Ca pourrait ressembler à quoi un passage d’une Archlinux à systemd ?

J’ai voulu faire une machine virtuelle avec une Archlinux « systemd-isée ». Avant toute chose, systemd n’est pas encore 100% porté pour Archlinux, donc, c’est à vos risques que vous ferez les manipulations en question. Je me suis bien fait comprendre ?

Donc, après avoir mise en place une version complète et classique d’une archlinux, j’ai commencé à installer les paquets qui vont bien. Dans mon cas, une archlinux avec un gnome avec les fichiers de configuration « éclatés ».

Ensuite, j’ai installé les paquets nécessaire à un démarrage en mode systemd.


sudo pacman -S systemd systemd-arch-units systemd-sysvcompat

Ensuite, après avant de redémarrer, j’ai jeter un oeil à la liste des daemons qui sont chargé dans le fichier /etc/rc.conf, qui est renommé en /etc/rc.conf.pacsave.

DAEMONS=(syslog-ng !network netfs crond dbus alsa networkmanager iptables ntpd avahi-daemon avahi-dnsconfd cupsd gdm)

Ce qui m’a donné la liste des services à mettre en route avec les lignes de commandes suivantes :


sudo systemctl enable syslog-ng.service
sudo systemctl enable cronie.service
sudo systemctl enable NetworkManager.service
sudo systemctl enable avahi-daemon.service
sudo systemctl enable avahi-dnsconfd.service
sudo systemctl enable iptables.service
sudo systemctl enable ntpd.service
sudo systemctl enable cups.service
sudo systemctl enable gdm.service

Certains services sont chargés automatiquement, soit par un autre service (comme dbus par NetworkManager) ou par l’interface graphique (comme alsa).

J’avais créé à l’origine cette machine virtuelle pour parler de gwibber, mais j’en ai profité pour faire une vidéo montrant une archlinux systemd-isée à l’action… Et c’est du brutal 😀

Tout fonctionne bien, mis à part le son qui coince. Mauvaise manipulation ? Bug de VirtualBox ? Bug de pulseaudio ? En tout cas, ça semble lié à Bluetooth qui semble mettre sa mouise. J’ai rapporté le bug, on verra bien ! 😀

Vous souffrez de systemd-ophobie ? Voici quelques solutions.

La systemd-ophobie, c’est le rejet de systemd, un projet porté à l’origine par RedHat pour remplacer les scripts de démarrage qui selon un des codeurs de RedHat se font un peu trop vieux.

Si entendre parler de systemd vous donne des plaques d’urticaire, des démangeaisons sur tout le corps, et que vous avez envie d’hurler à la lune, tel un loup-garou, alors vous êtes atteint de systemd-ophobie.

Voici donc les actions à entreprendre.

  1. Eviter les distributions utilisant ou qui utiliseront à terme systemd : Fedora Linux, OpenSuSE, Archlinux, Frugalware Linux, et leurs dérivées. Sans oublier Mageïa.
  2. Utiliser Ubuntu ou une de ses nombreuses versions dérivées plus ou moins officielles qui utilisent upstart en lieu et place de systemd, comme Linux Mint par exemple, ou la poire si vous êtes masochiste.
  3. Utiliser Debian GNU/linux, la stable ou encore la future stable Wheezy. Si la migration vers systemd doit se faire chez Debian, ce ne sera pas avant la version 8, alias Jessie vers 2015-2016.
  4. Utiliser une distribution comme Slackware ou une de ses dérivées comme SalixOS.
  5. Passer carrément à un BSD libre.
  6. Economiser durant plusieurs mois et prendre une machine pommée.

Voila, maintenant à vous de voir, le temps que soit systemd finisse par s’imposer ou se planter en beauté, vous avez le choix. A vous de voir !

En vrac’ rapide et libre.

Quelques liens en vrac’ en rapport avec le logiciel libre, et le libre en général.

C’est tout pour le moment !

Marre des chouineurs sur Archlinux…

Depuis quelques temps, la communauté archlinux me tape sérieusement sur le système. Il y a une minorité de chouineurs qui, disons-le tout net, au nom d’une vision spécifique du principe KISS s’est opposée aux différentes évolutions qui ont eu lieu depuis la fin juin.

En essayant d’être aussi exhaustif que possible, je citerais :

C’est l’annonce non-officielle sur google plus d’une migration annoncée vers systemd qui a une nouvelle fois déclenché les hostilités.

Il faut dire que tout a commencé un peu plus haut par une proposition d’un développeur de la distribution (qui doit s’y connaitre un tant soit peu) de commencer la migration, le temps que les dernières pièces manquantes soient mises au point.

I would suggest to replace iniscript by systemd once the ‘Missing systemd units’ is over. Thus we will avoid duplicating our efforts on two init systems.

Ce qui donne traduit :

Je suggèrerais de remplacer initscript par systemd une fois que les « Missing systemd units » seront terminés. Donc cela nous permettrait d’éviter de doubler nos efforts sur deux systèmes d’initialisation.

Et bien entendu, cette proposition a lancé un fil monstre, digne des pires empoignades geekesque, qui font passer la guéguerre vi contre emacs pour une dispute de cours d’école maternelle. 37 messages au moment où j’écris cet article. La pollution est telle qu’un des développeurs clés a décidé de la jouer « dictatorial » coté évolution de la distribution.

My solution was to unsubscribe to arch-general… So all those long threads have achieved is that I will now make decisions with even less community input.

Ce qui donne traduit :

Ma solution a été de me désinscrire d’arch-general. Tous ces fils interminables ont fini par me convaincre que je prendrais des décisions avec moins de retour de la communauté.

Et tandis que des trous de fesses mal récurés foutent la mouise, le mainteneur de l’ensemble de Gnome, Ionut Biru enfonce le coin dans la porte, maintenir Gnome sans passer par systemd est une horreur :

I wonder if we manage to do the switch before gnome 3.6 comes out. I’m sick and tired of supporting ck and seats and become harder to do so.

I plan to drop consolekit support from gnome and compile it with systemd full support.

Ce qu’on peut traduire par :

Je me demande si on peut gérer le changement avant que gnome 3.6 sorte. J’en ai assez de continuer le support de ck et de seats qui devient de plus en plus difficile.

J’ai planifié l’abandon du support de consolekit pour gnome et de le compiler avec le support complet de systemd.

J’avoue que je me demande si je serais encore sur Archlinux d’ici la fin du mois.

La répétition de ces débats stériles sont en train de m’écoeurer d’une distribution qui me donne énormément de plaisir depuis des années. Et depuis que j’ai installé la Viperr 02 sur le portable qu’on m’a donné, la Fedora Linux 17 me fait de plus en plus de l’oeil. D’ici à ce que je saute le pas…

Une communauté peut attirer des utilisateurs ou les faire fuir. A ce rythme, je crains que la communauté archlinuxienne – du moins une minorité un peu trop bruyante et incapable de se remettre en question – ne la détruise totalement !

Et encore un utilisateur ravi de Viperr 2.

J’avais déjà parlé de Viperr 02 lors de sa sortie. Ayant récupéré un portable (Toshiba Satellite L300 -2CZ), j’avais d’abord opté et installé une archlinux. Cependant, après avoir réfléchi, j’ai fini par craquer et j’ai installé le reptile.

J’ai cependant modifié l’installation de base. En gros, et liste non exhaustive :

  • VLC en lieu et place de Gnome MPlayer
  • LibreOffice 3.6 (en utilisant les paquets du site officiel)
  • Leafpad en lieu et place Geany
  • PNMixer en lieu et place de VolumeIcon, cf ce post sur google+

Et la petite capture d’écran qui va bien. Je n’ai pas encore complètement terminé, mais j’avoue que pour l’utilisation que j’aurais de la machine (appoint pour un projet personnel et machine de surf le soir au lit), c’est plus que suffisant… Et peut-être que j’aurais l’idée de migrer mes deux machines sous Viperr pour la 03 ? 😉

Le point sur l’installation de Debian Gnu/Linux Wheezy au 11 août 2012.

Depuis quelques jours, la blogosphère libre parle du choix de proposer par défaut sur le premier CD de la Debian GNU/Linux, avec par exemple ce journal sur linuxfr.org, qui sortira en début d’année prochaine Xfce en lieu et place de Gnome. Je m’était aussi fendu d’un article qui parlait d’une limite technique qui si elle semble obsolète dans nos contrées ayant accès à la fibre optique ou au minimum à un ADSL aux hormones ne l’est pas ailleurs.

J’ai donc pris une image ISO de la version testing, en date du 6 août dernier. L’annonce fracassante de l’équipe de Debian datant de la fin juillet, normalement l’ISO doit contenir la correction.

J’ai donc lancé l’installation, et pour éviter de dire que j’ai trafiqué quelque chose, j’ai enregistré la demi-heure qui permet de montrer l’installation en ligne. Et un Gnome 3.4 nous accueille quand on fait une installation en ligne.

Je me suis alors dit, si l’installation en ligne propose Gnome 3.4, peut-être que l’installation hors-ligne propose Xfce ? Et voici le résultat de l’installation hors ligne.

Pas de Xfce, mais je suppose twm « mal configuré » qui nous accueillent. Xfce n’a pas encore du être intégré dans l’ISO du CD 1.

Donc, aux alentours de la mi-août 2012, à 5 ou 6 mois de la sortie de la Debian GNU/linux Wheezy, il est trop tôt pour enterrer Gnome 3.4, même si c’est au profit du très bon Xfce.

Ah, les contraintes du format CD… Ou au moins de sa taille de 700 Mo.

Quand j’ai commencé à m’intéresser au monde des distributions GNU/Linux, c’était vers 1996-1997. A l’époque, il fallait se créer deux disquettes au minimum pour démarrer un système minimal qui permettait de lancer l’outil d’installation.

Les CDs d’installation démarrant tout seul doivent dater de 1999 ou de l’an 2000. Quant aux liveCD, le premier, DémoLinux date de l’an 2000. 12 ans déjà, 4 ans au minimum avant une certaine distribution au nom de code bizarre, Warty Warthog, sorti courant octobre 2004.

Et depuis, sauf pour les distributions les plus gourmandes, une ISO d’installation d’une taille maximale de 700 Mo (capacité maximale d’un CD) est resté l’étalon.

En mai 2010, je parlais du problème de cette taille étalon. En dehors du fait que je pensais – et c’est toujours le cas – que des distributions à publication fixes semestrielles sont difficile à respecter coté stabilité, je parlais de sacrifices nécessaires coté logiciel.

Pour respecter la « sacro-sainte » limite des 700 Mo, on est obligé de faire la croix souvent sur des logiciels phare comme Gimp, ou encore OpenOffice.org.

Or, la publication récente de Linux Mint 9 propose une version en liveDVD qui contient des logiciels comme VLC et OpenOffice.org (assez indispensable de nos jours une suite bureautique) en complément de la version classique.
[…]
Car 6 mois, c’est déjà court pour stabiliser une distribution, et rester dans le cadre du format CD coté taille obligera constamment soit à augmenter le niveau de compression, en utilisant des outils comme xz soit à faire des sacrifices plus ou moins bien compris par les utilisateurs.

Sans le vouloir, j’ai eu le nez creux avec un peu d’avance. Lisant le site PcInpact, je suis tombé sur cet article, « Debian abandonne l’environnement GNOME au profit de Xfce »

Si on s’arrête à la une (comme de nombreuses personnes seraient tentées de le faire), on pourrait se dire : encore un coup dans la tronche de Gnome, mais il faut lire l’article pour tomber sur un morceau intéressant, je cite :

Un changement voulu en grande partie à cause du poids de GNOME qui augmente. Or, les développeurs veulent maintenant un objectif de taille raisonnable pour la distribution, notamment en ce qui concerne la distribution par images ISO de type CD.

D’ailleurs, si on se plonge sur le « commit » qui a mis en place ce choix, le commentaire est très clair.

« This ensures that the desktop will fit on CD#1, which gnome currently does not. » ce que l’on peut traduire par « Cela assurera que le bureau tiendra dans le CD 1, ce que gnome n’est pas capable de faire en ce moment ».

Bien entendu, pour les vieilles machines, avoir un support CD minimal quand on a un réseau de qualité moyenne, c’est l’idéal. Cependant, dans les pays développés ou pour les personnes pouvant faire une installation en réseau, voire mettre un ISO plus grosse que les 700 Mo sur une clé USB, le problème ne se pose pas.

Donc, nous assistons encore une fois à une obligation de trancher dans le vif pour respecter le sacro-saint format de 700M des images ISOs.

Pour combien de temps encore ?

Les distributions « tout-en-un » basées sur ArchLinux sont-elles condamnées à l’échec ou au fork ?

Des distributions tout-en-un basées sur Archlinux, je citerais, et sauf oubli involontaire, les suivantes :

  • La Chakra Linux qui a depuis rompu les ponts avec la distribution mère pour avoir ses propres dépots, pour proposer une expérience KDE aussi « pure » que possible.
  • La Bridge Linux, originellement proposant une base Xfce, mais proposant désormais aussi Gnome et KDE.
  • La ArchBang qui propose une Crunchbang à la sauce Archlinux
  • KahelOS dont la dernière image ISO en 32 bits uniquement date de mars dernier, du moins au moment où je rédige cet article
  • La Manjaro Linux avec une base xfce, qui est moins moribonde que je l’avais pensé à une époque.

Parlons donc des distributions qui sont restées proches des sources, et commençons par la Bridge Linux. Sa version 2012.8 propose un installateur graphique, automatisant au maximum l’installation. Par contre, Grub semble ne pas vouloir s’installer correctement. Problème connu, lié à l’installation de Grub2 apparemment.

Et même en appliquant la méthode proposée sur le fil de discussion, la distribution ne démarre pas… La transition vers Grub2 est toujours un sujet sensible 🙂

Continuer la lecture de « Les distributions « tout-en-un » basées sur ArchLinux sont-elles condamnées à l’échec ou au fork ? »

BedRock Linux, où comment un vieux proverbe se vérifie.

Le principe derrière BedRock Linux, c’est de faire une nouvelle distribution universelle. Oui, encore une !

Rien que le paragraphe d’introduction est modeste :

Bedrock Linux is a Linux distribution created with the aim of making most of the (often seemingly mutually-exclusive) benefits of various other Linux distributions available simultaneously and transparently.

Ce qui donne traduit :

Bedrock Linux est une distribution Linux créée dans le but de prendre la plupart (s’excluant mutuellement au premier abord ) des avantages des diverses distributions Linux disponibles simultanément et d’une manière transparente.

Donc, on prendrait une base donnée, et on rajouterais de manière transparente des logiciels venant d’autres distributions. Du genre : une base Debian GNU/Linux stable, avec une version de Gimp venant d’Archlinux, un Mozilla Firefox venant de la dernière Fedora Linux, etc…

Je n’ose pas imaginer le bazar que cela peut entraîner lors des mises à jour de logiciels.

Le principe employé est tout simple : utiliser des logiciels compilés en version statiques.

Comme cela, chaque logiciel contient dans son exécutable toutes les dépendances nécessaires à son fonctionnement.

Et comment éviter que les logiciels ne s’écrasent mutuellement ? Chacun utilise son propre chroot, son espace propre où il se croit dans sa distribution d’origine.

Les instructions d’installation de la première version alpha laisserait penser qu’installer une Linux From Scratch serait moins pénible. J’avoue que je n’ai pas osé essayé, et pourtant, j’aime installer des distributions exotiques…

Les avantages de ce genre de distributions sont largement dépassés par les inconvénients :

  • L’obligation d’avoir des paquets compilés en version statique, ce qui alourdit le poids des logiciels, la seule distribution proposant des paquets statiques n’est guère avancée.
  • On finit par se demander de quelle origine de tel ou tel paquet
  • Un bazar monstre à installer
  • On critique souvent les dépots tiers, du genre PPA pour Ubuntu ou AUR pour Archlinux, alors que dire d’une distribution qui mélange toutes les sources possibles de logiciels ?
  • Quid de la maintenance sur le long terme ?

L’idée est généreuse, mais cependant, elle me fait penser à ce proverbe : « La route de l’Enfer est pavée de bonnes intentions ».

Retour vers le futur, la nouvelle tendance dans les distributions GNU/Linux ?

Observant le monde des distributions GNU/Linux et des logiciels la composant, la tendance semble être « retour vers le futur » à grande vitesse. Je ne me souviens pas d’avoir vu depuis plus de 6 ans une telle tendance à rejeter les nouvelles versions de logiciels. C’est même devenu une mode.

Le mouvement a commencé avec l’arrivée de l’acharnement thérapeutique pour KDE 3.5 (le projet Trinity), et pour Gnome 2 (le projet MATE dont j’ai parlé récemment). Linux Mint toujours plein de bonnes idées a décidé de prendre le code source de Nautilus 3.4 pour le faire dériver par rapport au retrait de certaines fonctionnalités dans la future version 3.6 de Nautilus.

Le code est disponible pour les personnes voulant le faire recompiler.

Autre tendance à ce retour vers le futur : le rejet de certains utilisateurs du chargeur de démarrage, Grub2. Cela est surtout vrai pour les distributions comme Archlinux, qui vient d’officialiser l’arrivée de Grub2 dans son image d’installation du mois d’août 2012.

Dans un article qui pue le renfermé , Sygne critique l’évolution prise, et spécialement l’arrivée de Grub2, je cite :

On peut apprécier l’amélioration des performances, l’étendue du matériel supporté, les kikoololeries en tous genre maintenant possibles. Mais la vision de l’informatique que me propose Grub2 n’est pas la mienne. Le nouveau Grub, c’est l’obfuscation imposée au nom de la performance technique. Je cherche tout le contraire, la transparence, même au prix d’inconvénients techniques.

Bref, sur Arch, j’utiliserai lilo.

Dans ce cas, pourquoi ne pas utiliser la Slackware qui propose Lilo comme seul chargeur de démarrage ? Il est vrai que comme pour les fichiers de configuration simplifiés qui ont été introduit récemment, on touche tous les jours à la configuration de son chargeur de démarrage. Sur ma machine principale, j’ai du touché en tout et pour tout 2 fois au fichier grub.cfg, en éditant le fichier /etc/default/grub pour changer la résolution d’affichage pour choisir les couleurs d’affichage des lignes.

Et c’est tout ! Grub 0.97 est obsolète. Laissons-le prendre sa retraite, bien méritée.

Dernier exemple de ce retour vers le futur ? La possible arrivée de MATE dans les dépôts de la Fedora Linux 18 qui n’arrivera qu’en novembre prochain.

La page du projet annonce que le port est à environ 40% du total fin juillet. Ce qui laisse du temps pour intégrer le projet qui apportera plus de choix aux utilisateurs, même si je me demande comment les codeurs de MATE vont faire pour intégrer le support de gtk3 dans le code dérivé de Gnome 2. Simple question, hein 😉

Je suis d’accord pour que le choix existe et prospère. Tant que cela ne signifie pas le rejet de certaines technologies ayant un passif passé moins chargé, pourquoi pas ?

Mais, et même si je comprends les utilisateurs des interfaces « traditionnelles », faisons un parallèle osé : pourquoi marcher sur nos pattes arrières alors qu’on se déplace aussi bien à quatre pattes ? Hein, pourquoi ? 😉