 🙂
  • Ou encore la Refracta qui est finalement une Devuan avec un Xfce un brin personnalisé 🙂
  • Pour compléter, une petite gueulante justifiée de Didier alias Iceman sur le monde du libre qui préfère s’écharper sur les systèmes d’initialisation (par exemple) au lieu de perfectionner les outils pour l’utilisateur lambda.

Côté musique ?

  • Vous aimez le chant médiéval ? Les textes en vieux français datant du 12ième au 14ième siècle ? Claire Bénard alias Korydwenn vient de sortir son nouvel (et premier ?) album solo après un financement participatif réussi sur Ulule. Il s’appelle Jardin Secret. J’en parlerai d’ici quelques jours dans un billet plus complet.

La semaine prochaine sera normalement plutôt calme, je pars durant quelques jours en famille, donc loin de mon « ancestral » PC fixe.

Bon week-end.

Bien choisir sa distribution GNU/Linux – édition 2016.

En avril 2015, je proposais un petit guide qui a été transformé en page. Un an plus tard, il fallait bien mettre à jour les conseils, non ? 🙂

Note : l’article est copié dans une page dédiée par simple sécurité.

Note 2 : j’ai rajouté quelques éclaircissements en fin d’article, suite à quelques commentaires.

Il m’arrive de recevoir des courriers électroniques qui me demandent : quelle distribution choisir ? Avec presque 275 distributions indexées encore vivantes, début juillet 2016, sur la bible de l’actualité linuxienne, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin sans avoir de détecteur de métaux pour se simplifier la tâche.

Voici donc une série de cinq commandements pour vous permettre de dégrossir votre recherche. Les listes ci-dessous sont aussi exhaustives que possible.

Premier commandement : Tu n’iras pas au-dela de la première génération descendante des distributions mères.

Par distribution mère, je parle des distributions nées entre 1992 et 2002 et toujours en vie de nos jours. Par ordre alphabétique :

  1. Archlinux (née en 2002)
  2. Debian GNU/Linux (née en 1993)
  3. Gentoo Linux (née en 1999) et sa « jumelle » Funtoo Linux plus simple d’accès par endroit
  4. Red Hat Linux (née en 1994) surtout connue pour son projet communautaire Fedora Linux (né en 2003)
  5. Slackware Linux (née en 1993)
  6. SuSE Linux (née en 1994) surtout connue pour sa dérivée OpenSUSE.

Si on prend leurs descendantes directes les plus connues, cela donne principalement :

  1. Manjaro Linux
  2. Ubuntu et ses saveurs officielles : Kubuntu, Xubuntu, Lubuntu, Ubuntu Gnome, Ubuntu Mate, Ubuntu Kylin
  3. Sabayon Linux ou encore la Calculate Linux
  4. CentOS Linux ou encore la Scientific Linux. Sans oublier l’excellent Viperr.
  5. SalixOS

Pour OpenSUSE, je n’ai rien qui me vienne à l’esprit 🙁

Pour la Debian GNU/Linux, je rajouterai des projets comme la HandyLinux par exemple. Les rares exemples de distributions « petites-filles » qui valent la peine ? LinuxMint, Emmabuntüs (classique ou en saveur Debian) sont les deux premiers noms qui me viennent à l’esprit.

J’allais oublier une distribution qui me tient à coeur, la descendante de la mythique Mandrake Linux, j’ai nommé la Mageia.

Deuxième commandement : toujours l’original à la copie tu préféreras.

Nombre d’environnements sont portables dans le monde GNU/Linux. Ce qui permet souvent d’avoir un environnement spécifique disponible sur les bases listées ci-dessus. Cependant, il y a un principe à appliquer. Si un environnement est proposée par une distribution, la meilleure expérience qu’on pourra en avoir est sur la dite distribution.

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