En vrac’ dominical.

Un court billet rédigé un dimanche matin nuageux du mois de juin 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne journée 🙂

En vrac’ de fin de semaine.

Profitons d’un samedi matin de début juin pas trop chaud pour vrac’er 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne journée 🙂

Certains groupes ne comprennent-ils pas qu’il y a des coûts psychologiques à ne pas franchir ?

Il y a près de 5 ans, en juillet et août 2015, j’écrivais deux billets sur les abus en terme de prix pour les albums de musique, spécialement pour les versions numériques, qui ne sont que des 0 et des 1 arrangés dans un certain ordre si on va au plus bas du contenu en question.

Que ce soit dans le premier article, écrit fin juillet 2015 sous le coup de l’énervement, ou dans sa suite écrite une quinzaine de jours plus tard, je donnais l’exemple d’album qui dépassait allègrement les 12 à 15€ pour des censure d’une dizaine de jurons fichiers au format non destructif flac… Il y avait dans le deuxième billet l’exemple d’un groupe de folk progressif « Elena’s Idea » qui proposait son album à 15€ en numérique et 25€ en format physique.

Étant retourné sur la page du groupe, qui n’affiche pas la moindre vente sur Bandcamp, les prix sont devenus un peu plus raisonnables… Respectivement 10€ et 15€ pour le numérique et la version physique.

Comme quoi, se retrouver sans la moindre vente, ça fait réfléchir et ça donne envie de revoir ses prétentions à la baisse. Après tout, tout le monde n’est pas comme une boite comme Apple pour vendre du matériel avec un logo fruité dessus pour deux à trois fois le prix du matériel équivalent ailleurs.

Ce qui m’a donné envie d’écrire ce billet, c’est la sortie du nouvel opus – qui est très bon – d’Astolat, « The Winning Tragedy » que j’attendais après le tout aussi bon Aokigahara sorti en 2014. Quand j’ai vu le prix, à savoir 15€, j’ai d’abord cru – et c’était logique – que c’était pour une version physique…

Malheureusement, j’ai vite déchanté. C’est 15€ pour l’album (12 pistes) et pour les versions instrumentales pour onze d’entre elles. 15€ ?! Désolé, mais c’est beaucoup trop cher pour simplement des fichiers que l’on peut perdre dans un choc appliqué à un disque dur externe en plein fonctionnement. Quant à la carotte des versions instrumentales, ça me fait penser au foutage de tronche des albums remastérisés de Led Zeppelin au milieu des années 2010.

Donc, et ça me fait mal au fondement de le dire surtout que j’attendais cet album avec impatience, ce sera pour moi un « non, désolé, je n’achète pas. » Je ne sais pas si je continuerai de suivre l’actualité du groupe, mais avec ce genre de faux pas stratégique, ça donne envie de s’en éloigner.

Avant qu’on me dise que « toute peine mérite salaire » – ce avec quoi je suis d’accord – il faut savoir aussi rester raisonnable et ne pas se mettre à dos les personne qui suivent le groupe depuis des années.

Et si cela ne touchait que le monde de la musique en ligne… N’oublions pas les délires de l’auto-édition et des sommes mirobolantes parfois demandées pour des livres numériques comme le soulignait Agnes dans un billet de juin 2018 de son blog.

« Plow » de Tarmak : du très bon post-rock belge.

Il m’arrive d’être contacté par des groupes pour me faire connaitre un album qui doit sortir ou qui est sorti. À chaque fois, j’écoute les productions, ne promettant rien d’autre. Parfois c’est un coup de coeur. Parfois je n’accroche pas. J’ai été contacté par Tarmak il y a une dizaine de jours pour me parler de leur premier album, « Plow », disponible entre autre sur Bandcamp.

Pour parler rapidement du groupe, c’est un trio qui propose un post-rock assez musclé à 95% instrumental.

Il m’a fallu deux écoutes pour que j’accroche pour de bon et que j’achète un exemplaire numérique de l’album. Ce qui est la moindre des choses après tout !

L’album est bien proportionné : 26 minutes pour 4 pistes. La première piste « Krater » est comme un amuse gueule. C’est la seule piste qui comporte un tout petit peu de chant clair, qui dure environ 2 minutes sur les 7 de l’ensemble. C’est le genre de piste avec un rythme répétitif à la limite de l’hypnotique. Très bon.

Continuer la lecture de « « Plow » de Tarmak : du très bon post-rock belge. »

En vrac’ déconfiné, épisode 1 :)

Puisque j’écris ce billet le premier samedi qui suit le début du déconfinement, allons-y gaiement !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Le 16 mai 2010, un certain Ronald James Padavona nous quittait des suites d’un cancer. Ah, d’accord, si je vous dit Ronnie James Dio, c’est mieux ? Un des titres tirés du dernier album enregistré avec les autres membres de Black Sabbath sous le nom de Heaven and Hell.

C’est tout pour aujourd’hui et c’est déjà pas si mal 🙂

Bon week-end 🙂

Culture et confinement…

En ce moment, j’ai l’impression de vivre dans « Un jour sans fin », vous savez le grand classique avec Bill Murray et Andy McDowell sorti en 1993.

J’en suis arrivé à une saturation telle que je ne vois plus les semaines passer. Est-on lundi, mercredi ou vendredi, voire dimanche, je l’ignore. J’en profite donc pour essayer de me cultiver un peu entre deux vidéos que je poste sur les instances peertube sur lesquels j’ai un compte.

Il faut dire que parler du forcing de Microsoft pour imposer son navigateur Edge, c’est marrant et ça occupe !

Mais c’est aussi l’occasion pour découvrir certains films d’animation que je ne connaissais pas avant. Je dois avouer que j’avais laissé tomber les films Disney, même si les deux épisodes des aventures de Ralph m’ont fait rire aux éclats, spécialement le deuxième avec une trillion de références au grand nain ternet. Mais moins qu’une vieillerie que je n’avais pas vu : « Raiponce ».

Oui, je sais, ça date de 2010, mais étant célibataire sans enfant, je n’avais plus trop d’intérêt à visionner ce genre de film. Ce qui m’a fait échappé à la « Reine des Neiges ». Sur un conseil avisé, je me suis plongé dans la revisite du conte Rapuntzel des frères Grimm. Je dois dire que j’ai ri aux éclats durant une bonne moitié du film.

Que ce soit Pascal le caméléon ou encore Maximus le cheval qui se comporte comme un chien de chasse – on peut se dire que les scénaristes ont abusé de l’herbe qui fait rire – sans oublier les brigands de l’auberge du canard boiteux, y a de quoi se fendre la poire et plus d’une fois.

Mais il y a aussi des grosses déceptions comme le dernier épisode de l’énnéalogie Star Wars qui me fait dire : les épisodes 7 à 9 N’ONT JAMAIS EXISTÉ !

Désolé, quand on est énervé, ça soulage 🙂

Sinon, j’ai pu découvrir un excellent drama sud-coréen en 16 épisodes, « Goblin: The Lonely and Great God » dont vous trouverez un résumé sans aucune révélation à l’intérieur. Et c’est tant mieux, car les 16 épisodes qui durent entre 60 et 90 minutes sont excellents avec des rebondissements à chaque épisode.

Sur le plan musical, cela a été aussi l’occasion de découvrir que certains groupes de metal savent se la jouer débranché. C’est le cas de Persona qui a proposé en téléchargement à prix libre un concert acoustique. Entendre certains morceaux du groupe sans les guitares saturées, la batterie qui bastonne, c’est étonnamment bon !

Mis à part que je n’ai pas réussi à profiter du confinement pour me mettre à écrire à nouveau sur le plan littéraire, au moins, cela m’aura permis de découvrir quelques pépites et de vous les faire partager.

En vrac’ depuis un premier mai confiné.

Puisqu’on est déjà le premier mai, et qu’on est confiné, autant se changer les idées.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

C’est tout pour aujourd’hui et c’est déjà pas si mal 🙂

Bon week-end 🙂

En vrac’ d’un dimanche de Pâques confiné.

Troisième billet en vrac’ depuis le début du confinement lié au covid-19… Et ce ne sera sûrement pas le dernier.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir, une vidéo positive sur le monde du logiciel libre, comme quoi, il m’arrive d’en faire parfois !

Bon week-end prolongé 🙂

En vrac’ en direct du confinement, épisode 2

Un petit en vrac’ pour un confinement qui est bien parti pour durer au moins 6 semaines, le deuxième à mi-chemin de la fin… Avec un peu de chance !

Côté informatique et internet ?

Côté culture ?

C’est tout pour aujourd’hui. Bon courage !

« Parangon Circus » d’Altesia : attention, c’est du lourd :)

Il y a parfois des découvertes que l’on fait par pur hasard. Le premier album d’Altesia en fait partie. Pour l’apprécier, il y a plusieurs pré-requis : si on aime Opeth, toute la carrière (y compris le transitionnel et très moyen « Heritage »), la carrière solo de Steven Wilson et les morceaux qui explosent les compteurs en terme de durée, c’est bon.

Altesia est un groupe de Bordeaux qui se définit comme étant du metal progressif. Progressif c’est certain. Sur un album qui arrive à environ 57 minutes avec 3 pistes qui dépassent allègrement les 10 minutes, c’est difficile de dire le contraire. Metal ? Si on considère que le métal, c’est du chant guttural et point barre, partiellement.

Les inspirations « Wilsonniennes » se font entendre dès la piste d’introduction avec « Pandora ». Une guitare acoustique suivi de chants clairs franchement calmes. Le calme avant la tempête… Car un premier morceau plat de résistance vous attends au tournant.

Dès que « Reminiscence » commence on sent qu’on va s’en prendre plein la… Une ambiance à la « Porcelain Heart » d’Opeth mélangée avec des rythmes du rock progressif des années 1970 arrive… Une introduction d’environ 4 minutes, c’est du grand art.

La voix du chanteur qui arrive comme une fleur, ça fait bizarre ! Il y a bien entendu des bonnes grosses guitares saturées, mais aussi du saxophone qui donne un côté jazzy à la piste. Miam !

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