GNU/Linux n’arrivant pas à s’imposer sur le bureau, est-ce un mal ?

Cette semaine, l’actualité GNU/linuxienne a été assez chargée. Entre l’abandon d’un greffon flash après la sortie d’Adobe Flash 11.2 (officiellement supportée durant 5 ans), l’annonce comme quoi CUPS abandonnerait certaines fonctions typiquement attachée à GNU/Linux, même si elles seront compensées par l’utilisation de technologie comme Avahi, on ne peut pas dire qu’elle soit joyeuse. Ah, si, ComiceOS, le clone plus ou moins bien réussi de MacOS-X basé sur une ubuntu est retourné à ses chères études et retourne à son vrai niveau technique, une béta mal dégrossie.

J’ai déjà abordé plusieurs fois ce sujet, dont ce billet d’octobre dernier. Cependant, Une raison que je n’avais pas abordé, c’est simplement que pour s’imposer un minimum sur le marché de l’environnement de bureau, il faut une unification intégrale, ce qui reviendrait à imposer au minimum :

  • Une seule interface graphique utilisateur
  • Un seul ensemble de logiciels bureautiques et d’outils en rapport avec l’internet
  • Un seul format de paquets, et d’outil pour ajouter des logiciels tiers

Bref, une seule distribution pour tout le monde. C’est le pari risqué de Canonical, risqué car c’est rajouté dessus la volonté de faire une interface graphique utilisateur qui malgré ses qualités et ses défauts n’arrive au final qu’à faire une chose : entraîner dans une partie de la communauté du logiciel libre et des distributions GNU/Linux un rejet limite viscéral.

Car, et je le répèterais jusqu’à ce que le message soit bien passé, le logiciel libre, c’est le monde du choix. Choisir son noyau (LTS ou « normal »), son format de paquets (rpm, deb, ou un format à la slackware / ArchLinux / Frugalware Linux, etc…), l’interface graphique que l’on préfère (Gnome, Kde, Xfce, RatPoison, WindowMaker, OpenBox, Lxde, Unity, etc…), son navigateur internet, sa trousse bureautique, etc…

On ne peut que saluer l’effort, que je considère comme vain et énergivore, de Canonical et de sa volonté d’imposer un environnement type unifié et unique.

Si un jour cela doit arriver, ce ne sera pas par la pression d’un acteur aussi puissant soit-il, mais par la volonté de la communauté de montrer ce qu’elle sait faire.

Car le monde GNU/Linux est avant tout communautaire, au sens noble du terme. Je vais donc finir ce court billet en citant un article que j’ai rédigé début janvier 2012 :

Mis à part Ubuntu, Fedora Linux (indirectement) et OpenSuSE, le reste est occupé par des distributions communautaires ou de type communautaire. D’ailleurs, cette année, la distribution communautaire ArchLinux fête ses 10 ans, Debian GNU/Linux ses… 19 ans ! CentOS ? 8 ans cette année.
[…]
Une distribution communautaire dépend des dons de ses utilisateurs, que ce soit en terme purement technique ou financier. Demander des fonds pour se financer, est-ce si grave ? Poser la question, n’est-ce pas y répondre ?

D’ailleurs, selon moi, une distribution communautaire aura, la plupart du temps, les reins plus solides qu’une distribution adossée à une entreprise. Pour une simple et bonne raison : pas d’actionnaires à qui verser des dividendes. Ce qui aide à la survie d’une distribution, même si des appels à donner arrive de temps à autres.

Bon samedi 😀

18 réflexions sur « GNU/Linux n’arrivant pas à s’imposer sur le bureau, est-ce un mal ? »

  1. Personnellement, je trouve que le fait que Gnu linux ne s’impose pas sur le bureau est une bonne chose, car qui dit moins d’utilisateur dit moins d’intérêt pour les hackeurs et ceux qui font les virus. (Encore que ce phénomène est surtout dû à la sécurité accrue de linux par rapport à windows ou mac).

    Bref, à mon avis, c’est tant mieux.

    1. Je crois qu’il faut rester lucide : on joue pas dans la meme cour.
      GNU/Linux est un OS serveur qui a maintenant reussi sa transition vers le client, la ou windows est un OS client qui veut se la jouer serveur, mais ne convainc pas…

      Soyez certains que GNU/Linux est autant attaque que les autres OS, et surement bien plus encore vu son role de serveur, simplement la difference c’est que dans le monde du Libre, quand une faille est decouverte, elle est comblee le plus rapidement possible. Quand un editeur vous vend, de gre ou de force, son petit logiciel, son interet est de vous en vendre un autre par apres, pas de maintenir celui que vous avez deja…

  2. J’ai abandonné Linux sur le poste de travail depuis le 1er janvier 2010.Pas de possibilité de filtrage, au niveau de Nefilter, sur le pid depuis le noyau 2.6.14 pour uen raison que je cherche toujours à comprendre. J’ai, un temps, utilisé Fireflier ! Le produit n’est plus maintenu.

    NB Je suis preneur d’une solution équivalente, si vous avez en stock.

  3. Oui, ne pas s’imposer sur le bureau a quelques avantages. Et avoir la liberté de son environnement au sens large, également. Mais de là à prêcher l’anarchie, il y a un …fossé. Diversité des outils, des bureaux, des formats, des navigateurs, etc…ne veut pas dire meilleure qualité, et il vaudrait mieux parfois avoir un peu moins de solutions possibles, mais de meilleure qualité.

    Rien n’empêche, les communautés de s’unir, à part les égos, pour un développement commun. Il faudrait réaliser l’équivalent de ce qui est fait en interne des M$, Google, Apple, à savoir fédérer davantage en élargissant l’assiette des développements, car certains domaines demeurent peu couverts, tout en réduisant le nombre d’outils (inutile d’avoir 20 lecteurs multimédia, 10 navigateurs internet et toujours pas d’alternative libre à flash).

    Hélas, on ne peut pas dire que la communauté du libre prenne la voie d’une quelconque unification: si je n’ai pas réussi à savoir vers quoi s’orienteront les travaux de Gnome dans 6 mois à 1 an, alors on est très loin de pouvoir envisager fédérer des développements et l’unification s’arrêtera au noyau Linux, aux environnements de développements et à quelques outils populaires. L’approche actuelle des développements communautaires autour de plusieurs bureaux assez différents qui évoluent indépendamment, même si elle présente d’énormes qualités devrait être repensée. La distribution Hybride, si elle constitue un bel effort de présentation, ne présente pas beaucoup d’intérêt pour le « enduser », elle démontre surtout une belle déperdition d’énergie dans la communauté.

    1. Mais de là à prêcher l’anarchie, il y a un …fossé. Diversité des outils, des bureaux, des formats, des navigateurs, etc…ne veut pas dire meilleure qualité, et il vaudrait mieux parfois avoir un peu moins de solutions possibles, mais de meilleure qualité.

      Anarchie ou choix ? Et coté qualité, les logiciels libres n’ont souvent rien à envier aux logiciels privateurs.

      tout en réduisant le nombre d’outils (inutile d’avoir 20 lecteurs multimédia, 10 navigateurs internet et toujours pas d’alternative libre à flash).

      C’est vrai, tuons le choix, et concernant Flash, si on utilise certains gros sites, gnash est largement suffisant 😉

      L’approche actuelle des développements communautaires autour de plusieurs bureaux assez différents qui évoluent indépendamment, même si elle présente d’énormes qualités devrait être repensée. La distribution Hybride, si elle constitue un bel effort de présentation, ne présente pas beaucoup d’intérêt pour le « enduser », elle démontre surtout une belle déperdition d’énergie dans la communauté.

      Il est vrai qu’avoir le choix est une erreur, vite imposons un lecteur multimédia, un navigateur, etc…

      Et reproduisons les pires travers des logiciels privateurs, ce sera mieux 😀

      Ma dernière phrase est bien entendue ironique.

      1. Anéfé, encore une fois totalement d’accord avec toi Fred sur ce commentaire.

        Virer l’énorme choix qu’on a tant au niveau applications qu’environnement, c’est supprimer une part de notre liberté.

        Et je peux dire que je me barre tout de suite si on nous impose des choses sur GNU/Linux ! Surtout qu’à ce rythme là on pourrait bien nous imposer Ubuntu (les médias le font déjà)… alors là mes aïeux…

        Alors oui parfois c’est le bordel, oui parfois on a quelques merdes qui flottent à la surface, mais au moins on a le choix d’aller trouver du mieux ailleurs ! Imagine qu’on veuille nous imposer des choses de qualité et qu’on se retrouve au final avec des trucs totalement moisis.

        Désolé mais je dis non, Marcdutonkin tu es carrément liberticide. Si tu veux du semblant de qualité et une prison dorée, tu as déjà MacOS X.

        1. @Fred : En brandissant les libertés à tout va, je crois que tu es à coté de la plaque comme on dit. Il ne s’agit pas de tuer le choix. Si je veux développer un outil, et le promouvoir, pourquoi pas ? Mais je préfère participer à un développement communautaire visant à produire des outils utiles. Sur ce dernier point, je te renvoie au post de C Borne de vendredi, qui se demande pourquoi travailler encore sur des navigateurs qui ne fonctionnent pas, etc…

          Par ailleurs, explique-moi pourquoi ce qui a été fait au niveau du kernel, au niveau du bureau, ne pourrait être réalisé au niveau de la distribution complète ? C’est quoi pour toi un développement organisé (et non anarchique) ?

          @Darthwound : En quoi suis-je liberticide ? Dois-je comprendre que tu penses que pour disposer de logiciels de qualité, il faut nécessairement être dans une prison dorée ? Personnellement j’ai fait le choix de linux depuis de nombreuses années : Slackware en 1996, puis OpenSuse en 2004, puis Ubuntu en 2007, puis …. ce qui ne m’empêche pas de voir ce qui se fait ailleurs, voire de l’utiliser à l’occasion (Win7, MacOS X, Ios, Android). Les logiciels mis à disposition dans les distributions linux ont atteint un niveau de qualité suffisant pour être utiles même s’ils n’atteignent pas en général la qualité des logiciels privatifs. Il n’empêche que rien n’est éternel et qu’à une organisation de plus en plus lourde des développements privatifs, il me semble qu’il faut répondre par une organisation modernisée des développements communautaires.

          1. Je laisserais Darthwound répondre pour sa partie, je répondrais sur celle qui me concerne.

            En brandissant les libertés à tout va, je crois que tu es à coté de la plaque comme on dit. Il ne s’agit pas de tuer le choix. Si je veux développer un outil, et le promouvoir, pourquoi pas ? Mais je préfère participer à un développement communautaire visant à produire des outils utiles. Sur ce dernier point, je te renvoie au post de C Borne de vendredi, qui se demande pourquoi travailler encore sur des navigateurs qui ne fonctionnent pas, etc…

            On me dit que je suis toujours à coté de la plaque, donc, cela ne change pas grand chose 😀

            Quant à travailler sur des navigateurs qui ne fonctionne pas, laissons tomber Iron qui est inutile en comparaison de Chromium.

            D’ailleurs, si un site ne peut plus fonctionner sans Flash après l’abandon complet du support technique de Flash pour les 1% de linuxien (donc dans 5 ans), c’est qu’il faudra se poser des questions sur la pérénnité du site en question.

            Quant à l’unification du bureau, je crois qu’il faudra que je te demande ce que tu avais consommé avant de sortir une telle incongruité. Actuellement, entre les forks plus ou moins bien assumé, et les volontés de maintenir artificiellement en vie un code mort, les environnements de bureaux pullulent : KDE, Gnome, Unity, Xfce, Lxde, Trinity, Mate, Cinnamon, Razor-Qt, E17, sans oublier la palanquée de gestionnaire de fenêtres : Openbox, Fluxbox, WindowMaker, AfterStep, Ratpoison, wmfs, etc…

            Pour le développement non anarchique, cf « La cathédrale et le bazaar » d’Eric S. Raymond.

            Bon dimanche.

  4. @Fred : Je répond à ta question sur les environnements de bureau.

    Tout d’abord, je te promet que je n’ai rien consommé avant d’écrire. Mais j’ai quand même un peu de bouteille(sans jeu de mots) et j’ai effectivement essayé dans cet ordre CDE, KDE 3, KDE 4, Gnome 2.x, XFCE, Gnome 3, Unity, E17, Cinnamon, et utilisé les librairies Motif, OpenMotif, GTK+ 2, GTK+ 3, Qt3, Qt4, etc…mais aussi les différents gestionnaires de fenêtrage alternatifs Openbox, Fluxbox, WindowMaker, etc…

    Tu remarques que j’ai mentionné CDE pour « Common Desktop Environment » qui date de 1993. Depuis, du chemin a été parcouru pour arriver à la distribution Hybride (http://www.hybryde.org/fr/) qui constitue un bel exercice de style mais qui n’a pas empêché Windows et ses successeurs MacOS X de tourner sur 99% du parc desktop utilisé.

    L’article « La cathédrale et le bazaar » d’Eric S. Raymond est plaisant à lire, mais il date un peu(1998). Il montre simplement qu’en étant un certain nombre, on peut arriver à obtenir des résultats. Toutefois, ça peut être largement amélioré avec un peu d’organisation. Je te citerais un modèle très connu, le CMM (http://www.journaldunet.com/solutions/0306/030624_faq_cmm.shtml) dont un dérivé le CMMI s’applique au développement de systèmes et non plus seulement à du logiciel. Tu remarqueras qu’il n’est nullement question d’organisation pyramidale, en rateau ou autre(bazar), mais seulement de bonnes pratiques qu’on s’efforce de reproduire pour obtenir une meilleure efficacité(soit au minimum le niveau 2 du modèle). Mais bien entendu, cela ne vaut que si au préalable un objectif à atteindre a été fixé.

  5. Tout d’abord, je te promet que je n’ai rien consommé avant d’écrire. Mais j’ai quand même un peu de bouteille(sans jeu de mots) et j’ai effectivement essayé dans cet ordre CDE, KDE 3, KDE 4, Gnome 2.x, XFCE, Gnome 3, Unity, E17, Cinnamon, et utilisé les librairies Motif, OpenMotif, GTK+ 2, GTK+ 3, Qt3, Qt4, etc…mais aussi les différents gestionnaires de fenêtrage alternatifs Openbox, Fluxbox, WindowMaker, etc…

    En sortant CDE et Unity, j’ai à peu de chose près le même parcours. Mon premier environnement sous X, c’était fvwm95, ce qui ne rajeunit personne 😀

    En ce qui concerne la part de marché du duo MS-Apple, deux choses :

    1. Vente liée
    2. Stéréotype qui ont du mal à foutre le camp

    Oui, ce sont des bonnes pratiques rassemblées, mais pour citer l’article en question, je suis d’accord avec qu’avance les détracteurs de ce modèle, à savoir :

    Le CMM présuppose en effet que des processus stables et éprouvés sont les principaux garants d’un fonctionnement optimal, tenant peu compte des aspects organisationnels et humains.

    Ce qui est un peu « stérilisant » au final, même si l’intention est bonne, tout comme la route de l’Enfer est pavé de bonnes intentions.

  6. Salut,

    Pour ma part, j’ai chercher longtemps une distribution que je pouvais installer sur les pc d’occasions que je vends.
    Selon moi, la distro devait ressembler à Windows, étant donné qu’il s’agit de faire passer un utilisateurs MS vers un utilisateur Linux.
    Elle devait également être stable au risque de rebuter l’utilisateur et simple d’utilisation (KISS)
    l’installation de logiciel devait être aisée et rapidement utilisable
    Dernier point, elle ne devait pas être lente (surchargée de grosse applications).

    Je me suis donc orienté vers XFCE et en second lieu Gnome (pas unity mais pourquoi pas MATE)
    Il semble que Mint remplisse mes attentes.

    Je pense donc que si Linux veut s’imposer sur les desktop, mon approche me semble judicieuse. Ceci ne veut pas dire qu’il puisse pas exister d’autres distros qui remplirait les objectifs d’autres utilisateurs adorants mettre les mains dans le cambouis (Crunbang par exemple… que j’adore)

    1. Je n’ai rien à rajouter, car je suis entièrement d’accord. Je ne prétends pas que ma distribution est faite pour les débutants, mais une archlinux ou encore une frugalware linux est idéale pour les personnes qui ont envie de pousser un peu plus la connaissance de leur système.

      Cependant, une Mint en publication continue serait l’idéal pour faire évoluer le logiciel sans l’angoisse semestrielle de savoir si la mise à jour va exploser en vol ou pas.

  7. Bien sûr que si, Linux qui n’arrive pas à trouver sa place dans le grand public, c’est un mal. Rappelle toi des années 2005 et avant, quand tout le monde était pro-XP et que personne ne connaissait Linux. Il n’y avait pas de pilotes, pas de codec, rien. C’est un peu la situation qu’on retrouve sur FreeBSD et compagnie.

    Personnellement je suis plus à l’aise sur mon ubuntu qui a le pilote amd libre, le wifi qui fonctionne, et aucun problème de compatibilité matériel. Et je pense que cela est du à un intérêt des constructeurs suite à l’accroissement de la popularité de « Linux ».

  8. Globalement, je pense que vous vendez la peau de l’ours un peu rapidement.

    Les gens se foutent de l’environnement : vous leur coller une LTS correctement configuree et les memes outils libres qu’ils avaient sous windows : apres quelques minutes pour leur expliquer ou sont les partages réseaux et les applications, ils s’en sortent tres bien tout seuls, y compris les debutants – le tout est que ca fonctionne et que ca n’interfere pas dans leur productivite.

    Le gros probleme de l’adoption de GNU/Linux en etreprise est plutot a rechercher du cote applications metiers, et la, les choses risquent d’evoluer assez vite. Avec l’HTML5, plus rien n’empeche de construire les applications metiers les plus complexes. Fini les environnements de developpement a la con qui vous lient a une plate forme et a un langage : l’interface web risque fort de devenir l’outil de travail universel.

    Bien entendu, ce changement ne se fera pas en un jour, mais il a deja commence, et je pense que les editeurs feraient bien de s’y coller tres rapidement.

    Quand a attendre une revolution des assistes windows, nourris au grain de la vente liee depuis plus de 20 ans, vous m’excuserez : les miracles, c’est pas mon rayon… 😉

  9. @ hansi
    cela dépends à qui tu t’adresses – l’utilisateur peut retrouver ses jeunes s’il a l’habitude d’utiliser un ordinateur… sinon bonne chance.
    Déjà sous Windows , il faut en guider certain (et il sont nombreux) pas à pas.

    Pour le second point je suis tout à fait d’accord – un système stable et « non à jour  » est préférable au dernier cris qui plante sans arrêt

    1. Euh, j’ai un système assez à jour, avec le noyau linux 3.2.7, Gnome 3.2.1, le dernier firefox stable (si j’en ai envie, mais je suis en version nocturne depuis des années), LibreOffice 3.5.0, donc qui plante sans arrêt, euh… C’est quoi cette légende urbaine ? 😀

      Sinon, pour le début de ta réflexion, je suis 1000% d’accord avec toi.

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