Installer Xfce 4.12 sur Archlinux avec un peu d’avance… Que c’est complexe… ou pas :)

Je publie mensuellement un tutoriel pour installer une Archlinux, et l’un des addenda est consacré à Xfce. La sortie de la version 4.12.0 fin février 2015, et le fait que l’ensemble soit disponible en moins de 24 heures m’a donné envie de rédiger ce billet pour que vous puissiez – si vous êtes suffisamment courageux – avoir Xfce 4.12 un peu en avance.

C’est un billet qui aura une courte durée de vie, mais c’est juste pour le plaisir que je l’ai fait. Il vous faut comme base une Archlinux avec les dépots « testings » activés (le temps que les paquets de Xfce 4.12 arrive sur les dépots stables), avec Xorg préinstallé et fonctionnel. Il est en quelque sorte complémentaire au tutoriel fraichement publié.

Pour installer la base de Xfce 4.12, il y a deux étapes. Si vous migrez une Archlinux avec Xfce 4.10 préinstallé, l’étape de modification du fichier /etc/pacman.conf sera inutile.

Donc, quand vous êtes connecté en tant qu’utilisateur normal, il faut commencer par modifier le fichier /etc/pacman.conf pour qu’un paquet soit ignoré. En effet, sinon, on a droit à ça : Un conflit qui bloque l’installation.

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Guide d’installation d’Archlinux, version de mars 2015.

Voici la dix-septième version du tutoriel pour installer une Archlinux, que ce soit avec une machine virtuelle, utilisant un Bios ou un circuit UEFI. Cette version rend obsolète celle de février 2015.

Cette version est essentiellement corrective, et aucun grand chamboulement n’a été effectué.

En ce qui concerne les addenda, KDE SC 4.14.x est présent pour la dernière fois. Dès le tutoriel de début avril 2015, KDE SC 4.14.x sera remplacé par Plasma 5.2 ou plus récent.

Pour Xfce 4.12, étant donné qu’il est sorti le 28 février 2015, il ne sera pas disponible avant le tutoriel du mois d’avril 2015.

Petite précision : Plasma 5.2.1 étant inutilisable à la fois sous VirtualBox et Qemu (crash constant au démarrage), l’illustration de l’addenda pour Plasma 5.2.x est celui de février 2015. Avec un peu de chance, la situation sera meilleure pour le tutoriel d’avril 2015. J’ai tenté de faire fonctionner l’ensemble durant près de deux heures avant de l’envoyer ad-patres par lassitude.

NB : si vous voulez faire une installation avec UEFI, il faut utiliser cgdisk, gfdisk ou gparted, et créer un partitionnement GPT. Sinon, ça plantera !

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier au format zip contient :

  • La version odt
  • La version pdf
  • La version ePub
  • La version mobi (pour Kindle)

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 3.0.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire des retours en cas de coquilles !

KaOS 2015.02 : où en est la ArchLinux « Canada Dry » ?

Je reviendrai vers le titre un peu plus tard. La KaOS est une distribution qui à l’image de la Chakra Linux veut proposer un environnement uniquement basé sur les outils de KDE, et la version publiée en cette fin février 2015 franchi le pas en proposant seulement Plasma 5.2.x. Adieu le bon vieux KDE SC 4.14.x.

Ayant été contacté dans les commentaires d’un article récent, j’ai donc décidé de voir ce qu’avait cette version « Canada Dry » d’Archlinux.

KaOS est une distribution qui utilise pas mal d’outils d’Archlinux, dont Pacman et le format des recettes de création de logiciels , mais qui dénie en être une du moins dixit sa FAQ. Cependant, un certain Allan McRae n’est pas du même avis, et l’a exprimé dans les commentaires d’une des gazettes hebdomadaires de distrowatch.

7 • @5: Re – KaOS is « half-arch » 🙂 (by Allan on 2015-01-26 10:18:22 GMT from Australia)
It is not just the package manager and format, most of the build scripts for the base of the system are copied directly from Arch. This happens for both KaOS and Chakra, which means that Arch developers are doing the packaging and then these distributions just rebuild the package.

This is only for the [core] repository – I have not looked at any packages beyond that, and I am sure these differ. Not that there is anything wrong with doing that (it is a good use of their smaller resources), just claiming they are not based on Arch is wrong.

Ce qui donne traduit :

Ce n’est pas seulement le gestionnaire et le format de paquet, la plupart des scripts de construction pour la base du système sont copiés directement d’Arch. Cela se produit à la fois pour Kaos et Chakra, ce qui signifie que les développeurs d’Arch font l’empaquetage et ces distributions reconstruisent tous les paquets.

Ce n’est pas seulement uniquement pour [core] – Je n’ai pas regardé tous les paquets au-delà, et je suis sûr que ceux-ci diffèrent. Non qu’il n’y ait rien de mal à cela (c’est une bonne utilisation de leurs petites ressources), mais prétendent qu’ils ne se reposent pas sur Arch est faux.

Au dela de cette polémique, j’ai récupéré l’ISO pour voir ce que cette distribution a dans le ventre. J’en avais déjà parlé en novembre 2013 et en août 2014. Voyons donc l’évolution entre temps.

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Uumate, ou l’exemple de ce qu’il ne faut pas faire ?

Dans un article récent, je parlais de la version presque béta 1 d’Ubuntu Mate 15.04. En décembre 2014, j’apprenais l’existence de la Uumate (rien à voir avec une marque de colle bien connue pour le début du nom), UUMate étant le nom résumé de la Updated Ubuntu Mate OS.

Après des tests préliminaires, j’avais été tellement dégoûté par le résultat que j’avais décidé, par pure charité, de ne pas faire d’article. Dans un post de mon fil google+, le 20 décembre 2014, je n’y allais pas avec le dos de la cuillère à pot, pour exprimer mon ras-le-bol du grand n’importe quoi qui règne par moment dans le logiciel libre :

Ayant atteint mon quota annuel d’articles #méchantfred , je vous laisse découvrir cette excrément canin informatique.

Guillaume Lamé s’y était collé, se récoltant une volée de bois vert de l’auteur de la distribution en question.

J’ai donc décidé de prendre le taureau par les cornes et récupéré l’ISO la plus récente disponible pour voir si les défauts trouvés Guillaume Lamé étaient toujours présent.

Une fois l’image ISO de 1,9 Go récupérée (soit plus du double de la Ubuntu Mate 14.10 officielle qui pèse 991 Mo), je l’ai lancé dans une machine VirtualBox.

Dès le démarrage, on est agressé par une boite de dialogue concernant l’intégration de dropbox dans Caja. Ensuite, on a droit à une présentation à la LinuxMint (en gros, on clone l’ergonomie générale de MS-Windows au lieu de respecter celle d’origine de Mate Desktop) et les icones Faenza. On échappe aux icones à la mode, c’est toujours ça de pris 😉

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Ubuntu Mate 15.04 (presque) béta 1 : à quoi ressemble la nouvelle mouture de cette déclinaison d’Ubuntu ?

En août 2014, je parlais pour la première fois d’une déclinaison supportable avec Mate Desktop de la distribution GNU/Linux, Ubuntu.

Loin de l’horreur surchargée qu’est (ou était ?) l’Australis LTS, les développeurs de cette déclinaison (en cours d’officialisation), C’était une bonne version. D’ailleurs, à l’époque du billet sur la Ubuntu 14.10 béta 1, l’équipe avait postulé pour que leur dérivée soit reconnue comme déclinaison officielle par Canonical.

Sur ce plan précis, c’est bien parti. En effet, grâce à un post trouvé sur Google+ de Vincent Jobard, quelque chose me dit que c’est sur le point d’être le cas…

Quoiqu’il en soit, j’ai décidé de faire un point, et de récupérer l’ISO en utilisant mon ami wget. L’adresse de récupération ? http://cdimage.ubuntu.com/ubuntu-mate/daily-live/current/

Juste sur le site qui sert d’interface aux serveurs de téléchargements des déclinaisons officiellement supportées d’Ubuntu et d’Ubuntu elle-même.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://cdimage.ubuntu.com/ubuntu-mate/daily-live/current/vivid-desktop-amd64.iso
–2015-02-25 10:11:00– http://cdimage.ubuntu.com/ubuntu-mate/daily-live/current/vivid-desktop-amd64.iso
Résolution de cdimage.ubuntu.com (cdimage.ubuntu.com)… 2001:67c:1360:8c01::20, 2001:67c:1360:8c01::1f, 2001:67c:1360:8c01::21, …
Connexion à cdimage.ubuntu.com (cdimage.ubuntu.com)|2001:67c:1360:8c01::20|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1198522368 (1,1G) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « vivid-desktop-amd64.iso »

vivid-desktop-amd64 100%[=====================>] 1,12G 2,31MB/s ds 8m 4s s

2015-02-25 10:19:05 (2,36 MB/s) — « vivid-desktop-amd64.iso » sauvegardé [1198522368/1198522368]

Quand au terme (presque) béta 1 du titre ? La béta 1 sort(ira) le 26 février 2015, dixit la feuille de route officielle de la Vivid Vervet, et comme j’écris ce billet le 25 février 2015…

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En vrac’ de début de semaine.

Pour commencer la dernière semaine de ce mois de février 2015, un en vrac’ varié. Commençons par le logiciel libre.

Et en mode fourre-tout ? 🙂

Voila, c’est tout pour aujourd’hui !

AryaLinux : une Linux From Scratch scriptée.

Il existe deux familles de distributions GNU/Linux : celles basées sur des paquets précompilés, et celles qui compilent les paquets à partir des codes sources.

Dans la deuxième famille, on trouve les distributions qui proposent une base déjà compilée (comme pour la Gentoo Linux, sa cousine la Funtoo Linux, la Lunar-Linux ou encore la Crux), et d’autres qui partent de rien et compile tout, même le compilateur.

Dans ce cas, on trouve essentiellement des distributions comme la Kaarpux (qui bloque au moment où j’écris cet article, le 20 février 2015 au niveau de la récupération des codes sources), ou la Linux From Scratch qui tient à la fois de la distribution et du manuel d’emploi pour créer sa propre distribution en mode « je suis un gros fondu d’informatique ».

Il n’y a que peu de distributions qui prennent comme base la LFS. Outre la NuTyX, il y a aussi un projet dont j’ai entendu parlé récemment, la AryaLinux. Sauf erreur de ma part, elle est uniquement disponible en version 32 bits.

Après avoir discuté avec son auteur, Chandrakant Singh, j’ai appris que la première AryaLinux sera basée sur la LFS et son complément la BLFS en version 7.5, datant de mars 2014.

Cependant, l’auteur m’a assuré que la version suivante serait basé sur le duo LFS/BLFS 7.6 avec systemd activé, sorti en septembre 2014. J’entends déjà grincer des dents.

J’ai donc récupéré l’ISO, et j’ai lancé l’ensemble dans une machine VirtualBox.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://softlayer-ams.dl.sourceforge.net/project/aryalinux/aryalinux-builder-i686-1.0/iso/aryalinux-i686.iso
–2015-02-19 20:23:02– http://softlayer-ams.dl.sourceforge.net/project/aryalinux/aryalinux-builder-i686-1.0/iso/aryalinux-i686.iso
Résolution de softlayer-ams.dl.sourceforge.net (softlayer-ams.dl.sourceforge.net)… 37.58.69.140
Connexion à softlayer-ams.dl.sourceforge.net (softlayer-ams.dl.sourceforge.net)|37.58.69.140|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 2770057216 (2,6G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « aryalinux-i686.iso »

aryalinux-i686.iso 100%[=====================>] 2,58G 1,36MB/s ds 24m 40ss

2015-02-19 20:47:42 (1,79 MB/s) — « aryalinux-i686.iso » sauvegardé [2770057216/2770057216]

La seule étape non automatisée, c’est la création du partitionnement du disque. Ensuite, il suffit de lancer les scripts contenus dans le répertoire /sources/

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Ah, le panurgisme graphique des distributions GNU/Linux.

Dans un article récent, je me suis pris une volée de bois vert dans les commentaires, car j’ai osé dire qu’un des points noirs de la distribution, c’était son thème d’icones.

J’ai donc décidé d’expliquer le pourquoi du comment du désamour – pour rester gentil – que je ressens envers le thème d’icones Numix qui se répand depuis plusieurs mois dans les distributions GNU/Linux. Il y a des modes dans le domaine des thèmes d’icones, et Numix est le dernier en date. Il y a deux ou trois ans, tout le monde ne jurait que par le thème d’icones Faenza.

Depuis environ 6 à 7 mois (donc en gros depuis la mi-2014), Numix est venu prendre sa place. Voir un nouveau thème d’icones était au début rafraîchissant, même si je l’ai toujours trouvé inesthétique, pour reprendre le contenu d’un commentaire que j’ai posté sur l’article concernant la BodhiLinux 3.0 :

[…]Contrairement au thème numix, les icones faenza sont recherchées, et même si l’icone de la corbeille fait penser à une cuvette de toilette, c’est plus supportable que des icones qu’on croirait dessiné sur un Amstrad CPC.

Et encore, j’insulte cette machine sur laquelle j’ai fait mes premières armes.[…]

Le pire que j’ai pu voir, c’est le mélange des icones numix avec un fond d’écran assez chaud, et avec la Korora 21. Je me demande si les créateurs de la dite distribution travaillent avec des lunettes de soleil, mais une couleur chaude sur un fond d’écran, comment l’exprimer sans haine ?

Prenez un fond d’écran orange pastel, et fixez-le durant 5 minutes. Je pense que vous aurez les yeux injectés de sang et vous changerez le fond d’écran dans les 30 secondes qui suivront.

Une remarque m’est revenue souvent sur la critique des goûts des utilisateurs. Les goûts ne se discutent pas, c’est certain. Mais, un peu de variété, ça ferait mal ? Ne pas voir reproduit jusqu’à l’indigestion visuelle le même thème d’icone, c’est trop demander ?

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Bodhi Linux 3.0 : que vaut la version de la renaissance de cette distribution ?

Il y a environ six mois, en septembre 2014, Jeff Hoogland annonçait qu’il se mettait en retrait du projet Bodhi Linux. Revenu entre temps, il vient de publier la version 3.0 de la distribution basée sur Ubuntu avec enlightenment 0.19, disponible en version 32, 64 bits et pour les chromebooks.

Je n’avais pas été vraiment emballé par la Bodhi Linux à l’époque de sa version 2.2.0, sorti fin décembre 2012.

J’ai donc voulu voir ce qu’a dans le ventre la nouvelle version tout juste sortie. Basée sur le coeur de la ubuntu 14.04 LTS, elle apporte cependant un noyau plus récent, le 3.16, du moins si on en croit l’annonce de publication. J’ai donc récupéré l’ISO en 64 bits, et je l’ai lancé dans une machine VirtualBox.

Après le démarrage, ce qu’on note au premier coup d’oeil, c’est que cette distribution est victime de la mode. Inutile de préciser l’inspiration du thème d’icone employé. Ce qui est étonnant, c’est qu’il doit déclarer comme étant le thème par défaut d’enlightenment. Par acquis de conscience, j’ai installé en parallèle une Archlinux avec e19 pour comparer les deux thèmes graphiques.

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Arquetype 21 : l’archétype de ce qu’il (ne) faut (pas) faire ?

Dans le petit monde des distributions GNU/Linux, on trouve essentiellement des dérivées d’Ubuntu. Il en existe, au 16 février 2015, 68 indexées sur Distrowatch et encore en vie. Si on prend une base de Fedora Linux, on descend à 23 distributions recensées et encore en vie.

Autant dire que cela fait une grande différence. En dehors de la Korora (dont j’ai parlé début février 2015), il existe quelques distributions en attente d’indexation, comme la Chapeau Linux ou encore l’Arquetype dont je vais vous parler dans cet article.

J’ai donc récupéré l’ISO avec KDE SC en version 64 bits grâce à mon ami wget, puis j’ai utilisé Qemu pour la suite des réjouissances. Il existe aussi une ISO avec Cinnamon pour les amateurs. C’est une Fedora Linux avec KDE SC ou Cinnamon, les dépots RPM Fusion, PlayOnLinux, Wine, et Google Chrome (via le dépot Russian Fedora) pour rester dans les grandes lignes du projet.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://arquetype.org/isos/Arquetype-KDE-21-x86_64.iso
--2015-02-16 10:17:07-- http://arquetype.org/isos/Arquetype-KDE-21-x86_64.iso
Résolution de arquetype.org (arquetype.org)… 37.247.121.166
Connexion à arquetype.org (arquetype.org)|37.247.121.166|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 2556428288 (2,4G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « Arquetype-KDE-21-x86_64.iso »

Arquetype-KDE-21-x8 100%[=====================>] 2,38G 2,32MB/s ds 24m 18ss

2015-02-16 10:41:25 (1,67 MB/s) — « Arquetype-KDE-21-x86_64.iso » sauvegardé [2556428288/2556428288]

Pour mémoire, kvm64 est un raccourci pour : qemu-system-x86_64 -k fr -m 2048 -sdl -soundhw hda,ac97 -no-frame -vga std --enable-kvm

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom Arquetype-KDE-21-x86_64.iso -boot order=cd &

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