HandyLinux 2.0, la distribution pour grands débutants basée sur la Debian GNU/Linux Jessie.

En ce 16 mai 2015, la HandyLinux 2.0 pointe le bout de son nez. Basée sur la Debian GNU/linux Jessie, j’avais déjà abordé rapidement la HandyLinux 2.0 à l’époque de sa version béta, en février 2015.

Avec l’annonce de la sortie de la version 2.0 de la HandyLinux, j’en ai profité pour récupérer l’ISO via bittorrent.

Ensuite, j’ai créé ma machine virtuelle habituelle, pour une fois en 32 bits en activant le support du PAE, sous VirtualBox pour installer cette distribution basée sur la Debian GNU/Linux Jessie.

L’installation est automatisée et est très simple d’accès. Les seules interventions ? Au moment de définir le nom de l’installation, la création du compte utilisateur, le choix du partitionnement ou encore au niveau de la mise en place de grub.

Les captures d’écran ci-après montrent les premières étapes d’installation de la HandyLinux 2.0. J’ai oublié de capturer les autres étapes. Mea culpa, maxima culpa ! Vous pouvez toujours vous reportez sur les captures d’écran de la version alpha1 de la Handy Linux 2.0. Même si cette dernière était en installation complètement manuelle !

Au premier démarrage, après s’être connecté, un assistant propose d’enlever le noyau en trop. Puis un autre arrive pour nous demander si nous voulons rechercher et installer des mises à jour rendues disponibles depuis la sortie de la distribution. Autant dire que la liste de mises à jour est vide au moment où je rédige cet article.

J’en ai ensuite profité pour capturer la HandyLinux 2.0 en action. Même si j’ai un peu sous-estimé la gourmandise de l’ensemble en fin de vidéo. 256 Mo risque d’être un peu trop court. Les aléas de la vidéo enregistré en direct live 🙂

Ce qu’on peut dire, c’est que la distribution profite vraiment de sa base Debian GNU/Linux. Le HandyMenu est toujours aussi pratique et plus facilement modelable que je ne le pensais au départ, le thème d’icones est sympathique. La frugalité de l’ensemble est idéale pour des machines équipée au minimum de 512 Mo. En dessous, j’avoue que j’ai quelques doutes.

Pour lutter contre le gaspillage en informatique, et dans le but de recycler quelques vieilles machines, la HandyLinux est une option que j’envisagerais pour deux raisons : la première, sa base. La deuxième l’interface du HandyMenu qui rend pas mal de services.

24 réflexions sur « HandyLinux 2.0, la distribution pour grands débutants basée sur la Debian GNU/Linux Jessie. »

  1. Une bonne distribution qui ne déborde d’applications inutiles ou de doublons. Il y a certainement un moyen facile de retrouver le menu d’Xfce ?
    A pluche et bon week-end.

    1. L’intérêt justement de la HandyLinux est de proposer une expérience différente, notamment au travers de son menu. Sinon, pour avoir du XFCE, on installe une Debian brute et roulez jeunesse.

      Vais peut-être y jeter un gros œil à celle-là, j’ai une machine à retaper pour des jeunes (6 ans et moins), ça sera parfait.

      1. Méfie-toi : demande-toi (demande-leur) ce qu’ils veulent faire avec l’informatique.
        Le mien a 7 ans et demi : jeux Facebook + éventuellement un poil de recherche Internet rapide (donc Google).
        Donc le menu Handy était plus un handicap ou un truc inutile.
        De plus, si tu es comme moi et que tu ne maîtrise pas correctement Debian, tu risques de galérer pour simplifier la distribution (lancement automatique de session, gestion des icônes, etc.).
        Je suis aller vers Xubuntu, sans regret : il sait cliquer sur l’icône de FF puis sur les raccourcis des jeux dans les favoris en « Barre personnelle ».

        De nos jours, la tronche de l’OS n’est plus un souci, faut simplifier, hors HL rajoute une couche de « guidage » que je trouve appropriée pour les personnes âgées, en général plus réticente à un changement ou à une (auto-)formation que les jeunes chez qui il suffit de montrer où cliquer. L’auto-formation ira de paire.

        Bref… avis perso.

    2. Hello, pour retrouver le menu xfce il suffit de faire un clic droit sur le tableau de bord d’XFCE, d’aller dans les préférences d’ajouter un greffon et de choisir le menu xfce ou le menu whisker. C ‘est un xfce classique.
      bonne journée.

    1. @ Peha, j’ai testé, merci.
      @ bruno-legrand, merci aussi, c’est simple.
      @ Seboss666, je suis utilisateur de l’originale 😀
      A pluche.

  2. c’est le thème d’icons que j’utilise : ultra-flat (ou du moins très proche) . il est bien n’est-ce pas ?
    pour debian 8 la capacité minimale est de 512mo

  3. Je n’ai pas encore regardé la vidéo, mais au vu des captures d’écran, deux remarques.

    Les gens ne savent pas ce qu’est un noyau, et ça ne les intéresse pas. Si le système installe une version, et qu’il sait après coup que ce n’était pas la bonne, alors autant faire en sorte que le bon choix soit effectué dès le départ, histoire de ne pas emmerder l’utilisateur inutilement.

    On ne demande pas à l’utilisateur s’il faut vérifier la disponibilité d’éventuelles mises à jour. On utilise PackageKit pour faire la vérification en arrière plan sans rien demander, et on se manifeste auprès de l’utilisateur seulement si des mises à jour sont effectivement disponibles.

    Quand on vise les utilisateurs débutants, il faut savoir se mettre à leur place.

    1. D’accord. Je cite le texte en relation avec la capture d’écrans concernant la mise à jour :

      Puis un autre arrive pour nous demander si nous voulons rechercher et installer des mises à jour rendues disponibles depuis la sortie de la distribution.

      En gros, c’est ce que fait la remarque de ton troisième paragraphe. Pour le retrait du noyau, c’est la distribution qui décide toute seule quel noyau est inutile. Mis à part manger un peu de place, il n’y a pas grand danger à laisser un noyau installé s’il n’est pas utilisé.

      Quand on vise les utilisateurs débutants, il faut savoir se mettre à leur place.

      Donc les débutants sont des personnes avec des QI d’huitres. Il m’arrive de dépanner des personnes qui sont débutantes et qui me disent qu’elles sont nulles. Je réponds toujours la même chose : « Pas nul, mais un manque de formation. »

      Sacrée différence, non ?

      1. Elles ne sont pas nulles, et même si elles manquent effectivement de formation, il faut savoir fixer une limite sur ce qui peut être intéressant de leur apprendre, histoires qu’elles puissent devenir autonomes et ainsi pouvoir faire les bons choix par elles-même, des connaissances qu’on sait pertinemment que ça n’intéressera quasi personne.

        Si on revient sur cette histoire de noyau, qui survient dès l’installation du système (le moment a également son importance), il faudrait donc leur expliquer ce qu’est un noyau, son rôle, mais également leur apprendre la notion d’architecture matérielle (586 / 686), ainsi que le rôle de l’extension d’adresse physique (PAE).

        Et là, j’ai envie de dire que c’est un poil trop.

        Puis quand je vois tes derniers tests, je comprends mieux pourquoi les gens continuent de trouver Linux trop compliqué, tout en préférant rester sous Windows sans même prendre la peine d’essayer. La personne un peu curieuse qui voudrait se renseigner de façon passive, en jetant un œil à quelques tests par-ci par-là, risque de franchement hésiter avant de se lancer dans l’aventure.

        1. Elles ne sont pas nulles, et même si elles manquent effectivement de formation, il faut savoir fixer une limite sur ce qui peut être intéressant de leur apprendre, histoires qu’elles puissent devenir autonomes et ainsi pouvoir faire les bons choix par elles-même, des connaissances qu’on sait pertinemment que ça n’intéressera quasi personne.

          Je suis d’accord. Cependant dans les connaissances qui n’intéressent personne, il y a souvent des éléments clés qu’il serait intéressant de comprendre.

          Si on revient sur cette histoire de noyau, qui survient dès l’installation du système (le moment a également son importance), il faudrait donc leur expliquer ce qu’est un noyau, son rôle, mais également leur apprendre la notion d’architecture matérielle (586 / 686), ainsi que le rôle de l’extension d’adresse physique (PAE).

          C’est la distribution qui s’en occupe. Et sur le site, il y a des informations qui permettent d’orienter l’utilisateur pour mieux lui faire comprendre l’histoire d’architecture. Comme une série d’années, ce qui est facile pour se repérer.

          Puis quand je vois tes derniers tests, je comprends mieux pourquoi les gens continuent de trouver Linux trop compliqué, tout en préférant rester sous Windows sans même prendre la peine d’essayer.

          Car on fait croire que l’informatique est magique, ce qui est une grossière erreur. Sinon, mes derniers tests étaient sur des distributions ou des saveurs moins « michu-compliant », ne serait-ce que la version Xfce de Fedora 22.

          La personne un peu curieuse qui voudrait se renseigner de façon passive, en jetant un œil à quelques tests par-ci par-là, risque de franchement hésiter avant de se lancer dans l’aventure.

          Ce genre de moutons à 5 pattes, on en croise une fois par an, avec beaucoup de chance.

    2. Je me permets juste un complément d’information à propos de la suppression du noyau inutile. Okki tu dis qu’il faudrait détecter le bon noyau et n’en installer qu’un seul. Oui effecteviment ce serait mieux. Le seul hic est qu’il faudrait modifier l’installateur, le recompiler, le réempaqueter, etc. Tu vois le bousin ? Sinon il y avait le choix de continuer comme avant, c’est à dire expliquer les différences entre les noyaux et proposer deux iso différentes. Mais dans un soucis d’accessibilité il a semblé préférable de proposer ce script. Même si on ne sait pas trop ce que l’on fait, on clique et tout est propre. Et si vraiment on s’intéresse à ce qui a été fait, il y a la communauté, la documentation qui sont là pour ça.

    3. bonjour okki,
      1) pour le noyau plutôt que d’avoir trente versions arpinux (le dev) a tout mis ensemble et en fin d’installation le message est on ne peut plus clair et simple, ne pas confondre débutant et crétin (ce que comme tu fais apparemment) ce que chez HandyLinux.org nous faisons attention à ne pas faire. et les utilisateurs débutants sont heureux chez nous d’être écoutés et pas pris pour des andouilles. 😉
      2) c’est toujours le même truc de na pas prendre les gens pour des tartes. on apprend aux gens qu’il y a des mises à jour plutôt de faire de l’assistanat informatique pour user de notre « pouvoir ». on donne aux gens de la « puissance » pour s’en servir. de plus c’est en fin d’installation car arpinux a une vie et ne va pas faire une rolling release. Package-Kit est présent, c’est juste un script qui le lance pour récupérer les éventuelles MAJ.

      on se met comme je te l’ai écrit à leur place et on ne les prend pas pour des nazes, juste des débutants, qui apprennent, comprennent puis utilisent ; au final le but d’HandyLinux est de les faire passer en Debian pure, pas de pouvoir sur les gens, du don de puissance (et de la redondance). 😉

  4. hi bonjour pour ma part je l’ai installée et c’est vraiment sympa ainsi que le forum de la communauté.
    Pour l’histoire du noyau qui chagrine okki ,franchement je ne connais pas la différence , il te l’indique tu cliques et voila
    Pour les mises à jour , il te propose en cliquant une fois sinon même un débutant peut lire la doc qui est très très bien faites
    Pour passer un debian ‘pur » il te propose une méthode fort simple

    une distribution à tester
    cordialement

    1. Ce n’est pas que ça me chagrine. Je suis sous Arch et je fais énormément de choses en ligne de commande. Ça fait des années que je lis des docs, que je m’intéresse au système, que je bidouille…

      De ton côté, le simple fait que tu viennes poster sur ce blog te range dans la catégorie des gens qui s’y intéressent aussi 😉

      Mais à côté de ça, je connais personnellement plein de gens qui ont peur d’essayer dès que ça touche à l’informatique. Ils n’osent pas entreprendre, faire des erreurs, apprendre de ces dernières. Et quand des popups surgissent, ils vont se mettre à angoisser de faire le mauvais choix, se demander s’ils ne vont pas tout casser, et hésiter longuement. Et s’il y a moyen de remettre ça à plus tard, c’est ce qu’ils choisiront.

      Je n’aurais pas eu ce discours avec des personnes sous Arch, Slack ou Gentoo. Mais quand on parle de distributions qui s’attaquent aux grands débutants, genre HandyLinux ou Emmabuntüs, et qui n’ont parfois pas fait le choix volontaire de se retrouver sous Linux, je pense sincèrement que les outils et les interactions avec l’utilisateur doivent être repensés, histoire de s’adapter correctement à ce public.

      1. Mais à côté de ça, je connais personnellement plein de gens qui ont peur d’essayer dès que ça touche à l’informatique. Ils n’osent pas entreprendre, faire des erreurs, apprendre de ces dernières. Et quand des popups surgissent, ils vont se mettre à angoisser de faire le mauvais choix, se demander s’ils ne vont pas tout casser, et hésiter longuement. Et s’il y a moyen de remettre ça à plus tard, c’est ce qu’ils choisiront.

        On disait à l’époque où j’ai commencé à m’intéresser à l’outil informatique : essayez donc le tricot. Outre le côté désabusé de la remarque, c’était une manière de dire : vous ne voulez pas vous former par peur ? Essayez de faire autre chose.

        Je n’aurais pas eu ce discours avec des personnes sous Arch, Slack ou Gentoo. Mais quand on parle de distributions qui s’attaquent aux grands débutants, genre HandyLinux ou Emmabuntüs, et qui n’ont parfois pas fait le choix volontaire de se retrouver sous Linux, je pense sincèrement que les outils et les interactions avec l’utilisateur doivent être repensés, histoire de s’adapter correctement à ce public.

        Donc autant tout automatiser, ce serait encore le plus simple. Au risque de se retrouver avec des mises à jour foireuses.

        Tant qu’on ne formera pas correctement les personnes et qu’on n’arrivera pas à faire entrer dans les têtes que l’informatique est mécanique et non magique… Pas qu’il soit nécessaire de faire apprendre la programmation système en C. Mais il faudrait donner un minimum de formation.

        Après tout, même les personnes conduisant des voitures sans permis doivent avoir des notions de code de la route, non ?

        1. Ah, mais je suis entièrement d’accord. Mais quand tu demandes à la personne si oui ou non on doit supprimer un noyau inutile, c’est juste une question, qui n’est pas accompagnée de la moindre formation. Il n’y a pas de page explicative. On te demande juste de répondre par oui ou non.

          Puis autant le tricot, on peut s’en passer, autant l’informatique et Internet ont pris une place considérable dans nos vies ces dernières années. Et ce n’est que le début. Alors autant on pouvait faire cette remarque il y a dix ans, autant aujourd’hui, j’ai l’impression que c’est de plus en plus imposé aux gens (démarches administratives, éducation, travail…), qui se sentent donc obligés de s’y mettre.

          Pour les jeunes, l’Éducation Nationale commence enfin à les former à certaines questions (vie privée, prendre la parole publiquement…). Puis comme ils sont jeunes, ils ont naturellement plus de facilités. Mais pour les autres, c’est une autre histoire XD

          1. Ah, mais je suis entièrement d’accord. Mais quand tu demandes à la personne si oui ou non on doit supprimer un noyau inutile, c’est juste une question, qui n’est pas accompagnée de la moindre formation. Il n’y a pas de page explicative. On te demande juste de répondre par oui ou non.

            Un bouton « aide » pourrait aider. Mais c’est vrai que ce serait mieux que l’installateur gicle par lui-même le noyau inutile.

            Puis autant le tricot, on peut s’en passer, autant l’informatique et Internet ont pris une place considérable dans nos vies ces dernières années. Et ce n’est que le début. Alors autant on pouvait faire cette remarque il y a dix ans, autant aujourd’hui, j’ai l’impression que c’est de plus en plus imposé aux gens (démarches administratives, éducation, travail…), qui se sentent donc obligés de s’y mettre.

            Ma remarque était ironique et remonte à la fin des années 1980. De nos jours, ne plus avoir accès à une connexion internet ou ne pas savoir utiliser un clavier et une souris est vraiment handicapant. Le problème vient donc de la formation.

            Pour ta dernière remarque je dirais : on peut aussi plus facilement leur faire entrer dans le crane la propagande des richissimes sociétés de répartitions des droits qui ne donne de l’argent qu’aux plus riches, laissant la grande majorité des artistes crever de faim.

  5. la critique est aisée et nos utilisateurs contents. que des über geeks pensent les gens stupides c’est faire preuve d’arrogance à mon avis. nous faisons l’effort de penser débutant pas stupide.
    et surtout grand merci à toi Fred pour ta diffusion.

    1. T’as raison. Les gens ne sont pas stupides, ils ont plein de temps libre, et sont tous passionnés par l’outil qu’ils ont entre les mains.

      Puis s’ils rencontrent un problème, ils n’auront qu’à lire la page de manuel, parcourir le wiki de leur distribution ou, en dernier recours, lire le code source des applications qu’ils utilisent (on me l’a sortie récemment, celle-là, quand je faisais remarquer à un développeur GNOME que la documentation officielle n’était pas à jour vis-à-vis des raccourcis clavier).

      De mon côté, c’est plutôt cette attitude que je trouve arrogante. Tu ne connais pas tes utilisateurs, tu n’as aucune idée de leurs compétences, de leur niveau d’études, des langues qu’ils maîtrisent, du temps qu’ils sont prêts à y accorder…

      Je serais donc plutôt d’avis de faciliter le plus possible la vie des gens (ne serait-ce que pour leur faire gagner du temps, qui devient de plus en plus un bien précieux), tout en laissant la possibilité aux gens intéressés de pouvoir apprendre par eux-même, et ainsi pouvoir reprendre la main, le contrôle de l’outil.

  6. bonjour 🙂
    l’équilibre entre assistanat et formation est toujours délicat à trouver. pour cette raison, nous avons décidé de rendre handylinux « collégiale » : chacun peut venir sur le forum et proposer une amélioration, exprimer une envie ou un besoin, même sans aucune connaissance informatique.
    notre travail est alors de concrétiser cette amélioration, ce besoin, au travers d’un outil intégré à la distribution.
    de cet état d’esprit découle une façon de travailler particulière : je ne tente pas de me mettre à la place des débutants, je n’en ai pas besoin, il me suffit d’écouter et de lire ce dont les gens ont besoin/envie… ça m’empêche de me prendre pour le patron qui sait tout et décide de tout.
    souvent, il suffit d’écouter pour comprendre 😛

    pour le noyau, la communauté préfère une seule ISO avec un pop-up à 2 ISOs avec une page de doc à lire avant… j’écoute les débutants et les formateurs qui bossent en association sur le terrain, je m’exécute, je fais une seule ISO 😉

    et merci fred pour tes tests et ton soutien depuis le début de l’aventure 😀

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