Shedneryan : l’attente en valait – largement – la peine.

Je viens de télécharger le dernier album en date de Roger Subirana…  J’en avais déjà parlé il y a quelques jours, et c’est une très bonne surprise.

Du pur bonheur. Une heure, environ, de musique en 38 pistes, les plus longues dépassant à peine les quatre minutes et les plus courtes, une cinquantaine de seconde.

On se sent transporté dès la première seconde dans un monde magique, fantastique, tel un chevalier du Moyen Age qui découvre les beautés du Proche Orient.

A un autre moment, on se sent tel Aladdin, sur un tapis volant. Un monde féérique, ou l’ensemble des instruments mélangés avec harmonie vous fait rêver.

On sent qu’un énorme travail a été effectué pour avoir une transition entre les morceaux uniquement instrumentaux et ceux comportant des voix et / ou des choeurs.

D’ailleurs, on sent parfois un clin d’oeil à des albums plus anciens, comme « Lost Words » ou encore « Point of no Return », mais sans s’attarder dessus plus que nécessaire.

Un superbe voyage qui dure une heure, heure que l’on ne voit pas passer, tellement le voyage est agréable.

J’ai précommandé, jeudi dernier, une version physique de l’album. Il suffit d’écrire à l’adresse indiquée pour en savoir plus. Ben oui, j’aime le contact avec les albums en version CD… Surement car je suis un vieux de la vieille… Et que le digipack en question, il a quand même de l’allure ! 🙂

Si vous voulez voir les autres oeuvres de la personne ayant réalisé la pochette de l’album, Eva Ludwig, n’hésitez pas !

Bonne écoute !