En vrac’ rapide et libre de fin de semaine.

Un petit en vrac’ pour finir la semaine.

Voila, c’est tout ! Bon week-end 🙂

9 réflexions sur « En vrac’ rapide et libre de fin de semaine. »

      1. J’ai lu le lien «contre l’idée», et une moitié de ces arguments ne tiens pas — les utilisateurs qui n’y connaissent rien et ne veulent pas bidouiller on leur colle la LTS, et pi c’est tout.

        Ensuite pour les mises à jour, il est clair que si ça se fait, ça sera comme Arch Linux, un dépôt [testing], dans lequel les logiciels pourront rester plus ou moins longtemps… Ça marche vachement bien sur Arch Linux, sauf qu’avec Ubuntu ils peuvent se permettre de garder plus longtemps les logiciels en test avec plus de développeurs.

        Ensuite viennent les PPA qui non-seulement n’existent pas pour tous les logiciels, loin de là, qui ne sont pas forcément mis à jour et/ou synchronisés avec les mises à jour des dépôts officiels…

        En fait les deux arguments qui tiennent la route sont la qualité générale d’Ubuntu (la prise en charge de matériel galère, les bugs), et Ubuntu en mis à jour permanente ne changera pas grand chose à cet état de fait je pense; et la convergence entre Ubuntu et Ubuntu Phone, mais là, ça ne change rien de toute façon.

        En fait, il suffirait de penser à la mise à jour semi-permanente comme Chakra Linux. Et depuis que je connait le principe d’Arch Linux je me demande quand est-ce qu’une distribution destinée au grand public va suivre cette voie, c’est parfaitement possible de faire une base stable et des logiciels à jour, alors pourquoi pas?

        1. Je t’avoue que quand l’argument liant le rejet de la rolling à cause du passage à une technologie comme systemd a été avancé, je ne suis pas allé plus loin.

          Les PPAs ? Source d’emmerdements sans fin… Une des raisons qui m’ont fait fuir de la Ubuntu Linux.

          Sinon, pour revenir à ton dernier point : Manjaro Linux par exemple ?

          1. Systemd? On se demande déjà pourquoi ils n’y sont pas déjà passé, et puis c’est vrai que changer de système d’initialisation en rolling release c’est un peu chiant (si tu suis les instructions sur le wiki d’Arch Linux par exemple, il faut faire 2 redémarrage). Mais bon rien d’impossible, c’est juste que c’est quand même quelque chose d’assez compliqué, mais qui n’arrive qu’extrêmement rarement (d’où ta remarque?)

            Pour les PPA, on est d’accord. Mais bon c’est vrai que c’est pratique. En fait c’est le même problème que les dérivées d’Ubuntu, il y en a trop, et beaucoup sont redondant, de mauvaise qualité ou abandonnés. Sinon c’est quand même un point fort de la distribution!

            Sinon j’ai pas testé la Manjaro, et puis je crois que Chakra est la première distribution un peu connue à avoir exploiter le concept, c’est même peut-être elle qui l’a popularisé (si je puis dire…)

            P.-S.: Selon Wikipédia, «Les sigles sont invariables en français et ne prennent pas la marque du pluriel 2 (contrairement à l’usage anglo-saxon), par exemple : des BD, des CD, des HLM.»
            Donc PPA ne prend pas de S au pluriel! Et cela vaut aussi pour les acronymes s’ils sont orthographiés en majuscules.

  1. Un peu en retard sur le débat mais la derniere mis à jour de arch est un peu galère.Les AUR sont un peu comme des PPA mais en plus ils doivent être recompliés !
    Mais bon arch c’est du rolling live, avec les avantages et inconvénients.
    Par contre systemd même si c’est assez puissant n’était pas à mon avis indispensable. Ca complique pas mal les choses au final.

    1. Un peu galère ? Surtout si tu as des paquets AUR qui dépendent de qt. Sinon, ça roule parfaitement.

      Comparer AUR et les PPAs, bof. Car les ppas sont sur des dépots précis. Et il est rare de planter une arch en utilisant AUR, sauf si tu veux un noyau spécifiquement trouvé sur AUR 😉

      Systemd complique les choses ? Je trouve que c’est l’inverse. Si tu as un fichier service bien rédigé :

      Activation :


      sudo systemctl enable nom-du-service.service

      Démarrage immédiat :


      sudo systemctl start nom-du-service.service

      Arrêt :


      sudo systemctl stop nom-du-service.service

      Désactivation


      sudo systemctl disable nom-du-service.service

      J’avoue que coté complexité, j’ai connu pire 😉

  2. Ce qui est compliqué c’est création des services, la liste énorme de ceux existants, recherche d’un service (ls /etc/init.d était quand meme pratique) et surtout la disparition des ordres de démarrage.
    Et puis un rc.conf ca restait vraiment plus simple.

Les commentaires sont fermés.