En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end !

Linux Mint 18 : où en est la reine des distributions GNU/Linux parfumée à la menthe ?

Dans les commentaires sur l’article concernant la KaOS 2016.07, un gentil lecteur m’a demandé si je faisais preuve d’une forme d’ostracisme envers la Linux Mint.

Je cite :

Par contre une chose m’interpelle : JAMAIS de test de Linux Mint, comme si tu boycottais cette distribution, qui est pourtant très populaire.

Il est vrai que je ne penche que rarement sur le cas de la fille la plus célèbre d’Ubuntu. Depuis mars 2015, je n’en ai plus parlé, bien que me penchant à l’époque sur la saveur debianisée de la distribution.

Adrien de Linuxtricks avait parlé de la version béta de la Linux Mint 18 début juin 2016. Il a aussi sorti un article sur la toute fraichement LinuxMint 18 Xfce.

Voulant rester sur une version plus « faite maison » de la Linux Mint, j’ai donc récupéré l’image ISO en 64 bits de la Linux Mint 18 Cinnamon, sortie il y a un peu plus d’un mois, à savoir le 30 juin 2016, au moment où je rédige cet article, le 3 août 2016.

En utilisant l’outil préféré des tipiakeurs sous linux, j’ai nommé Transmission, le téléchargement n’a duré qu’une dizaine de minutes. J’ai ensuite créé dans VirtualBox une machine virtuelle basée sur Ubuntu, avec 2 Go de mémoire vive, 2 CPU virtuels, 128 Go de disque et l’accélération 3D activée.

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’.

Côté logiciel libre :

Côté livre ? Sauf contre indication, je me base sur les extraits librement téléchargeable.

Côté musique ?

Bon week-end 🙂

Vieux Geek, épisode 41 : les MGSE, ancêtres oubliées de Cinnamon.

Que sont les MGSE ? C’est l’acronyme pour Mint Gnome Shell Extensions. Proposé avec la LinuxMint 12 alias Lisa (basée sur la Ubuntu 11.10 alias Oneiric Ocelot), elles proposaient un environnement qui mimait la présentation de Gnome durant sa génération 2.x, alors que Mate Desktop était encore un projet balbutiant, né quelques mois plus tôt. J’en parlais en novembre 2011, alors que sa version release candidate pointait le bout de ses octets.

Après quelques recherches, j’ai pu mettre la souris sur l’ISO de cette vieille version de la Linux Mint. J’ai ensuite fait chauffer VirtualBox pour fait un bond de 4 ans en arrière. Pour que les extensions soient prises en compte, il faut impérativement activer l’accélération 3D dans la machine virtuelle.

Il faut se souvenir que jusqu’à Gnome 3.4 (ou 3.6), il faut avoir un support de l’accéleration 3D, sinon on passe en mode « fallback », ce qui est ennuyeux 🙁

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En vrac’ rapide de fin de semaine.

Pour finir la dernière semaine du printemps 2015, un en vrac’ rapide et plutôt varié.

Commençons par le panier de crabes informatique, j’ai nommé le logiciel libre 🙂

Sur le plan culturel ?

Bon week-end !

Linux Mint Debian Edition 2.0rc : une occasion de redorer le blason d’une distribution mal aimée par ses créateurs ?

En 2010, l’équipe de la Linux Mint se lançait dans l’idée de proposer une version rolling release de sa distribution, à l’époque basée sur la version testing de la Debian GNU/Linux. En septembre 2012, je disais que Linux Mint avait raté l’occasion d’utiliser une base plus légère qu’Ubuntu.

Je concluais l’article ainsi :

Linux Mint a commis l’erreur – et c’est le vieux linuxien qui parle – de ne pas miser le tout pour le tout sur sa version basée sur Debian GNU/linux, donc plus légère que la version basée sur Ubuntu. Elle avait une occasion en or de se faire une place au soleil, surtout parmi les personnes déçues par Unity, qui se tourneront sûrement vers la maison mère, la Debian GNU/linux.

Deux ans et demi plus tard, je ne changerai pas un seul mot de cette conclusion. C’est donc avec une certaine curiosité que j’ai téléchargé l’ISO de la Linux Mint Debian Edition 2.0rc (qui utilise une base de Debian GNU/Linux Jessie).

Pour éviter d’avoir un environnement qui serait trop lourd, je me suis tourné vers la version Mate Desktop.

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Prédictions 2014 : un premier bilan.

Comme promis dans le billet du mois de décembre 2013 consacrées aux prédictions pour 2014, un premier bilan.

La Bulle 2.0 continue de gonfler, et on continue de déclamer haut et fort que Google Plus est un village fantôme. L’épisode du départ d’un de ses membres fondateurs n’a pas vraiment aider dans l’histoire.

De plus, quand on voit l’histoire de Flappy Bird et des sommes récoltées par son auteur (50 000$ quotidien), on se dit que la Bulle 2.0 continue de gonfler. La question reste : jusqu’à quand ?

Pour le panier de crabes le monde des distributions GNU/Linux à destination du bureau, je confirme certaines de mes idées.

Je disais en décembre 2013 :

Une autre erreur à terme est, selon moi, la lente transformation de Cinnamon en environnement de bureau complet. Car si on sort les outils de Gnome, comme Totem, Brasero ou encore Rhythmbox et Gedit, Cinnamon est bien vide.

La Linux Mint qui maintient le gestionnaire de fenêtre (Cinnamon) et le gestionnaire de fichiers (Nemo dérivé de Nautilus), pourra-t-elle créer des propres versions de ses logiciels, quitte à prendre les outils Gnome pour les transformer à sa sauce ? Et surtout est-ce souhaitable et viable à long terme ? Je me le demande vraiment.

La sortie de la Linux Mint 17 (basée sur Ubuntu 14.04 LTS) semble prendre ce chemin, même si c’est à moitié avoué. Il est vrai que de décider que les 3 version suivantes de la Linux Mint resteront basées sur la Ubuntu 14.04 LTS n’est pas une volonté d’avoir une base pour étendre les outils liés à Cinnamon.

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En vrac’ rapide et libre…

…car j’ai un manque flagrant d’inspiration en ce moment 😉

Je vous laisse, j’ai un petit quelque chose sur le feu…

En vrac’ rapide et libre avant le week-end.

Comme je ne compte rien poster d’ici lundi prochain, un en vrac’rapide et libre pour finir la semaine.

Bon week-end et à lundi 😉

Les tailles annoncées par les installateurs : du grand n’importe quoi au détriment des distributions GNU/Linux ?

Certaines distributions, dans un but bien compréhensible de transparence et d’information de l’utilisateur, annonce dès l’installation quelle est la taille requise pour mettre en place l’ensemble de leurs outils sur le disque dur.

Cela semble être une quasi-exclusivité des distributions basées sur Ubuntu, sauf oubli complètement involontaire de ma part. Seul OpenMandriva est le premier contre-exemple me venant à l’esprit. Mais il doit y en avoir d’autres, non ?

C’est en testant – par curiosité – la version RC de la Linux Mint 16 en saveur Mate que je suis tombé sur une incohérence. En effet, l’installateur m’annonçait que 8,1 Go était requis pour avoir de meilleurs résultats. Hors, après installation et mises à jour, seulement la moitié était prise, captures d’écran à l’appui.

Rapport taille annoncée sur taille prise ? 1,92.

Je me suis alors demandé : et les autres principales distributions ? J’ai voulu voir si on avait toujours une telle différence entre la taille requise et la taille réellement prise au final. Dans ce but, j’ai rajouté à ma liste, en restant dans les grands noms dont la célébrité est parfois faite à leurs corps défendants :

  1. Linux Mint 16 Rc saveur Cinnamon
  2. Ubuntu 13.10
  3. ElementaryOS 0.2
  4. PearOS 8
  5. OpenMandriva Lx 2013.0rc2

Je suis resté dans des distributions grand public. De mémoire, les distributions basées sur Fedora ou sur Archlinux n’annonce aucun pré-requis au niveau de la place nécessaire. En ce qui concerne OpenSuSE, je l’ai trop peu fréquenté récemment pour me prononcer. J’aurais bien rajouté la Mageia 3, mais elle ne donne aucune information sur la taille recommandée.

Pour chacune des distributions listée, c’est simple : elle est installée, mise à jour, et les caches vidés.

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