Myrrh : un petit album relaxant, ça fait du bien.

Je suis un grand amoureux de musique. Mes goûts vont de Dead Can Dance à John Coltrane, de Simon et Garfunkel à Vangelis, sans oublier les groupes anglais de rock des années 1960 ou encore la folk-renaissance de Blackmore’s Night.

Bref, avec plus de 600 CDs dans ma collection, je balaye tous les genres musicaux. Fouillant récemment les meilleures ventes hebdomadaires de Bandcamp, je suis tombé sur ce petit album d’une trentaine de minutes, Myrrh.

En effet, je suis un grand admirateur de la chanteuse Lisa Gerrard que j’ai eu le bonheur de voir sur scène à Nimes fin juin 2013. Je cherchais un album qui me donne les mêmes sensations mais uniquement par l’instrumental.

Et je pense que j’ai trouvé mon bonheur avec cette création d’une compositrice originaire de Kansas City, Krista Hope.

L’album ne fait que 6 pistes, mais ce sont des pistes assez longue, travaillée, un peu à l’image des tendances progressives qui ont baigné la musique du début des années 1970.

« Vision », piste d’introduction, est tout en instrument à vent, qui donne l’image d’un vent qui souffle sur une plaine. « Invitation », la deuxième piste propose à l’auditeur de se poser, d’écouter le chant d’une flûte de Pan (??). Assez rapidement, des cordes l’accompagnent, et accelère le rythme de la piste, sans pour autant brusquer l’auditeur.

« Waiting in surrender » est une piste plus profonde, plus lourde que les précédentes, avec une introduction avec un violoncelle rapidement accompagné d’autres instruments à cordes. Un piano remplace les cordes et offre une piste toute en mélancolie, mais sans tomber dans le larmoyant. C’est une piste émouvante.

Les deux dernières pistes sont les plus courtes. En effet, si les trois premières font entre 8 et 9 minutes, les deux dernières ne dépassent pas les 5 minutes.

« Prelude to hope » est un morceau classique au piano. Mais classique ne veut pas dire ennuyeux. J’avoue que le piano est un instrument que j’aurais bien aimé apprendre à jouer… Si j’avais réussi à déchiffrer les arcanes du solfège 😉

L’ultime piste « Of this calling » est une pièce entre un piano et une flûte de pan, qui conclue en beauté cet album. Inutile de me le demander, j’ai déjà commandé l’album, et il me tarde de l’avoir dans ma collection.

Si vous cherchez un album pour vous relaxer, faire le vide, celui-ci pourra être un bon choix 🙂

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